Lacadémie de magie Beauxbùtons ( Angl. Beauxbatons Academy of Magic ) est une école de sorcellerie française. La directrice actuelle de Beauxbùtons est Madame Olympe Maxime. Beauxbùtons est similaire à l'école de sorcellerie Poudlard. Elle est une des écoles invitées au Tournoi des Trois Sorciers en 1994 - 1995. Beauxbùtons est située en France, dans les
1Propos On parle peu des sorciers chez les Bobo, ils n’apparaissent pas au premier plan des prĂ©occupations et il ne semble pas qu’il s’agisse lĂ  d’une simple attitude avec beaucoup d’assurance, on prĂ©tend en effet que les pĂ©rils de la sorcellerie s’ils ont Ă©tĂ© rĂ©els dans le passĂ©, sont jugulĂ©s aujourd’hui grĂące Ă  l’efficacitĂ© des moyens qui ont Ă©tĂ© mis en Ɠuvre. Il reste que la contre-sorcellerie, toute triomphante qu’elle soit, est maintenue en activitĂ©. On essaiera ici de prĂ©ciser ce qu’est le personnage du sorcier chez les Bobo et, aprĂšs quelques rĂ©flexions sur le sens de cette contre-sorcellerie qui survit Ă  ses incessantes victoires, on dĂ©crira les moyens employĂ©s pour dĂ©tecter et dĂ©truire les sorciers. 2Chez les Bobo, les sorciers tuent leurs victimes en les empoisonnant. La contre-sorcellerie est extrĂȘmement agissante, elle s’appuie aujourd’hui sur des cultes rĂ©pandus dans tout le pays. Autrefois, on dĂ©tectait les sorciers par un interrogatoire du cadavre ». Par la suite, se sont dĂ©veloppĂ©s les cultes d’esprits particuliers, duba et surtout vyetĂŽgo, qui dĂ©noncent les sorciers par le procĂ©dĂ© de la possession et provoquent leur mort. 3Les Bobo sont maĂźtres en l’art des poisons. Chaque clan et souvent mĂȘme chacun des lignages composant ce clan, conserve comme son bien personnel une recette originale qui comprend aussi bien la formule d’un poison que celle de son antidote. Ces poisons servent Ă  enduire flĂšches et lances, ils sont essentiellement employĂ©s dans la chasse et dans la guerre. Mais, la science acquise par les Bobo en matiĂšre de substances vĂ©nĂ©neuses ne s’est pas limitĂ©e Ă  ces usages en quelque sorte licites, elle a Ă©tĂ© dĂ©tournĂ©e, trĂšs tĂŽt sans doute, vers des fins purement criminelles. 4Le poison est chez les Bobo le moyen le plus frĂ©quemment utilisĂ© pour attenter Ă  la vie d’autrui. L’homme qui est dĂ©cidĂ© Ă  tuer Ă©labore en secret un poison mortel, trĂšs diffĂ©rent des poisons violents qu’emploie son lignage pour la chasse et qui provoquent une paralysie foudroyante. Le criminel doit en effet disposer d’un poison Ă  effets lents, capable d’altĂ©rer insidieusement la santĂ© de sa victime, ce qui permet de diffĂ©rer le moment de la mort et d’égarer les soupçons. 5Sans doute, dans bon nombre de cas, le crime restera occasionnel une fois sa vengeance accomplie et sa haine tarie, le coupable ne rĂ©cidive pas. Dans l’esprit des Bobo cependant, il est fermement Ă©tabli qu’existe une catĂ©gorie d’individus infiniment plus redoutables, qui emploient le poison de façon rĂ©pĂ©tĂ©e, poussĂ©s par une sorte de passion pour le mal. On prĂȘte Ă  ces individus certains pouvoirs surnaturels ils pratiqueraient le culte d’esprits vindicatifs, manieraient des forces malĂ©fiques et emprunteraient leurs techniques Ă  la magie usant de charmes et jetant des sorts ; mais ce qui reste, de l’avis de tous, constant et caractĂ©ristique, c’est l’emploi bien rĂ©el qu’ils font du poison pour tuer leurs victimes. Ce sont par-dessus tout des maĂźtres du poison » et c’est par ces termes exactement qu’on les dĂ©signe en bobo kyente de kyen poison » et te propriĂ©taire, maĂźtre de » en dialecte syĂȘkĂŽma des rĂ©gions du centre ou kyonosĂŽ en dialecte syakĂŽma de la rĂ©gion de Bobo Dioulasso. 6Peut-on parler de sorcellerie Ă  propos des pratiques du kyente bobo ? Il faut rappeler, au prĂ©alable, qu’en français nous ne disposons que du seul terme de sorcellerie » pour dĂ©signer un phĂ©nomĂšne exceptionnellement complexe et qui recouvre des types d’agissements et de croyances fort diffĂ©rents, voire mĂȘme opposĂ©s. Les Anglo-Saxons, grĂące Ă  deux termes, sorcery et witchcraft, opĂšrent, quant Ă  eux, une distinction qui s’est rĂ©vĂ©lĂ©e pertinente dans de nombreuses ethnies Evans-Pritchard 1972; Middleton et Winter 1963 et qui semble bien rendre compte aussi des faits particuliers aux Bobo. Le sorcerer qui reste par certains cĂŽtĂ©s encore proche du magicien n’est pas le dĂ©positaire d’un don hĂ©rĂ©ditaire, il agit volontairement et avec une pleine conscience de ce qu’il fait, suivant en cela un but personnel et conforme Ă  son intĂ©rĂȘt, mais surtout il opĂšre Ă  l’aide d’une technique qui fait appel Ă  des moyens matĂ©riels. Le witch au contraire possĂšde un pouvoir innĂ©, il agit involontairement et reste inconscient de son Ă©tat, faisant le mal pour le mal sans en tirer de bĂ©nĂ©fice personnel. Le witch, enfin, n’opĂšre que sur un plan psychique et souvent Ă  distance avec des moyens spirituels d’ordre surnaturel. Sorcery et witchcraft, que l’on a rassemblĂ©s sous le terme de wizardry, Middleton, op. cit. s’opposent Ă  magie, notamment en ce qu’elles sont toutes deux uniquement orientĂ©es vers le mal. 7Le witch, ĂȘtre nocturne coureur de sabbats, monstre psychique capable de se dĂ©doubler et d’agir non pas d’ailleurs sur les corps directement, mais sur les principes spirituels qui composent la personne, mangeur d’ñmes ou vampire, ce sorcier au sens le plus fort du mot, rien n’indique qu’il ait une existence dans la pensĂ©e bobo. Celui qu’on redoute exclusivement c’est l’empoisonneur », le kyente, et son portrait correspond bien Ă  la description du sorcerer. Le kyente un homme trĂšs gĂ©nĂ©ralement n’a rien dans son apparence physique qui attire l’attention. Si, comme nous l’avons dit, on le soupçonne d’employer quelques moyens magiques et de vouer un culte Ă  des puissances malĂ©fiques, c’est toujours Ă  un moyen matĂ©riel, au poison, qu’il fait appel pour donner la mort. AnimĂ© par une froide volontĂ© de dĂ©truire, c’est en pleine luciditĂ© que le kyente agit, prĂ©parant longuement la mixture mortelle qu’il administrera avec une sournoise habiletĂ©, Ă©piant le lent travail du poison et l’irrĂ©versible cheminement du mal. 8Les Bobo disent gĂ©nĂ©ralement que le kyente choisit ses victimes dans le but de satisfaire un ressentiment, ou pour remplir quelque dessein personnel inavouable, mais on prĂ©tend aussi qu’il cĂšde bientĂŽt Ă  la sombre dĂ©lectation de tuer et n’agit plus dĂšs lors que gratuitement. 9On sait, aprĂšs les nombreuses Ă©tudes qui lui ont Ă©tĂ© consacrĂ©es, que le phĂ©nomĂšne de la sorcellerie aussi bien sorcery que witchcraft est rĂ©vĂ©lateur de certaines rĂ©alitĂ©s psychologiques et sociales gĂ©nĂ©ralement dissimulĂ©es ; on sait que la sorcellerie est liĂ©e Ă  des situations de conflit et qu’elle reflĂšte les contradictions du systĂšme social. Aussi les conduites du sorcier, rĂ©elles ou imaginaires, apparaissent-elles comme chargĂ©es de sens et propres Ă  fournir d’utiles enseignements sur les problĂšmes spĂ©cifiques des individus ou du groupe concernĂ©. 10Chez les Bobo, le kyente semble bien n’avoir jamais exercĂ© ses mĂ©faits de façon exclusive Ă  l’intĂ©rieur de son lignage, bien plutĂŽt c’est au niveau de la communautĂ© villageoise multi-lignagĂšre qu’il aurait le plus souvent opĂ©rĂ©. Cela prend tout son sens si l’on tient compte du fait que la sociĂ©tĂ© bobo se caractĂ©rise par la volontĂ© de rĂ©aliser des communautĂ©s villageoises aussi fortement intĂ©grĂ©es que possible, ce qui suppose l’édification d’équilibres dĂ©licats fondĂ©s sur des Ă©changes et sur des dosages entre droits et devoirs, entraĂźnant de subtiles tractations et ouvrant le champ Ă  des menĂ©es souterraines et Ă  des formes de pression qui sont dans la ligne directe de la sorcellerie. Également significatif sans doute est le fait que cette mĂȘme sociĂ©tĂ© bobo n’a pas incarnĂ© le mal sous la forme du witch, si riche en fantasmes, mais qu’elle a produit le sorcier-empoisonneur calculateur, froid et lucide. 11Tout porte Ă  croire que les actes du kyente n’étaient pas, ainsi que feignent de le croire les Bobo, parfaitement gratuits ou mĂȘme seulement limitĂ©s Ă  la satisfaction de basses vengeances privĂ©es. La sorcellerie est un instrument d’action, plus souvent d’ailleurs au service du pouvoir et, paradoxalement, des rĂšgles Ă©tablies qu’à celui de la contestation AugĂ© 1974. 12Parlant du kyente bobo, nous devrions donc ĂȘtre en mesure de dire quelle est sa fonction sociale, quels sont le sens, le but et le rĂ©sultat de ses actions. Cela ne nous est pourtant guĂšre possible en raison d’une difficultĂ© majeure il n’y a plus de sorciers en pays bobo ! 13On affirme en effet de toutes parts qu’aprĂšs avoir Ă©tĂ© pourchassĂ©s activement, par les moyens que nous dĂ©crirons, les sorciers sont dĂ©sormais pratiquement Ă©liminĂ©s. On remarquera en passant qu’une telle conviction, lorsqu’elle se propage, peut bien se rĂ©vĂ©ler la plus efficace de toutes les armes dans un domaine oĂč tout procĂšde de 1’imaginaire la croyance en la sorcellerie perd toute assise, dĂšs lors qu’on n’adhĂšre plus aux fantasmes dont elle est la somme. 14Les choses pourtant ne sont pas si simples. La contre-sorcellerie est triomphante
 mais on constate que partout elle est maintenue en activitĂ©, ce qui laisse penser qu’elle a encore quelques raisons d’ĂȘtre. Sans doute apparaĂźt-il que la contre-sorcellerie, de curative qu’elle fut par la mise Ă  mort effective d’innombrables sorciers, est devenue prĂ©ventive elle dĂ©nonce le plus souvent aujourd’hui des intentions, des projets d’actes de sorcellerie et prĂ©tend ainsi s’opposer Ă  leur aboutissement. Il n’en reste pas moins que les sorciers n’en finissent pas d’ĂȘtre vaincus et que les Bobo ne cessent pas de courir Ă  leurs trousses ; Ă  tout prendre, se consacrer aussi assidĂ»ment Ă  la contre-sorcellerie quand on proclame avoir chassĂ© tous les sorciers, n’est-ce pas un peu comme si l’on parlait par prĂ©tĂ©rition, comme si l’on discourait sans fin sur la sorcellerie aprĂšs avoir dĂ©clarĂ© qu’il n’y avait plus de raisons d’en parler, et n’est-ce pas, en dĂ©finitive, une façon dĂ©guisĂ©e d’entretenir une croyance ? 15En soi, le phĂ©nomĂšne de la contre-sorcellerie victorieuse a des significations aussi importantes que celui de la sorcellerie agissante, et il est certain que l’étude du premier jetterait bien des lumiĂšres sur le second. En l’état de nos connaissances, l’analyse des significations profondes du mouvement de contre-sorcellerie, tel qu’il s’est dĂ©veloppĂ© chez les Bobo, n’est malheureusement pas encore Ă  notre portĂ©e ; nĂ©anmoins, puisqu’il est admis, dans le cadre de la prĂ©sente publication, de faire Ă©tat de recherches qui en sont au stade exploratoire, nous rĂ©unirons ici les informations que nous possĂ©dons sur les divers aspects des pratiques de contre-sorcellerie. 16Dans les temps anciens, la sorcellerie Ă©tait trĂšs rĂ©pandue et les Bobo ne disposaient pas de moyens vraiment spĂ©cifiques pour lutter contre elle, ils ne connaissaient que la coutume de l’interrogatoire du cadavre » en bobo, sasara to dĂąga, une coutume pratiquĂ©e d’ailleurs dans une grande partie de l’Afrique. 17Le sasara to dĂąga Ă©tait essentiellement destinĂ© Ă  dĂ©terminer les causes, quelles qu’elles fussent, de la mort quand cette derniĂšre apparaissait suspecte. Par cette mĂ©thode, il pouvait ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ© que le mort s’était rendu coupable d’une faute grave et qu’il s’agissait donc d’une punition en ce cas, on Ă©tait aussi informĂ© de l’identitĂ© de la puissance spirituelle outragĂ©e, ce qui permettait d’organiser les nĂ©cessaires rites expiatoires ; mais, par cette mĂ©thode, on pouvait aussi dĂ©couvrir que le mort Ă©tait la victime d’un sorcier-empoisonneur ce dernier Ă©tait dĂ©noncĂ© par le cadavre lui-mĂȘme et il passait spontanĂ©ment » aux aveux, avant d’ĂȘtre livrĂ© Ă  la vindicte publique. 18Les Bobo procĂ©daient de la façon suivante. Le cadavre, attachĂ© sur une civiĂšre, Ă©tait hissĂ© sur la tĂȘte de deux hommes. La scĂšne se passait devant la maison-temple du chef de lignage wasa. Un prĂȘtre ou un parent Ă  plaisanterie koronate s’adressait au dĂ©funt et lui posait une sĂ©rie de questions prĂ©cises auxquelles il Ă©tait censĂ© rĂ©pondre par une impulsion irrĂ©sistible communiquĂ©e Ă  ses porteurs et qui les poussait Ă  faire quelques pas en avant rĂ©ponse affirmative ou en arriĂšre rĂ©ponse nĂ©gative. On demandait par exemple au cadavre si ce qui avait causĂ© sa mort venait de la wasa si c’était donc une affaire concernant le lignage ; si c’était une des puissances dont l’autel est dans cette mĂȘme wasa qui l’avait tuĂ© en cas de rĂ©ponse affirmative on Ă©numĂ©rait tous les autels ; on demandait si c’était les ancĂȘtres qui avaient provoquĂ© sa mort et pour quelle raison. Si le cadavre avait toujours poussĂ© ses porteurs en arriĂšre, on en venait alors Ă  la question fatidique Ă©tait-ce un homme qui Ă©tait le responsable de sa mort ? Si oui, chaque personne de la famille, puis chaque villageois passait devant le cadavre et posait la question Est-ce moi qui t’ai tuĂ© ? » Le coupable Ă©tait dĂ©signĂ© par le mouvement voulu. Dans certaines localitĂ©s, quand l’interrogatoire avait dĂ©voilĂ© qu’il y avait un crime, le cadavre poussait ses porteurs au long des ruelles jusqu’à la demeure de l’assassin qui Ă©tait en gĂ©nĂ©ral tuĂ© sur place. 19Cette mĂ©thode de recherche des causes de la mort — qui pouvait occasionnellement permettre de dĂ©couvrir des sorciers empoisonneurs — est restĂ©e longtemps employĂ©e par les Bobo et par leurs proches parents ethniques Bwa. Chez ces derniers, elle Ă©tait encore attestĂ©e Ă  l’époque, entre 1910 et 1920, oĂč Ă©crivait le docteur Cremer 1927182-188 ; et chez les Bobo, elle est toujours pratiquĂ©e en certains cas dans la tribu bakĂŽma rĂ©gion de Kuka. 1 Sogo rĂ©gente les forces frustes de la nature, il s’identifie Ă  la vĂ©gĂ©tation, Ă  la brousse incultiv ... 20Il semble nĂ©anmoins que les Bobo en soient venus Ă  considĂ©rer que l’interrogatoire du cadavre n’était pas un moyen assez puissant pour lutter contre les sorciers. Ils s’adressĂšrent d’abord Ă  certaines des puissances spirituelles majeures qu’ils rĂ©vĂ©raient et notamment Ă  sogo, divinitĂ© de la brousse1. Puis se rĂ©pandirent les cultes d’esprits particuliers, spĂ©cialisĂ©s de plus en plus dans la chasse aux sorciers. 21Nous parlerons ici du culte des deux principaux esprits chargĂ©s de dĂ©tecter et de dĂ©truire les sorciers-empoisonneurs kyente duba et vyetĂŽgo. Duba 22Le culte de cet esprit est trĂšs anciennement implantĂ© en pays bobo et l’on peut dire qu’il est pratiquĂ© dans la totalitĂ© des villages. 23Trois variĂ©tĂ©s de duba sont connues, chacune portant le nom du village oĂč son culte fut inaugurĂ© et d’oĂč il se propagea ensuite. Le diriko duba du nom d’un village disparu qui Ă©tait situĂ© entre TĂąguna et Duma occupe toute la partie nord du pays bobo au-dessus d’une ligne qui passe, en les englobant, par les villages de Kuni, Worowe, Tiriko. Le culte intĂ©resse donc dans leur entier les tribus Tinkire, YebĂš, SĂąkĂŽma, BanakĂŽma. Le mawana duba est trĂšs largement majoritaire au centre du pays dans les tribus KurekĂŽma et BakĂŽma respectivement, rĂ©gions de Piriwe-LĂȘkoro et Bokoroniso-Kuka-Mawana son lieu de naissance. Chez les SyĂȘkĂŽma, il est Ă  Kurumani, Fini, Kokoroba, Zokoema et Badema. Le mawana duba se trouve aussi en quelques points isolĂ©s de la zone du diriko duba Ă  Moro, KĂšle, SĂąwĂȘ, BagĂą et, dans la zone du ZĂŽkĂŽma duba, Ă  SĂąkoro. Le mawana duba partage enfin assez Ă©galement avec le zĂŽkĂŽma duba tout le sud du pays bobo tribus VorĂš, SyakĂŽma, BĂšnĂš et SogokirĂš et l’ensemble du pays Bolon. Le zĂŽkĂŽma duba du nom d’un village disparu et de localisation inconnue a son centre principal chez les SyĂȘkĂŽma, on le trouve notamment Ă  Lya, Burawala, Sama, Kibe. Mais, comme nous l’avons dit, il se partage avec le mawana duba les villages bobo du sud et ceux du pays bolon. 2 Sauf dans l’extrĂȘme nord du pays oĂč l’autel de duba est Ă  l’intĂ©rieur d’un temple. 24L’autel principal de duba est d’une forme trĂšs caractĂ©ristique et sa prĂ©sence est si familiĂšre dans les villages2 qu’on pourrait presque en faire l’emblĂšme religieux des bobo. 25En fait, il y a toujours deux autels l’un mĂąle, qui est le principal, et l’autre, femelle. 26Le duba mĂąle est toujours placĂ© Ă  l’est du village, au voisinage des premiĂšres maisons. Cette situation s’explique par le fait que, pour les Bobo, l’ensemble du cosmos est orientĂ© selon un axe qui va de l’est vers l’ouest l’est est un lieu de dangers et une source de dĂ©sordres, de malĂ©fices ; l’ouest est un havre de paix et de sĂ©curitĂ©. Le duba se dresse ainsi Ă  l’est comme une sentinelle qui protĂ©gerait le village contre ses ennemis invisibles qui ont nom maladie, stĂ©rilitĂ©, famine et
 sorcellerie. 27Le duba mĂąle duba sĂź est une piĂšce monoxyle constituĂ©e par un fĂ»t rectiligne, fichĂ© en terre Ă  sa base et dont la partie supĂ©rieure se termine par une fourche Ă  trois branches. Entre les branches de cette fourche est calĂ©e une poterie cylindrique munie d’un couvercle. La hauteur de la piĂšce de bois qu’on appelle sele est d’environ 1 m 50, le diamĂštre du fĂ»t 12 Ă  15 cm. Les fourches et surtout le fĂ»t du duba sont ornĂ©s de sculptures. Il s’agit principalement de motifs gĂ©omĂ©triques en relief accusĂ©, dĂ©pourvus, semble-t-il, de toute autre valeur que dĂ©corative, Ă  l’exception toutefois d’un chanfrein rectangulaire mĂ©nagĂ© Ă  la commissure des fourches et qui est le symbole masculin du duba. 28À la base du fĂ»t, on trouve les seules reprĂ©sentations animaliĂšres, celle du camĂ©lĂ©on symbole mĂąle associĂ©e Ă  celle du lĂ©zard symbole femelle. 29Le duba femelle est appelĂ© duba na, Ă©pouse na de duba ». zĂŽkĂŽma duba est la seule variĂ©tĂ© de duba dont l’autel femelle soit, comme les autels mĂąles, constituĂ© par une sele fĂ»t Ă  fourche trifide. Dans ce cas, le se le femelle trouve place Ă  l’est aux cĂŽtĂ©s de son homologue mĂąle ; il ne porte naturellement que la reprĂ©sentation du lĂ©zard. Les deux autres variĂ©tĂ©s de duba ont leur autel femelle situĂ© Ă  l’ouest du village, dans la zone protĂ©gĂ©e » ; cet autel est peu visible, se prĂ©sentant sous la forme soit d’un petit cĂŽne de pisĂ© diriko duba, soit d’un amas de cailloux mawana duba. 3 L’autel duba na ne contient que les rĂ©sidus matĂ©riels de ces principes. Ils sont dĂ©posĂ©s aprĂšs leur ... 30Les autels que nous venons de dĂ©crire sont les siĂšges » kware de l’esprit duba, ce ne sont que des superstructures destinĂ©es Ă  contenir les vrais principes actifs. Ces principes » sont rassemblĂ©s dans la poterie supportĂ©e par les fourches du duba sĂź3. Ils consistent en un certain nombre de tronçons de racines de l’arbre kivi Afzelia africana baignant dans une eau additionnĂ©e d’un peu de biĂšre de mil. C’est Ă  l’intĂ©rieur de l’arbre kivi, et surtout de ses racines, que s’incorpore l’esprit duba, probablement en se diluant dans la sĂšve. 31En lui-mĂȘme, Afzelia africana est un arbre Ă©minemment sacrĂ© pour les Bobo, comme pour de nombreuses autres populations de la zone soudanaise d’ailleurs. On notera que les racines de cet Afzelia sont rĂ©putĂ©es dangereuses, elles auraient en effet la propriĂ©tĂ© de se mouvoir spontanĂ©ment, de se tordre sur elles-mĂȘmes ou de se recourber ; lorsqu’on les pose sur la tĂȘte au cours des rites, elles arracheraient les cheveux. Pour ajouter Ă  leur virulence naturelle et aussi pour supplĂ©menter leur pouvoir, les racines de kivi sont enduites sur toute leur longueur d’un broyat de racines de bakana humidifiĂ©es Ă  la biĂšre de mil. Ce bakan plante non identifiĂ©e est lui-mĂȘme un arbuste malfaisant dont on dit qu’il est capable de se dĂ©placer pour barrer votre route. On attribue aux racines la propriĂ©tĂ© de provoquer chez l’homme des crises de possession et c’est lĂ , sans nul doute, la raison pour laquelle elles sont mises en contact avec kivi. 32En dehors de sa prĂ©sence dans la poterie de duba sĂź, la racine de kivi, soigneusement enduite de bakana, fait aussi office d’autel portatif et son rĂŽle, on le verra, est de conduire et d’inspirer celui qui le porte. La racine est enroulĂ©e dans une piĂšce de coton blanc, Ă©troitement serrĂ©e par des liens. À chaque extrĂ©mitĂ© on attache une touffe de feuilles de nere. Plusieurs racines sont ainsi prĂ©parĂ©es, d’autres sont simplement enrobĂ©es dans une gangue d’argile. En raison de leur forme allongĂ©e et de la touffe qui termine certaines d’entre elles, on leur donne le nom de nyĂąpĂ©ge de nyĂąga bƓuf » et de pĂ©ge queue » ou queue de bƓuf ». TrĂšs nombreux sont les esprits funyanonĂŽ qui possĂšdent ainsi Ă  la fois un autel fixe et un ou des autels portatifs du type nyĂąpĂ©ge. 33Les racines de kivi et, il faut le souligner, celles de nombreuses autres espĂšces botaniques, quoique Ă  un degrĂ© peut-ĂȘtre moindre sont donc un lieu d’élection pour la substance incorporelle des esprits. Il semble cependant que cette qualitĂ© puisse s’altĂ©rer avec le temps. Afin que les racines restent toujours en Ă©tat d’abriter des forces spirituelles, il est nĂ©cessaire de procĂ©der pĂ©riodiquement Ă  leur renouvellement. Cela donne lieu Ă  une cĂ©rĂ©monie qui a lieu tous les sept ans et que l’on appelle duba suruwa dĂąga Coutume de la sortie suru de duba ». À cette occasion, un nouveau se le est taillĂ© et c’est au cours d’un rituel nocturne que les nouvelles racines de kivi sont prĂ©levĂ©es en brousse et rapportĂ©es au village oĂč ont lieu sacrifices et rĂ©jouissances. 34Les fonctions de duba avaient une certaine diversitĂ© on lui attribuait et on lui attribue aujourd’hui encore la naissance de nombreux enfants ; on lui reconnaissait aussi une action bienfaisante en matiĂšre d’activitĂ©s agraires. NĂ©anmoins, la fonction spĂ©cifique de duba Ă©tait la recherche et la destruction des sorciers. En ce domaine, il ne cessa d’enregistrer des succĂšs jusqu’au jour oĂč apparut un nouvel esprit nommĂ© vyetĂŽgo qui devait faire preuve d’une efficacitĂ© plus grande encore. 35Les modes opĂ©ratoires de duba Ă©tant pratiquement identiques Ă  ceux de vyetĂŽgo, nous en traiterons Ă  propos de ce dernier. VyetĂŽgo 4 En ce cas, duba, qui lui est antĂ©rieur chez les Bobo, mais qui lui ressemble tant, aurait Ă©tĂ© lui a ... 5 Enfin, le renouvellement, ici aussi, est septennal. 36VyetĂŽgo pourrait ĂȘtre de provenance Ă©trangĂšre4 ; G. ChĂ©ron 1916257 le disait venir de chez les Sembla5. Les Bobo, quant Ă  eux, s’accordent pour situer son origine Ă  SangulĂ©ma, un village limitrophe Ă  la fois du pays sembla et du pays minyanka. 37De SangulĂ©ma, vyetĂŽgo s’est rĂ©pandu, au cours du 19e siĂšcle, dans la totalitĂ© des villages bobo situĂ©s au sud de la Volta noire. Vers 1900, les villageois de Sauna se procurent le vyetĂŽgo Ă  SangulĂ©ma. Pour la premiĂšre fois, le culte passe outre-Volta, mais il faudra attendre 45 ans pour qu’il reprenne sa progression vers le nord. SilĂȘkoro en 1945, puis Kyebani en 1946 d’oĂč il sera transmis Ă  Kula, Muna et Ă  Yakrisi en 1954, Kurumani en 1947, Bura en 1950, Fo en 1954 et SĂąkoro en 1956 se rendent acquĂ©reurs du vyetĂŽgo Ă  Sama. Entre-temps, en 1952, Fini est allĂ© chercher le culte Ă  SangulĂ©ma mĂȘme pour le transmettre Ă  MĂ»na en 1956 et Kuka en 1957. De son cĂŽtĂ©, Wofura rapporte en 1955 le vyetĂŽgo de SangulĂ©ma et le donne Ă  Tuma en 1957. En 1959 enfin, Gi, BĂȘ et Felewe, les villages les plus septentrionaux Ă©taient en train d’adopter vyetĂŽgo. Depuis, le culte a achevĂ© de se gĂ©nĂ©raliser. 38L’autel de vyetĂŽgo est constituĂ© toujours par deux poteaux Ă  triple fourche supportant des poteries closes ; l’un est mĂąle, l’autre est femelle et ils sont placĂ©s cĂŽte Ă  cĂŽte. Ces sele ressemblent beaucoup au duba sĂź, nĂ©anmoins ils s’en distinguent par le fait qu’ils ne sont pratiquement pas sculptĂ©s et qu’ils se dressent toujours Ă  l’intĂ©rieur du village. Les principes actifs de duba se retrouvent chez le vyetĂŽgo et chez ce dernier, ils existent Ă©galement sous la forme de nyĂąpĂ©ge. 39Enfin, le renouvellement, ici aussi, est septennal. 40Ce qui fait pour nous l’intĂ©rĂȘt de vyetĂŽgo, ce sont, bien entendu, les modalitĂ©s de son action contre lĂ©s sorciers. 41Lorsque se produit le dĂ©cĂšs d’un individu jeune et qui Ă©tait apparemment de bonne constitution, il convient de s’informer sur les causes de sa mort. À plus forte raison faut-il le faire si l’on avait observĂ© chez lui une altĂ©ration suspecte des facultĂ©s. Une requĂȘte est prĂ©sentĂ©e d’abord aux ancĂȘtres borĂš. S’ils restent muets les poulets du sacrifice mourant de telle façon qu’on ne puisse en infĂ©rer une rĂ©ponse prĂ©cise, on est en droit de redouter le pire. Il faut alors s’adresser Ă  sogo sogo to, interroger sogo » car il rĂ©gente, nous l’avons dit, le monde de la brousse et ses forces obscures ; personne n’est plus apte Ă  reconnaĂźtre et Ă  dĂ©noncer l’Ɠuvre de sorcellerie, sogo rĂ©vĂšle donc les actes criminels, mais en aucun cas il ne dĂ©signe les coupables et moins encore il ne les punit lui-mĂȘme c’est lĂ  la tĂąche exclusive de vyetĂŽgo. sogo Ă©tablit le diagnostic, vyetĂŽgo opĂšre ». 42InformĂ©s du crime perpĂ©trĂ©, les parents du mort vont devant l’autel de vyetĂŽgo. Ils implorent sa vengeance et offrent une poule en sacrifice. Quelque temps s’écoule avant que, d’une façon tout Ă  fait soudaine et imprĂ©vue, une personne entre brutalement en transes. La possession ne peut se produire qu’hors du village, en pleine brousse, et la crise est susceptible, affirme-t-on, de toucher n’importe qui. DĂšs les premiers symptĂŽmes, l’homme possĂ©dĂ© court au village et s’empare d’un nyĂąpĂ©ge de vyetĂŽgo, il s’arme aussi d’une lance. Titubant, il se rend chez le chef de famille du dĂ©funt et un dialogue s’établit. Le chef de famille explique l’affaire et demande Ă  l’homme en qui s’incarne dĂ©sormais vyetĂŽgo de trouver le coupable. Le possĂ©dĂ© acquiesce en frappant le sol de son nyĂąpĂ©ge et en sortant de sa bouche Ă©cumeuse des sons qui sont souvent comparĂ©s aux hennissements du cheval on dit, ici comme ailleurs, que le possĂ©dĂ© est le Cheval » de l’esprit. Les choses sont alors trĂšs rapides le possĂ©dĂ© dĂ©vale en courant les ruelles et s’arrĂȘte brusquement devant une porte ; il entre et se dirige droit sur la cachette oĂč l’empoisonneur a placĂ© son matĂ©riel, fioles de poison, mortiers, poudres et ingrĂ©dients divers si ce matĂ©riel a Ă©tĂ© jetĂ© en brousse et enfoui, comme c’est souvent le cas, dans une poterie cachĂ©e sous terre, le possĂ©dĂ© retrouve sans hĂ©siter le lieu. Le matĂ©riel est aussitĂŽt dĂ©posĂ© au pied de l’autel de vyetĂŽgo par le possĂ©dĂ© gui retourne ensuite se saisir de la personne du coupable. Devant la preuve faite de ses crimes, le sorcier kyente avoue toujours. Le possĂ©dĂ©, encore en pleine transe, donne alors un dĂ©lai » de quelques jours au kyente pour mourir. L’homme dĂ©cline rapidement ; le mal, dit-on, prend au niveau de la tĂȘte, descend dans le cou, gagne le dos et la mort survient dans le dĂ©lai prescrit, inĂ©luctablement et sans avoir Ă©tĂ© nullement provoquĂ©e matĂ©riellement. 43Tel est, schĂ©matiquement, le dĂ©roulement des opĂ©rations selon les informations que nous avons pu recueillir sur les derniers cas de mise Ă  mort d’un sorcier par vyetĂŽgo. Certains de ces cas sont relativement rĂ©cents. Ainsi, en 1947, dans le village de N., un homme possĂ©dĂ© par vyetĂŽgo dĂ©nonça un certain Me K. Le possĂ©dĂ© trouva le matĂ©riel de Me et il l’étala devant les yeux des villageois. Le possĂ©dĂ© Ă©numĂ©ra Ă©galement Ă  haute voix les victimes de Me une vingtaine
. À chaque nom Me s’écriait Eh ! c’est vrai ! ». Me mourut trois jours aprĂšs sa condamnation. 44Ayant rassemblĂ© ces quelques faits, au moins pouvons nous mesurer mieux la complexitĂ© de phĂ©nomĂšnes qui concernent non seulement le domaine de la sorcellerie, mais aussi celui de la possession et d’une certaine façon, celui de la divination. VyetĂŽgo Discussion M. Cartry Quelle est la nature des poisons prĂ©parĂ©s. Sont-ils vraiment trĂšs toxiques ? G. Le Moal Il s’agit de poisons vĂ©gĂ©taux trĂšs actifs. On y joint souvent des fragments de gros intestin d’hyĂšne, or il est scientifiquement Ă©tabli que cela est trĂšs toxique. Je ne parle pas des ingrĂ©dients divers, tels que les restes humains en dĂ©composition, qui ne doivent pas ĂȘtre trĂšs digestes ! G. Dieterlen Au sujet de l’orientation de l’espace beaucoup de choses viennent de l’est. Chante-t-on le masque est venu de l’est.. » ? G. Le Moal Oui, chez les Bobo, les masques sont fabriquĂ©s en brousse Ă  l’est du village. Ils opĂšrent en traversant le village d’est en ouest. Tout est orientĂ© est-ouest, de ce fait l’est est la source de toutes choses. Il faut regarder vers l’est, il faut aussi contrĂŽler et canaliser, en quelque sorte, les forces qui viennent de l’est. C’est pourquoi duba se dresse Ă  l’est du village. L. de Heusch Pour quelle raison 1’Afzelia a-t-il un rĂŽle aussi important ? G. Le Moal L’Afzelia est le vecteur de forces spirituelles d’importance majeure. Les autels bobo, pratiquement tous, sont fondĂ©s sur des composants vĂ©gĂ©taux, or il y a un rapport Ă©troit entre la taxonomie bobo des plantes et la classification, la hiĂ©rarchie, des entitĂ©s spirituelles. Il y a tout un jeu de correspondances classificatoires entre les qualitĂ©s du rĂ©ceptacle et la nature de la force qui s’y incorpore. M. Cartry Est-ce que tous les Afzelia sont sacrĂ©s ? Chez les GourmantchĂ©, ce n’est le cas que pour certains d’entre eux. G. Le Moal Oui, c’est l’espĂšce tout entiĂšre qui est sacrĂ©e. On ne coupe un Afzelia que pour des raisons religieuses, pour y tailler un masque par exemple voir mon film Le grand masque Molo. N. Échard Est-ce que la connaissance de la prĂ©paration des poisons est le fait de certains groupes sociaux particuliers ? G. Le Moal Non, c’est une connaissance dont les principes de base sont accessibles Ă  tous. Le sorcier n’est pas nĂ©cessairement plus savant que quiconque en matiĂšre de poisons, mais, lui, il en fait un usage systĂ©matiquement criminel. D’ailleurs, on est sorcier par la philosophie de son acte et non par un plus ou moins grand savoir. J. F. Vincent Il serait intĂ©ressant de voir comment l’action du vyetĂŽgo a remplacĂ© l’action du duba. G. Le Moal En effet, il y a lĂ  une substitution que je ne sais pas expliquer, duba Ă©tait et reste encore, semble-t-il, en mesure de dĂ©tecter les sorciers, mais sa vocation est plus Ă©tendue, plus pacifique, plus neutre que celle de vyetĂŽgo qui s’attaque seulement Ă  ce qui trouble l’ordre social. J. F. Vincent L’action de vyetĂŽgo ressemble un peu Ă  celle des nkisi. L. de Heusch Certains nkisi ont un rĂŽle de protection contre la sorcellerie. Mais, ils ont un rĂŽle individuel et non collectif. Or ici, ils ont une fonction collective. Il y a aussi un lien avec la possession, car il arrive que la puissance qui est dans le nkisi puisse provoquer la possession, mais lĂ  encore dans un cadre individuel plutĂŽt que collectif. M. Cartry Il semble que les vyetĂŽgo aient des propriĂ©taires » et qu’on puisse les acquĂ©rir. Est-ce que le propriĂ©taire accepte de mettre son autel Ă  la disposition de la victime ? G. Le Moal Il y a deux plans le communautaire foroba, c’est-Ă -dire ce qui est partagĂ© par tous les membres de la communautĂ© villageoise, et le lignager zakane. vyetĂŽgo appartient au lignage parmi lequel s’est trouvĂ© celui qui, soit en a eu la rĂ©vĂ©lation, soit a procĂ©dĂ© Ă  son acquisition, vyetĂŽgo est donc zakane, privĂ© » en quelque sorte. Mais, dans ses activitĂ©s, vyetĂŽgo opĂšre au niveau de la communautĂ© foroba et au bĂ©nĂ©fice de tous.
RĂ©sumĂ©s L’étude des procĂšs de sorcellerie a rĂ©vĂ©lĂ© que, sur 76 « sorciers » brĂ»lĂ©s Ă  Molsheim, 30 au moins Ă©taient des enfants, soit plus de 40 %, chiffre effarant qu’on doit rarement trouver ailleurs. On ne saurait fournir d’explication globale Ă  cet Ă©tat de fait, qui correspond Ă  un pic de procĂšs ; faut-il l
Si tu es fan des aventures du sorcier Ă  lunettes, tu as probablement dĂ©jĂ  fait plein de quiz sur l'univers d'Harry Potter. Tu sais probablement dĂ©jĂ  quel est ton Patronus, pour quelle maison tu es fait et je suis sure que tu connais bien les sortilĂšges d'Harry Potter. Pourtant, une question ne s'est jamais posĂ©e en tant que nĂ©-moldu, te serais-tu bien adaptĂ© en allant Ă  Poudlard ? On parle tout de mĂȘme d'un monde sans nouvelles technologies, loin de ta famille et de tes amis et avec tout plein de trucs super dangereux. Tu penses quand mĂȘme en ĂȘtre capable ? C'est ce qu'on va voir avec ce test. 1. Nous sommes le 25 juillet. Il fait beau, le ciel est bleu et tu as 11 ans de nouveau. Tu es sur ton blacon ou dans ton jardin lorsque tu vois un hibou venir vers toi. Quelle est ta rĂ©action ? Tu l'ignores, c'est juste un oiseau Tu le chasses, il va dĂ©gueulasser tes transats Tu le laisses se poser sur ton Ă©paule, tu es un ami des bĂȘtes Tu lui tires dessus pour rĂ©cupĂ©rer ce qu'il transporte 2. Tu es officiellement admis Ă  l'Ă©cole de sorcellerie de Poudlard, fĂ©licitations. On te rapelle que l'Ă©cole est en Angleterre, c'est comment le niveau d'anglais ? "I speak english very well don't you worry" "Please mind the gap between the train and the platform" "Brian is in the kitchen" "Jay parle twĂšs bien anglay. Jay peuh avwar du thay ?" 3. Il est temps de faire tes achats de matĂ©riel scolaire, qu'achĂštes-tu en premier ? Une robe de sorcier custom et un jogging pour mettre en dessous Des farces et attrapes magiques Un chaudron et des manuels Des cahiers 24x32 petits carreaux et un stylo 4 couleurs 4. Tout cela coĂ»te de l'argent, comment payes-tu tes achats ? Tu tapes dans le prĂȘt Ă©tudiant, tu n'en auras plus besoin Tu Ă©changes toutes tes Ă©conomies contre des Gallions d'or Tu demandes Ă  tes parents de financer cette nouvelle lubie Par carte, sans contact si possible 5. Tu apprends que les sorciers vivent sans Ă©lectricitĂ©, es-tu vraiment prĂȘt Ă  abandonner tes rĂ©seaux sociaux et tes sĂ©ries Netflix ? Oui, je veux vivre cette belle aventure Ptdr non, hors de question 6. Dans le Poudlard Express, tu t'assois Ă  cĂŽtĂ© d'un rouquin et commences Ă  sympathiser. Le chariot de confiseries passe et la sorciĂšre te demande si tu veux quelque chose, comment rĂ©agis-tu ? Tu achĂštes un peu de tout et manges les confiseries seul, s'agirait pas de partager Tu prends des chocogrenouilles et en donnes un au roux, plus par pitiĂ© que par gĂ©nĂ©rositĂ© Tu prends juste un Patacitrouille, ça coĂ»te plus cher que sur une aire d'autoroute Tu n'achĂštes rien, tu as ton sandwich Daunat et une briquette de jus 7. En arrivant au chateau de Poudlard, quelle est la premiĂšre question que tu poses ? "C'est quoi le code Wifi ?" "Ça fait pas beaucoup de gachis ce buffet Ă  volontĂ© ?" "Je peux changer de dortoir ?" "Il est oĂč le Mcdo le plus proche ?" 8. C'est l'heure de ton premier cours d'Histoire de la magie, tu passes l'heure Ă ... Lancer des mines de crayon au plafond Écouter d'une oreille en dessinant 9. C'est l'heure de la premiĂšre sortie Ă  PrĂ©-au-lard, Ă  quel endroit vas-tu en premier ? Aux Trois Balais, ça fait longtemps que tu n'as pas bu une pinte À la confiserie Honeydukes, la malbouffe te manque tant Chez Zonko, acheter des farces et attrapes pour emmerder tout le monde Dans ton lit, tu en profites pour chiller un max 10. C'est l'heure de se plaindre, quel est le truc qui te saoule le plus Ă  Poudlard ? Marcher tout le temps, c'Ă©tait trop cher de mettre des Escalator ? Le manque d'intimitĂ©, ce serait cool d'ĂȘtre un peu moins dans ces dortoirs Les animaux chelou partout, y a pas moyen de dĂ©sinfecter tout ça ? Le manque de loisirs, les bouquins et les Ă©checs ça va 5 minutes
LĂ©cole Française de Sorcellerie de Tu-sais-qui Qui sont-ils ? Certainement pas des moldus ! L’association L’école Française de Sorcellerie de Tu-sais-qui propose des animations et ateliers autour de la saga qu’on ne prĂ©sentera plus :
ActivitĂ© Projet portĂ© participer Ă  toute activitĂ© liĂ©e ou concernant le monde magique littĂ©raire ou filmographique tel que l'organisation et l'encadrement de cours et stages pour la fabrication de costumes Ă  thĂšme, dĂ©cors , scĂ©nographies, structures de grande taille, tout type d'accessoires vestimentaires et dĂ©coratifs ; CrĂ©er et organiser des projets, des d'Ă©vĂšnements, conventions, matchs de Quidditch nationaux et internationaux ; Participer Ă  des Ă©vĂšnements organisĂ©s par d'autres associations liĂ©s au monde magique littĂ©raire et filmographique en France et Ă  l'Ă©tranger ; Organiser des voyages ayant comme but la visite de lieux d'expositions, concerts, musĂ©es, Conventions, Festivals en France et Ă  l'Ă©tranger liĂ©s au monde magique littĂ©raire et filmographique ; Ce projet s'inscrit de maniĂšre plus gĂ©nĂ©rale dans le thĂšme domaines divers, domaines de nomenclature SITADELE Ă  reclasser - Les associations de ce domaine dans le dĂ©partement Commune Évry 91000 Historique Les Ă©vĂšnements marquants de l'association 12/09/2019 - CrĂ©ation de l'association 28/09/2019 - Publication JO de l'avis de crĂ©ation de l'association 30/09/2020 - DerniĂšre dĂ©claration en date de l'association 01/04/2021 - DerniĂšre mise Ă  jour de l'association Administration Identifiants NumĂ©ro RNA L'identifiant dans le RĂ©pertoire National des Associations RNA W912013865 Le numĂ©ro RNA identifie l'association dans le rĂ©pertoire waldec et dans le RĂ©pertoire National des Associations RNA, ce rĂ©pertoire recense les associations en remplacement du waldec depuis 2010 et ce numĂ©ro permet d'effectuer les diffĂ©rentes dĂ©marches administratives de l'association. Forme Code du site gestionnaire de l'association PrĂ©fecture ou Sous-prĂ©fecture 912P Nature de l'association Simplement DeclarĂ©e D Groupement Simple, Union, FĂ©dĂ©ration Simple S Observation du waldec Aucune Position Active, Dissoute, SupprimĂ©e Active A Publication sur le web Non 0 Site web dĂ©clarĂ© au waldec Aucun EntrepriseFrançaise. Sous-licence officielle. CatĂ©gories : Cadeau Enfant Harry Potter, Cocooning - Bien au chaud, bien chez soi, Harry Potter : cadeau et goodies Harry Potter, IdĂ©e cadeau : Des milliers d'idĂ©es cadeaux !, IdĂ©e cadeau Garçon, Linge de maison, Mode : accessoires de mode des annĂ©es 80 et 90, Peignoir Homme, Produits dĂ©rivĂ©s - Films des annĂ©es 80-90, VĂȘtement d - PubliĂ© le 31 Jan 2016 Ă  1008 Attention rĂ©vĂ©lations, il y a du nouveau sur Pottermore ! JK Rowling nous dĂ©voile le nom des diffĂ©rentes Ă©coles de sorcellerie dans le monde. Les histoires qu’on aime le plus vivent en nous pour toujours. » GrĂące Ă  Pottermore, JK Rowling a fait en sorte de tenir parole. L’auteur de Harry Potter continue de rĂ©vĂ©ler de prĂ©cieuses informations au sujet de l’univers de la magie et rĂ©pond peu Ă  peu aux nombreuses interrogations de ses fans passionnĂ©s. Il y a quelques mois, JK Rowling s’était notamment expliquĂ©e sur le prĂ©nom du fils de Harry, et elle rĂ©pond maintenant Ă  une question que se posaient de nombreux lecteurs oĂč sont scolarisĂ©s les sorciers du monde entier ? Jusqu’à prĂ©sent, on avait seulement connaissance de l’école Poudlard Ecosse, oĂč se rendaient les jeunes sorciers britanniques. On savait Ă©galement que les Ă©lĂšves français suivaient leurs Ă©tudes Ă  l’AcadĂ©mie de Magie de BeauxbĂątons France et qu’une troisiĂšme Ă©cole Ă©tait situĂ©e quelque part en Europe de l’Est vraisemblablement prĂšs de la Russie, l’Institut Durmstrang. On apprend dĂ©sormais qu’il existe onze Ă©coles de magie dispersĂ©es Ă  travers le monde et l’auteur a dĂ©voilĂ© le nom de sept d’entre elles. En effet, si JK Rowling a levĂ© le voile sur le secret qu’Alan Rickman refusait de dĂ©voiler, elle a encore de nombreuses informations Ă  partager ! Sachez donc que l’école de magie d’AmĂ©rique du Nord se nomme Ilvermorny et se situe dans le nord-est des Etats-Unis. SituĂ©e au milieu de la forĂȘt tropicale, l’école Castelobruxo au BrĂ©sil accueille les sorciers d’AmĂ©rique du Sud et met l’accent sur la botanique et l’étude des crĂ©atures magiques. Pour les Ă©tudiants europĂ©ens qui souhaitent Ă©tudier la faune et la flore d’AmĂ©rique du Sud, il existe d’ailleurs un programme d’échange. En Asie, les jeunes Ă©lĂšves apprennent la magie Ă  Mahoutokoro au Japon, la plus petite Ă©cole de sorcellerie. Ils y sont reçus Ă  partir de sept ans mais commencent les Ă©tudes Ă  onze ans et portent des robes enchantĂ©es, dont la couleurs Ă©volue en fonction de leurs progrĂšs en magie. Quant Ă  la plus grande, l’école d’Uagadou, elle se situe en Afrique, quelque part dans Les Montagnes de la Lune. Elle accueille les Ă©tudiants venus de tout le continent et est connue pour fournir de trĂšs bonnes formations en astronomie, alchimie et mĂ©tamorphose. Pour le moment, rien de nouveau au sujet d’une Ă©cole en Australie ou encore au Canada, mais JK Rowling devrait dĂ©voiler le nom des trois Ă©coles restantes trĂšs bientĂŽt ! Iln'existe pas une seule Ă©cole de magie, de sorcellerie ou d'envoutement, ce qui fait que les novices et les personnes non averties ont souvent du mal Ă  dĂ©mĂȘler le vrai du faux. Il faut investir pas mal de recherches, d'Ă©tudes, de volontĂ© et d'engagement personnel pour devenir une bonne sorciĂšre. Suivant vos centres d'intĂ©rĂȘt, vous pourriez choisir une Ă©cole de pensĂ©e et de
L'Ă©cole de sorcellerie de Poudlard est un personnage Ă  part entiĂšre de la saga Harry Potter, mais la connaissez-vous aussi bien que les films eux-mĂȘmes ? Saurez-vous rĂ©pondre Ă  ces 8 questions sur le cĂ©lĂšbre Ă©tablissement scolaire ? La saga littĂ©raire et cinĂ©matographique Harry Potter ne serait pas la mĂȘme s'il n'y avait pas Poudlard, l'Ă©cole de sorcellerie dirigĂ©e par Albus Dumbledore. Les lecteurs et spectateurs ont Ă©tĂ© tĂ©moins de toutes les grandes Ă©tapes de la scolaritĂ© des jeunes sorciers, de l'entrĂ©e en premiĂšre annĂ©e avec le Choixpeau dĂ©cidant dans quelle maison ils sont envoyĂ©s Ă  l'examen final appelĂ© Accumulation de Sorcellerie ParticuliĂšrement Intensive et Contraignante, aussi connu comme l' Harry, Ron et Hermione nous ont fait visiter la plupart des lieux emblĂ©matiques de l'Ă©cole, ainsi que plusieurs de ses endroits discrĂštement cachĂ©s, mais ĂȘtes-vous vraiment incollables sur l'histoire de Poudlard, ses conditions d'entrĂ©e ou sa devise ? A vous de vĂ©rifier avec notre quiz mais prenez garde, car une fois lancĂ©s, aucune baguette ne vous aidera !
Petit comitĂ©] L’école française de sorcellerie de Tu-sais-Qui organise une rĂ©union d’information pour vous prĂ©senter leur association mais aussi le projet Harry Potter qui se dĂ©roulera en octobre 2020 au parc de Beauvoir Ă  Evry-Courcouronnes À l’issue de cette prĂ©sentation, l’association vous invite Ă  un goĂ»ter oĂč vous pourrez Ă©changer en toute
Pincez-moi je rĂȘve ! Ai-je bien lu derniĂšre semaine ! Non pas que je ne suis pas super excitĂ©e d’ĂȘtre bientĂŽt en vacances mais vraiment, je n’ai rien vu passer encore cette annĂ©e ! Je viens donc aujourd’hui avec des activitĂ©s de fin d’annĂ©e et je participe ainsi au rallye lien de CĂ©nicienta. 1/- La lettre. La toute premiĂšre activitĂ© est une activitĂ© de production d’écrits Ă©crire une lettre aux futurs Ă©lĂšves. Je l’avais fait l’annĂ©e derniĂšre et j’avais adorĂ© lire les lettres en fin d’annĂ©e et adorĂ© la rĂ©action des nouveaux petits Ă©lĂšves en septembre. Donc je renouvelle l’expĂ©rience avec grand plaisir. Dans un premier temps, nous faisons une phase orale pour rappeler comment on prĂ©sente une lettre, puis nous notons des pistes au tableau pour aiguiller les Ă©lĂšves sur le contenu ce que tu vas apprendre, ce que tu as aimĂ© faire en ce1, un paragraphe pour souhaiter la bienvenue au ce1, ce qu’il faut savoir sur la maĂźtresse
. Puis, je les laisse faire un brouillon que je corrige et puis nous faisons une jolie carte avec la lettre et un beau dessin ainsi qu’une enveloppe bien dĂ©corĂ©e. Voici un modĂšle Ă  tĂ©lĂ©charger 2/- Les souvenirs Le fil rouge des derniers jours je commencerai le mercredi matin pour ma part sera les souvenirs marquants de cette annĂ©e. Cette activitĂ© les maintiendra calmes, occupĂ©s et sera l’occasion d’évoquer tous les petits moments et temps forts de l’annĂ©e qui nous ont marquĂ©s. Ce sera aussi je l’espĂšre un bon souvenir qu’ils prendront plaisir Ă  feuilleter. Je ne sais pas vous mais j’ai une maman conservatrice en tout genre et je me rĂ©gale encore Ă  feuilleter certains journaux de bord
Oui oui, je sais que certains finiront vite Ă  la poubelle, mais bon ! C’est une idĂ©e trouvĂ©e sur Pinterest, que j’ai adaptĂ© Ă  nous petits français. Si vous ĂȘtes limitĂ©s en photocopies, on peut imaginer faire la mĂȘme chose avec des feuilles libres en donnant les thĂšmes Ă  nos Ă©lĂšves. J’ai dĂ©clinĂ© la page de garde pour tous les niveaux du cp Ă  la clis et il y a une version maĂźtre et maĂźtresse ainsi que des versions diffĂ©rentes pour les plus grands les dents perdues ne vont pas franchement leur parler
 Libre Ă  chacun de prendre les pages qui l’intĂ©ressent. 3/- La salade de fruits Enfin le dernier jour, j’aime que l’on prĂ©pare une salade de fruits que l’on dĂ©guste au goĂ»ter. C’est simple, facile Ă  faire et dĂ©licieux. Je demande simplement aux enfants d’apporter 3/ 4 fruits et je les prends par 4/5 pour le dĂ©coupage. C’est une activitĂ© trĂšs sympa Ă  faire pour le dernier jour et beaucoup plus calme que les jeux de sociĂ©tĂ© que j’essaie d’éviter pour ne pas finir la journĂ©e sur les nerfs ! Voici le mot que distribue aux familles en fichier modifiable TĂ©lĂ©charger le mot J’espĂšre que ces quelques idĂ©es vous aideront Ă  remplir ces derniers jours de classe, je vous souhaite Ă  tous bon courage les vacances sont au bout du tunnel ! 4/- Le compte Ă  rebours L’article est Ă  retrouver ici 5/- La cĂ©rĂ©monie de fin d’annĂ©e L’article est Ă  retrouver ici
Les4 maisons de l’École de magie Poudlard : faites le test pour savoir oĂč le Choixpeau vous envoie ! En tant que fan incontestĂ© du monde fantastique d’Harry Potter et de ses acolytes, vous connaissez sans doute dĂ©jĂ  les 4 maisons de l’école de sorcellerie, dirigĂ©e par Albus Dumbledore.Votre maison vous est attribuĂ©e en fonction de votre personnalitĂ©, de vos
“Tu es en train de fraterniser avec l’ennemi, voilĂ  ce que tu fais !” – Ron Weasley Ă  Hermione Granger CF23 Sommaire1 Aperçu2 Écoles École de Sorcellerie Institut AcadĂ©mie de Magie BeauxbĂątons3 Autres Ă©coles4 Informations supplĂ©mentaires Aperçu Il existe des Ă©coles de sorcelleries dans le monde entier, probablement dans chaque pays. Cette page liste ce qu’on en sait. Écoles connues École de Sorcellerie Poudlard Directeur Albus Dumbledore c. 1955 – 1997 ; Minerva McGonagall trĂšs peu de temps en 1997 ; Severus Rogue 1997 -1998. Emplacement Ecosse, Grande-Bretagne. Uniforme robes et chapeaux pointus noirs. Institut Durmstrang Directeur Igor Karkaroff jusqu’à sa mort en 1997. Emplacement un chĂąteau en Europe du Nord, si prĂšs du pĂŽle que les jours sont trĂšs courts en hiver. Uniforme fourrure, robes de couleur rouge sang. Remarques le chĂąteau de Durmstrang n’est pas aussi grand que celui de Poudlard, n’ayant que quatre Ă©tages. On n’y allume des feux que pour les utiliser Ă  des fins magiques. Le domaine est trĂšs grand et compte des lacs et des montagnes. L’Institut Durmstrang a la rĂ©putation d’enseigner les forces du Mal. Les Ă©tudiants nĂ©s de parents moldus n’y sont pas admis. AcadĂ©mie de Magie BeauxbĂątons Directrice Olympe Maxime. Emplacement France. Uniforme robes en soie fine, celles des Ă©lĂšves qui Ă©taient venus Ă  Poudlard Ă©taient bleu pĂąle. Armoiries deux baguettes dorĂ©es et croisĂ©es, chacune d’entre elles laissant Ă©chapper trois Ă©toiles. OĂč se situe BeauxbĂątons ? Durant le banquet cĂ©lĂ©brant l’arrivĂ©e des dĂ©lĂ©gations pour le Tournoi des Trois Sorciers, JK Rowling choisi de servir de la bouillabaisse. Comme certains le savent, c’est un plat typique du sud-est de la France mais qui n’est pas un plat trĂšs commun ailleurs. On pourrait alors supposer que BeauxbĂątons se situe sur la cĂŽte mĂ©diterranĂ©enne pourquoi pas prĂšs de Marseille, ce qui expliquerait pourquoi les Ă©lĂšves de BeaubĂątons ont si froid Ă  Poudlard et portent des robes aussi lĂ©gĂšres. – merci Ă  Amyll Autres Ă©coles Une Ă©cole au BrĂ©sil oĂč Ă©tait scolarisĂ© un correspondant de Bill Weasley CF7. L’Institut des sorciĂšres de Salem, Etats-Unis CF7. Les Ă©tudiants amĂ©ricains ont leur propre Ă©cole SN. Informations supplĂ©mentaires Il n’y a pas d’universitĂ©s de sorcellerie Sch1. Les jeunes sorciĂšres et sorciers n’ont pas besoin d’aller Ă  l’école moldue Sch1. Pour nous signaler un bug, merci de cliquer ici.
Maissache qu'ouvrir une boutique ésotérique c'est galÚre. Vraiment. DÚs que je prononce le mot "ésotérique" aprÚs boutique, j'ai l'impression d'ouvrir la maison de Satan, Lucifer et j'en passe. Une antre à démon vu les réactions ^^' Mais ça c'est jusqu'à ce que je leur explique que je vais y vendre ^^' Bref, une galÚre, mais une belle aventure humaine qui me permet déjà d
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Leslimites imposĂ©es aux Ă©tudes sur la sorcellerie par l’école de Manchester dans les annĂ©es 1950 et 1960, avec l’accent qu’elles mirent sur les accusations, qui ont inspirĂ© une certaine façon de voir la sorcellerie comme quelque chose de « domestiquĂ© » et qui renforce l’ordre social, pourraient faire figure d’avertissement en la matiĂšre . 6Je ne pense pas non plus qu’il

AccĂ©der au contenu principal La rentrĂ©e scolaire a eu lieu cette semaine et Dieu sait qu’on n’est jamais assez prĂȘt pour une rentrĂ©e. Histoire de vous immerger dans l’ambiance de l’école en douceur et vous rappeler que l’école c’est aussi un lieu oĂč on passe des moments mĂ©morables dont on se souviendra toujours, nous avons sĂ©lectionnĂ© pour vous 5 films Ă  voir ce week-end et la semaine qui vient, avec au menu du rire, de la nostalgie, des petites larmes aussi, et des rĂ©pliques drĂŽlissimes Ă  ressortir Ă  vos Ă©lĂšves ou Ă  vos profs !. Voici notre sĂ©lection. Qui ne connaĂźt pas encore Ducobu, le cancre lĂ©gendaire avec son pull jaune et noir qui ne passe pas inaperçu ? Le film est tirĂ© de la sĂ©rie de bandes dessinĂ©es belges rĂ©alisĂ©e par Zidrou publiĂ©es depuis 1992. Expert de la triche, Ducobu rend son professeur fou et enquiquine sans cesse la premiĂšre de la classe en mettant Ă  profit toute son imagination pour copier sur elle. Le film est drĂŽle et lĂ©ger, et le prof, campĂ© par l’humoriste Elie Semoun rend le film encore plus divertissant. Le film le plus espiĂšgle de notre sĂ©lection! 2. Le Petit Nicolas Dans la mĂȘme veine que Ducobu, le petit Nicolas est une adaptation des trĂšs cĂ©lĂšbres livres de Goscinny qui bercent l’enfance de nombreux petits français depuis les annĂ©es 60. Le film raconte la vie en France dans les annĂ©es 60, racontĂ©e Ă  travers les yeux du Petit Nicolas, un Ă©colier d’environ 7 ans. L’enfant raconte l’école de l’époque, avec ses personnages typiques le premier de la classe, le petit qui mange tout le temps, le plus fort de la classe, le cancre et bien sĂ»r la maĂźtresse. Il raconte aussi la vie de famille et en particulier l’arrivĂ©e d’un petit frĂšre qui rappelle au Petit Nicolas l’histoire du Petit Poucet
 Un film » mimi tout plein », divertissant, tendrement rĂ©tro qui nous fait voir l’école sous un jour amusant et nous rend presque nostalgiques de cette Ă©poque rĂ©volue. Le film le plus drĂŽle de cette sĂ©lection! 3. Les Choristes Le film, plusieurs fois primĂ© aux Oscars et aux CĂ©sars, se dĂ©roule en 1948 dans un internat oĂč dĂ©barque un prof de musique particuliĂšrement attachant et aux mĂ©thodes diffĂ©rentes. En effet, il rĂ©prouve les mĂ©thodes d’éducation strictes et la punition, et il saura amadouer des enfants difficiles » grĂące Ă  la musique. Les sĂ©quences musicales sont belles et le film drĂŽle, sensible, parfois triste et toujours touchant. L’acteur français GĂ©rard Jugnot campe le professeur de musique avec beaucoup de justesse. Ce film gagne la palme du film le plus touchant de ce Top 5. 4. La guerre des boutons Ahhh la guerre des boutons
un vieux film qui ne se dĂ©mode pas. Il contient LA rĂ©plique cultissime si j’avais su, j’aurais pas v’nu » qui hĂ©risse les poils de tous les profs de français depuis des gĂ©nĂ©rations ! AdaptĂ© une premiĂšre fois en 1962 par Yves Robert d’aprĂšs le roman de Louis Pergaud, il est Ă  nouveau adaptĂ© en 2011. Un grand dĂ©bat fait rage entre ceux qui ont prĂ©fĂ©rĂ© la version de 1962 et ceux qui prĂ©fĂšrent l’une ou l’autre version sortie en 2011 oui, deux adaptations ont Ă©tĂ© faites la mĂȘme annĂ©e
. Bien que l’école soit un thĂšme secondaire, le film nous fait vivre les annĂ©es 60 dans un village français oĂč deux bandes rivales d’écoliers se font la guerre pour l’honneur et rentrent chez eux les vĂȘtements en charpie, Ă  l’ancienne. Une bien jolie comĂ©die qui fleure bon la nostalgie ! A voir absolument. L’affiche du film d’Yves Robert, sorti en 1962 5. Les Grands esprits Et enfin le film numĂ©ro 5 s’intitule les Grands esprits, avec Denis PodalydĂšs et LĂ©a Drucker. C’est l’histoire d’un prof agrĂ©gĂ© de lettres mutĂ© en dans un lycĂ©e de banlieue. La difficultĂ© du prof Ă  s’adapter au langage de ses Ă©lĂšves n’a d’égale que la difficultĂ© des ados Ă  adopter ce nouveau prof qui leur parle d’oeuvres qui ne les intĂ©ressent pas et qui Ă©corche leurs prĂ©noms
 Le film promet de jolis moments
C’est le film le plus contemporain de la sĂ©lection. Vous avez aimĂ©? Partagez ce billet avec vos amis ! Vous voulez dĂ©couvrir nos cours de FLE 100% en ligne ? Prenez contact Navigation des articles

Uagadouest une école de magie africaine. Elle est la plus célÚbre d'Afrique et la seule qui a su résister aux épreuves du temps, jusqu'à acquérir une réputation internationale. Les visiteurs parlent de l'école comme d'un immense édifice sculpté à flanc de montagnes et caché par la brume, de sorte que ceux qui le voient ont l'impression qu'il flotte dans les airs. Bien qu'elle

Les aventures du jeune sorcier Harry Potter ont fait et font toujours la joie de millions de lecteurs Ă  travers le monde, qui se passionnent pour ses aventures fantastiques, entre amitiĂ©, amour et magie. Mais ce dernier point semble attiser les craintes de certains croyants, comme le prĂȘtre Dan Reehil, qui officie au sein de l’école catholique Saint-Edwards Ă  Nashville, aux États-Unis. AprĂšs avoir consultĂ© des exorcistes aux USA et Ă  Rome, qui lui ont confirmĂ© les risques potentiels qu’il y avait Ă  garder les aventures du petit sorcier dans l’école, ce prĂȘtre a pris la dĂ©cision radicale de supprimer les 7 livres Ă©crit par Rowling de la bibliothĂšque de l’établissement. Ce choix, somme toute surprenant, fait suite Ă  la plainte d’un parent, qui s’inquiĂ©tait de la promotion de la magie noire et du satanisme au sein des livres Harry Potter. Ce n’est pas la premiĂšre fois qu’Harry, Ron, Hermione et leurs compagnons sont sous les feux de la critique, de la part d’associations religieuses et puritaines. DĂšs leur parution en 1997 pour le premier tome, on a accusĂ© ces ouvrages de promouvoir l’anarchie, de diffuser des messages subversifs et de faire l’apologie de la magie, considĂ©rĂ©e comme maline par beaucoup de croyants. Dans l’e-mail qu’il a envoyĂ© aux parents pour leur faire part de son action, le prĂȘtre Ă©voque le fait que "les charmes et les mauvais sorts utilisĂ©s dans les livres sont rĂ©els. S’ils sont lus par un ĂȘtre humain, ils risquent de faire apparaĂźtre les mauvais esprits face Ă  la personne qui lit le texte". Les Ă©lĂšves de cette Ă©cole amĂ©ricaine n’auront d’autre choix que de lire la saga en douce ou sous une cape d’invisibilitĂ©... ! s’ils veulent Ă©prouver le frisson qu’ont eu leurs aĂźnĂ©s en dĂ©vorant les pĂ©ripĂ©ties du jeune Potter et connaĂźtre l’issue de son affrontement avec son terrible ennemi dont on ne doit pas prononcer le nom... ECOLEFRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI Ă  EVRY-COURCOURONNES (91080) : Ă©tablissement siĂšge (RNCS), activitĂ©, adresse, tranche d'effectif, nature de
SITUATION ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI, Association dĂ©clarĂ©e, a Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ© pour la toute premiĂšre fois en 2019 soit il y a plus de 2 ans. Le code APE/NAF de cette entreprise est le 9499Z. Ce code est rattachĂ© Ă  la catĂ©gorie suivante Autres organisations fonctionnant par adhĂ©sion volontaire. L'Ă©tablissement siĂšge de ECOLE FRANCAISE DE SORCELLERIE DE TU-SAIS-QUI, dont le numĂ©ro de SIRET est le 878 979 426 00011, est basĂ© Ă  EVRY COURCOURONNES 91080. RECOMMANDATIONS Soyez les premiers Ă  recommander les pratiques de paiement de cette entreprise IMPAYÉS INFORMATIONS FINANCIÈRES Capital social N/A Chiffre d'affaires N/A RĂ©sultat net BĂ©nĂ©fice ou Perte N/A Effectifs moyens N/A
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