avs34: Une personne peut toujours refuser un intervenant a son domicile, chaque fois qu'elle ne se sent pas a l'aise. Qu'il soit un home ou une femme. Qu'il soit un home ou une femme. Le métier d'aide soignant c'est le domaine de la sante, les personnes sont habitués a voire entrer a leur domicile, tout home de ce métier qui arrive pour des soins.

En écoutant tous les marronniers de rentrée sur toutes les chaînes et en étant tombée hier soir sur un débat enregistré visiblement en juin sur la chaîne parlementaire, on voit que tous ceux qui veulent changer » et rénover » l’école pour redonner de l’attractivité au métier d’enseignant ne connaissent rien à son essence même qui est la transmission des connaissances et ils se f.. d’ailleurs des connaissances en général, probablement parce qu’ils pensent que leur propre culture suffisante est personnellement acquise sans aide extérieure ils raisonnent en terme d’industrie heures, rendement, coûts - pensant à augmenter les horaires des professeurs là où il faudrait augmenter les horaires matières, réduire les vacances pour former les professeurs à internet, là où il faudrait leur laisser le temps de mettre à jour leurs connaissances dans ma matière de lire et réfléchir et d’ailleurs de se ressourcer nerveusement car oui il le faut pour tenir bon et enfin, arme massive, les primes au mérite comme si l’éducation des enfants demandait des exploits spéciaux aux enseignants et non la tranquillité quotidienne du travail bien fait. Bref ceux qui pensent politiquement l’école sont à la fois trop paresseux intellectuellement pour s’en informer vraiment ou ne le peuvent pas car ils sont par trop formatés intellectuellement pour imaginer d’autres recettes que celles imaginées dans le monde industriel pour produire plus de saucissons au meilleur coût . C’est exactement pareil qu’à l’ n’ose reprendre la réflexion à partir de là où on s’est fourvoyés avec une belle utopie le collège unique, la massification et l’écrasement de toute la structure y compris universitaires par une masse d’élèves mal formés à tout et qui n’ont aucune chance de réussite - et finalement la seule égalité où on a progressé est l’égalité dans l’échec. Même la question des rémunérations en dépend puisqu’on ne peut payer convenablement une profession qui s’est elle aussi massifiée et que l’on ne cesse de dé professionnaliser par des recrutements sans qualifications suffisantes…Bon courage à ceux qui oseraient y réfléchir….Dernière édition par Iphigénie le Mer 24 Aoû 2022 - 704, édité 2 foisManu7Érudit valle a écrit Manu7 a écritAujourd'hui, c'est la loterie, ceux qui sont contratuels depuis 2 ou 3 ans tiennent relativement bien la route, car sinon ils sont écartés mais comme la crise devient énorme on commence aussi à garder dans le circuit des contractuels malgré les avis défavorables des CDE !!! On marche sur la tête, on voit de tout c'est vraiment inquiétant, j'ai déjà vu des élèves me demander de venir plus souvent remplacer un contractuel les larmes aux yeux... Et au passage, je me dis que si tous les contractuels pouvaient passer 5 à 10 minutes devant un IPR pour être recrutés cela ne ferait pas de mal car on oublie que beaucoup ne passent même pas par ce dispositif et on se retrouve parfois avec des cas très limite totalement incompétents voire presque dangereux. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'estimer les possibilités qu'un contractuel soit compétent et d'en conclure qu'elles sont trop basses pour ce qui serait idéal c'est la loterie. Le problème est qu'un contractuel n'a pas été recruté selon la procédure statutaire, point les "épreuves" de sélection ont été autres et son recrutement n'a pas permis a tous les candidats de concourir librement, c'est peut imaginer une situation où tous les contractuels seraient largement plus diplômés que les titulaires, par exemple c'est peut-être le cas ça ne change rien au fait que leur présence est, selon l'architecture institutionnelle, une exception, et que le contrat ne peut pas être vu comme une alternative au statut. Je suis totalement d'accord avec toi, mais j'abordais une autre facette du problème, dans la réalité tout comme à France Télécom, quand on casse le statut mis en place on se retrouve toujours au final avec une énorme proportion d'incapables. Et je pense sincérement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années avait eu le même débat dans le premier dégré avec la mise en place des FAPE, je me souviens que sur France Inter un célèbre pédopsychiatre disait que les PE étaient inquiets car ils avaient peur que des personnes moins qualifiée soient meilleurs qu'eux... Les PE avaient simplement peur que des personnes incompétentes soient responsables des enfants, et la réalité leur a donné raison, en dehors de quelques intervenants qui proposaient des activités enrichissantes et qui souvent ne restaient pas longtemps, le reste était d'un niveau ridicule et dans ma commune les adjoints au maire s'arrachaient les cheveux pour faire comprendre qu'il était essentiel de ne pas partir avant l'arrivée des parents à la fin de la séance. zigmag17Vénérable Cleroli a écrit Sliv a écritBonjour, ce matin sur le figaro live vers 10h, notre cher ministre se faisait filmer en direct du rectorat de l'académie de Créteil pour la réunion de la cellule qui gère les contractuels et TZR. Je n'ai vu que les vingt dernières minutes. En tant que TZR, un passage m'a interpellé un des responsables expliquait qu'ils avaient mis en place une politique de fidélisation des contractuels. Autrement dit, sur certaines zones les contractuels passent en priorité sur les AFA devant les TZR... Ce n'est donc pas une légende urbaine... Je ne crois pas que l'extrait vidéo ait été posté, le voici unamusedAuverlot, recteur de l'académie de Créteil, explique au ministre Ndiaye qu'il s'assoit dans certains cas sur les statuts des profs et de la Fonction Publique Notre politique, ça a été de fidéliser les contractuels et de les faire passer avant les titulaires »SNESFSU green_apple Du pognon pour les profs! moneybag Ithyphallique August 23, 2022 Manifestement le Recteur a bien accompli la mission qui lui a été confiée et "cela" plaît. vous découvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlé de ce problème dans mon académie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloqués au profit de contractuels dans certains lycéesbeaverforeverHabitué du forumSi vous allez faire un tour sur Canope, vous trouverez plein de formations pour les contractuels, soit généralistes qu'est-ce qu'un CPE ? Qu'est-ce qu'un chef d'établissement? ou par Iphigénie a écritMais vous découvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlé de ce problème dans mon académie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloqués au profit de contractuels dans certains lycées A cette échelle oui, je le découvre. Je pensais que c'était rare, un pis-aller; pas que c'était devenu une méthode. On en parlait et j'ai découvert cette situation ici, en lisant des témoignages .CaroNiveau 9 les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! valleFidèle du forum Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ???zigmag17Vénérable valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Par choix il me semble que c'est pour ne pas subir le système des mutations non?JacqMonarqueLa pénurie a été organisée depuis plus de 20 ans, la contractualisation était même présentée par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'époque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivité du métier, la difficulté à muter et la difficulté à recruter causes et conséquences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence à se voir sage Manu7 a écrit Et je pense sincérement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. C'est basé sur quoi ? Ton observation personnelle ?C'est uniquement les contractuels ou les nouveaux titulaires sont aussi en dessous de ceux des années 2000 ?zigmag17Vénérable Jacq a écritLa pénurie a été organisée depuis plus de 20 ans, la contractualisation était même présentée par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'époque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivité du métier, la difficulté à muter et la difficulté à recruter causes et conséquences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence à se voir lourdement. C'est ça. Le côté public, assumé, auto-satisfait, du ministre, des recteurs et consorts, colore la contractualisation de soufre et de désespoir je m'entraine pour le prochain Printemps des Poètes !En attendant, tout le monde va bien du forum valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-être qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas raté le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restée contractuelle par du forum Lowpow29 a écrit valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-être qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas raté le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restée contractuelle par choix. Mais ça en revanche semble comporter un jugement général sur les collègues il y aurait des contractuels "par obligation" qui ont raté le concours, qui peuvent bouger mais n'en ont pas envie, etc. et des contractuels "par choix" qui n'ont pas tenté le concours ou qui l'ont eu, qui sont contraints de rester dans une commune..., avec le sous-entendu que les contractuels "par choix" sont les "bons", je serait comme dire qu'il y a des titulaires "par choix" qui ont eu le poste souhaité, ou qui avaient déjà un travail et on choisi de se reconvertir... et "par contrainte" mutés par extension ou qui ont eu le concours parce que c'était la suite "logique" à leurs études.CaroNiveau 9Aucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tenté le concours. J'ai très vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon époux à l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon du forum Caro a écritAucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tenté le concours. J'ai très vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon époux à l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon choix. Mais quels sont les contractuels qui ne le sont pas "par choix" ?RuthvenGuide spirituelSophie Vénétitay fait le job dans sa réaction à la vidéo de D. Auverlot et opportunisme en instrumentalisant la crise de recrutement pour aller toujours plus loin dans la remise en cause du statut et en piétinant les droits des titulaires. Inadmissible !Le statut de fonctionnaire donne des obligations mais aussi des droits. Il s’inscrit dans la conception d’un fonctionnaire citoyen. Et c’est peut-être ça qui dérange, vu l’entreprise de casse du statut et de promotion de la contractualisation menée par depuis les luttes à venir, la défense du statut sera centrale. C’est défendre nos droits, mais aussi une certaine conception du service public ambitieuse, démocratique et au service de l’intérêt général."CaroNiveau 9J'ai croisé certains contractuels qui ne parviennent pas avoir le concours et donc qui ne le sont donc pas par choix. Lisak40Fidèle du forumCaro C'est étonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisé, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement à tort ou à raison qu'ils n'ont pas les capacités pour pour le réussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon établiseement des problèmes de nationalité contractuels non citoyens européens. La plupart des contractuels croisés passent le concours assez rapidement quand même, et souvent le réussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. Après il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels...Dernière édition par Lisak40 le Mer 24 Aoû 2022 - 846, édité 1 foisvalleFidèle du forum Lisak40 a écritCaro C'est étonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisé, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement à tort ou à raison qu'ils n'ont pas les capacités pour pour le réussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon établiseement des problèmes de nationalités contractuels non citoyens européens. La plupart des contractuels croisés passent le concours assez rapidement quand même, et souvent le réussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. Après il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels... Je pense surtout que tout travailleur est fini là où il est pas une suite de choix contraints. Quelqu'un en reconversion qui aurait échoué au concours pourrait se dire "j'ai quand même décidé de postuler en tant que contractuel par choix, alors que Caro est juste devenue enseignante afin de pouvoir suivre son conjoint". C'est comme classer les titulaires selon le nombre de fois qu'ils ont tenté le concours, ou dire qu'on est certifié ou agrégé "par choix" puisqu'on aurait pu tenter le concours de Perdir alors qu'on en connaît qui ne le sont pas "par choix" parce qu'ils ont essayé un concours du ministère des finances et ont on a tous fait des choix. Autant je comprends très bien le deuxième post où Caro explique qu'elle ne regrette pas son choix, autant s'exclamer qu'elle est contractuelle "par choix !" me paraît créer des catégories peu c'est un HS, je crains, donc j'arrête, même s'il y a un lien avec la rentrée comme quoi il serait mieux n'avoir jamais tenté un concours plutôt que ne l'avoir pas eu, puisqu'on devient un simple travailleur "par défaut".Dernière édition par valle le Mer 24 Aoû 2022 - 843, édité 3 foisCaroNiveau 9Lisak 40 C'est valable en France métropolitaine ce que tu avances, c'est vrai. Par contre, ce n'est pas le cas pour l' 9Tout à fait d'accord avec toi Valle. Bonne reprise à tous / toutes. Pour ma part, je suis toujours en attente d'une affectation et le stress commence à Lisak40 a écritAprès il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels... Certains ne veulent pas subir le système de mutations. Certes, rester en RP est généralement possible, mais quand on est titulaire, on peut être loin de la zone visée et on ne peut pas refuser des postes. Lisak40Fidèle du forumEn effet Caro Je ne connais pas la situation en OM, ni même dans les autres académies. Et pour le coup tu fais partie des contractuels qui ne passent pas le concours pour pouvoir rester avec leur conjoint, ce qui me semble un raison tout à fait normale et compréhensible et de toutes les façons je ne cherche pas à juger, mais à comprendre. Bon courage pour la suite !Jenny En effet, je n'avais pas pensé à cet état de fait, toutefois cela me semble quand même une raison difficile à comprendre car il est très facile d'obtenir Créteil ou Versailles, et si on est motorisé se déplacer dans l'académie n'est à priori jamais trop difficile. Si on est muté à Paris, là encore avec les transports en commun le déplacement n'est pas un problème. C'est justement une des raisons qui me fait rester en RP je ne peux pas conduire médicalement déconseillé. Alors certes il y a même en RP des coins plus difficile à joindre que d'autres, mais à ma connaissance aucun qui soit totalement inaccessible en transports. OU bien je n'ai pas compris ton message ?Dernière édition par Lisak40 le Mer 24 Aoû 2022 - 855, édité 1 foisBaldredFidèle du forumL'état des lieux du recours aux contractuels sur France Info au mieux des candidats repêchés plutôt qu'issus de job dating, au mieux 4 jours de formation ... ou rien, au mieux une affection.... ou pas...J'ai dû manquer l'info c'est quand notre journée de grève ? Certains contractuels veulent Paris intra muros. Dans ma matière, ce n'est pas simple à obtenir, loin de là. Certains disent qu'ils refusent les services partagés... Certains postes très confortables sont bloqués pour les contractuels. Un CDE peut plus facilement garder un contractuel qu'un TZR. Sur les salaires... oui, l'académie où un stagiaire ou nétit sur 3 ne rejoint pas son poste... Sujets similairesWeek-end de rentrée, vendredi après-midi, mois de juin, 2eme jour de pré-rentrée Jean-Michel Zakhartchouk, retraité, invite les enseignants à travailler nouveau pour les AVS et AED les AVS deviennent AESH, et les AED pourront remplacer les et suppressions de postes à la rentrée chiffres primaire et secondaireLa pénurie des enseignants de Math existe-t-elle dans les lycées privés ?Secondaire - Rentrée 2012 280 enseignants recrutés à la rentrée 2012Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Eloaha écrit: henriette a écrit: Si son handicap est reconnu, il peut, comme tout autre élève handicapé, bénéficier d'un AVS. Oui, en théorie. Sauf que si ses parents ne se battent pas pour, il risque de ne pas avoir d'AVS à temps plein Même si les parents se battent d'ailleurs :| ; les parents de mon collège sont très pugnaces à ce niveau (à
Sommaire Qu'est-ce que l'auxiliaire de vie scolaireLes missions de l'auxiliaire de vie scolaireAVS auxiliaire de vie scolaire ou AESH accompagnant des élèves en situation de handicap ?Attribution de l'AVSDe qui dépend l'AVS ?Vous avez sûrement déjà entendu parler de “l’AVS” lors de réunions de rentrée scolaire. Et vous avez bien dû remarquer qu’en général, cette personne aide principalement un seul enfant qui a une particularité. Mais qu’est-ce donc un ou une AVS ? Et quel est son rôle au sein de la classe ? Détaillons sa mission, son statut et sa que l'auxiliaire de vie scolaireAVS est l’acronyme de Auxiliaire de Vie Scolaire. C’est un homme ou une femme qui a pour mission d’aider un enfant handicapé à s’intégrer et à progresser dans un établissement scolaire de Vie Scolaire accompagne de façon continue ou non, un ou des élèves handicapés dans leurs activités scolaires et/ou périscolaires. Il peut accompagner les élèves à titre individuel AVS-I, mutualisé AVS-M ou collectif AVS-CO.Cet accompagnement spécifique concerne les enfants et les adolescents susceptibles d’intégrer une classe ordinaire mais qui rencontrent un problème de santé ou d’apprentissage invalidant. Cela inclut des élèves souffrant de divers handicaps, qu’ils soient sensoriels, moteurs ou missions de l'auxiliaire de vie scolaireL'AVS possède 4 activités majeures. Les voici Des interventions définies par l’enseignant dans la classeL’AVS travaille en collaboration étroite avec l’enseignant référent de la classe. Il exécute les activités préparées par l’enseignant. Il participe à la mise en œuvre et au suivi des projets individualisés de favorise la mobilitéUne aide aux déplacements, à l’installation matérielle de l’élève, aux actes de la vie quotidienne. Avec, par exemple, l'accompagnement de l’élève lorsqu'il doit changer de classe au collège, il l’aide à préparer son cartable, il vérifie qu’il n’oublie rien. L’AVS accompagne aussi l’enfant lors des sorties scolaires, il aide à la prise de repas si besoin, aux gestes d’hygiène, il assure les conditions de sécurité et de confort et il aide à la communication avec les autres collabore au projet personnalisé de scolarisationL’AVS est présent lors des réunions éducatives concernant l’enfant ou les enfants qu’il accompagne. Une rencontre de présentation est organisée par l’équipe éducative avec la famille. La posture de l’AVS doit rester professionnelle donc l’enseignant reste le référent dans le but de préserver la relation parent/AVS. Il est tenu au secret aide à la manipulation du matériel scolaire lors de certains enseignementsCela peut impliquer par exemple la prise de notes, l’explication et la reformulation des consignes données par l’enseignant à l’écrit ou par pictogrammeAVS auxiliaire de vie scolaire ou AESH accompagnant des élèves en situation de handicap ?AVS Auxiliaire de Vie Scolaire ou AESH Accompagnant des Elèves en Situation de Handicap ces 2 statuts couvrent en fait une même mission est sensiblement la même sous la responsabilité pédagogique des enseignants, ils ont pour vocation de favoriser l’autonomie de l’élève, sans pour autant se substituer à métier d'AVS ou de AESH nécessite des qualités d'écoute, de patience et d'empathie. Il faut également avoir un bon relationnel, apprécier le travail avec les jeunes et le travail en statut et une formation différentsL'AVSLes AVS en CUI contrat unique d’insertion doivent d’abord être reconnus éligibles à un CUI par Pôle sont recrutés par l'Éducation nationale en tant qu’agents contractuels sous contrat de droit privé. Ils sont appelés à devenir AESH après un minimum d’exercice de 9 mois. Ils doivent postuler auprès du rectorat et effectuer 60h de formation. C’est le chef d’établissement qui les AESH sont des agents contractuels de l'État recrutés par contrat de droit public par l'Éducation nationale. Ce contrat est d’une durée de 3 ans, renouvelable 1 fois avec la possibilité à terme d’obtenir un contrat à durée indéterminée. Le recrutement des accompagnants se fait au niveau des rectorats des être embauché comme AESH, le candidat doit Être titulaire du diplôme d’état d’accompagnement éducatif et social DEAES option inclusion nouveau diplôme créé en 2016 et qui remplace le diplôme d’état d’auxiliaire de vie sociale et le diplôme d’état d’aide médico-psychologiqueOu avoir exercé pendant au moins 9 mois, la fonction AVS en CUI contrat unique d’insertionSoit justifier d’un diplôme classé au moins niveau IV = baccalauréatAttribution de l'AVSLorsque la famille décide en accord avec l’équipe éducative de la nécessité d’une AVS, elle monte un dossier auprès de la MDPH Maison départementale des Personnes Handicapées.Un dossier en fonction des besoinsEn fonction des besoins, la commission choisit que l’aide soit individuelle ou mutualisée voir collective. Elle dépend de la quantité de temps nécessaire et relève de la CDAPH Commission des Droits et Autonomie des Personnes Handicapées.Les principaux éléments pris en compte sont son environnement scolaire,la durée du temps de scolarisation,le besoin de l'élève,la nature des activités à accomplir par l'accompagnantDe plus en plus souvent, l’AVS est mutualisée, c'est-à-dire qu’il aide plusieurs enfants en situation de handicap dans la même classe ou dans la même qui dépend l'AVS ?Dans l’enseignement public, l’AVS dépend du l'établissement d'enseignement privé sous contrat, le chef d'établissement assume la responsabilité de l'établissement et de la vie scolaire et a donc autorité sur l'AVS ou Des lecteurs ont trouvé cet article utile Et vous ?Cet article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi
Sic’est l’enseignant qui refuse de recevoir votre enfant dans sa classe sans AVS, prenez un rdv en urgence avec la direction de l’établissement et planifiez une ESS exceptionnelle afin de définir le projet d’accueil de votre enfant le temps que l’AVS arrive.Dans la mesure du possible, faites-vous accompagner lors de cette ESS par toutes les personnes qui peuvent
Par Jean-Paul M. “PROF ET PARENT EN COLERE je vois dans mon collège et dans celui de mon fils les mêmes aberrations pour le DNB blanc ! Lorsqu’un élève a une AVS désignée comme scripteur-lecteur, l’AVS est bien avec lui dans la salle d’examen, mais elle est utilisée pour la surveillance de la salle des tiers-temps ! Donc, impossible de lire pour l’élève et surtout d’écrire pour lui ! J’ai un élève qui s’est planté au DNB blanc dans mon collège, et cela n’a gêné personne ! Et aujourd’hui, c’est au tour de mon fils ! Même situation dans son collège ! Ils ne veulent pas qu’un prof de plus rate ses cours, pour ajouter un surveillant de plus, et ils profitent de la présence de l’AVS qui n’ose pas refuser. Ma femme va avec lui ce matin à 8h, et envoi d’un mail hier on n’était évidemment pas informés de ces modalités douteuses, mon fils a posé la question hier hors de question qu’il participe à un simulacre de DNB blanc s’il n’est pas seul dans une salle avec son lecteur scripteur, que l’établissement mette ou non un surveillant en plus. Et que dire des nouvelles épreuves ? On a rajouté des matières, bien, mais le DNB toujours sur 2 jours ! Donc, qui trinque ? Les tiers-temps ! Ils commencent avant les autres, et à 10h, pas de pause pour eux les autres ont une pause. Ensuite, ils finissent après les autres et n’ont que 30 min de pause pour manger, les autres ayant plus ! Juste un rappel ce sont les tiers-temps qui sont les plus fatigables ! Ils veulent augmenter le nombre de matières, qu’ils mettent le DNB sur 3 jours ! Mais non voyons, cela coûterait trop cher !
\n\n\n \n les parents peuvent ils refuser une avs
Letiers-temps accordé par la MDA ou MLDS (organisme gérant les situations des enfants en situation de handicap) doit être respecté par les établissements scolaires. Ils n’ont pas le droit de refuser de mettre en place une salle individuelle et une AVS qui se consacre exclusivement à son rôle auprès de votre enfant. Encore une fois MDPH, PPS, PAI, PRRE, AVS, ERH …. Comment s’y retrouver dans la jungle de ces abréviations ! Voilà ça y est, votre enfant a enfin eu un diagnostic. On vous parle d’aménagements, on vous parle d’AVS, de déclaration à faire… Et bien sûr, vous n’y comprenez rien entre PAI, PPS, ERH, CDA, MDPH… mais qu’est-ce que c’est ?Que faut-il faire ?A qui s’adresser ?Ce sont bien souvent les questions que vous vous posez en premier lieu. La loi de 2005 La loi du 11 Février 2005 est une loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes loi a défini le handicap de manière plus modifie aussi le coté administratif » en créant les MDPH Maison Départementale des Personnes Handicapées. Que dit cette loi à propos du handicap ? Elle définit en préambule le handicap Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives, ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. » Par conséquence, dyslexie, dyspraxie, dysphasie, dysgraphie, dyscalculie et de manière générale tous les dys sont des handicaps qui est lié au processus de connaissances, à la cognition mot d’origine grec = connaître.Les grandes fonctions mentales sont regroupées sous le terme de cognition ou de processus cognitifs mémoire, perception, attention, intelligence, motivation, émotions, langage…. Ces fonctions sont utilisées dans le processus du traitement de l’information. La mission des MDPH La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées a institué les maisons Départementales des personnes handicapées.* Dans chaque département dépendante du Conseil Général, une maison départementale du handicap dotée d’antennes locales mobiles est créée. Elle constitue le guichet unique » auprès duquel toute personne handicapée bénéficie de l’accueil, de l’information et du conseil dont elle peut avoir besoin.* La personne handicapée dépose une demande et reçoit, après instruction et évaluation de sa situation, la décision relative à ses besoins de compensation au regard de son projet personnel de vie.* Un interlocuteur unique prend en charge les démarches complexes imposées à la personne ou à sa famille.* Une commission unique la CDA qui prend les décisions relatives à l’ensemble des droits de la siègent le président du CG, IA, DDASS, CPAM, CAF, syndicats, une association de parents d’élèves et 7 associations de familles d’enfants met en place une équipe pluridisciplinaire qui évalue les besoins de la personne handicapée, et une qui prend les décisions relatives à l’ensemble des droits de la relation avec la MDPH, l’Enseignant Référent Handicap ERH remplace le secrétaire de Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées ; on trouve aussi le sigle CDAPH. Les différentes prises en charges possibles Ecole/établissement PPRE Médecin scolaire PAI – PAPMDPH PPS – AVS – ULIS – UPI – ITEP- SEGPA… PPRE Programme Personnalisé de Réussite Éducative. C’est un dispositif purement pédagogique mis en place essentiellement pour les élèves en difficulté dans les apprentissages élèves dont les apprentissages ne sont pas maîtrisés ou risquent de ne pas être maîtrisés. Il permet la mise en place d’un soutien pédagogique spécifique avec des objectifs précis et sur une courte durée pendant le temps scolaire et hors temps scolaire. C’est un plan d’action qui doit permettre de répondre aux difficultés de l’ ce plan d’action, des personnes extérieures peuvent être conseillées comme une consultation chez un orthophoniste ou un psychomotricien. Ce dispositif doit être réévalué régulièrement afin de pouvoir l’adapter aux réels besoins de l’ est obligatoire en cas de interlocuteur L’enseignant ou le professeur principal est votre interlocuteur privilégié. En son absence, le chef d’établissement peut prendre le relais. PAI Projet d'Accueil Individualisé Ce dispositif concerne les enfants et adolescents ayant des troubles de la santé pathologie chronique, allergie….Il permet de mettre en place des conduites adaptées et des consignes à appliquer en lien avec l’état de santé par exemple, régimes alimentaires, aménagements d’horaires, dispense d’activité…. Il permet également la prise de médicaments en lien avec le trouble de santé dont la posologie et les prises sont précisées dans une ordonnance réalisée par le médecin qui suivant l’enfant pour sa pathologie.Les parents sont à l’origine de la demande. Il est mis en place par le médecin scolaire et les parents. Le chef d’établissement peut également en faire la demande avec accord de la peut être établi ponctuellement pour un projet précis comme un voyage scolaire par est reconduit d’année en année si interlocuteur Le médecin scolaire est l’interlocuteur l’établissement ne dispose pas de médecin scolaire, le document peut être établi par le médecin qui suit l’enfant en lien avec le parent et le chef d’établissement. PAP Projet d’Accompagnement Personnalisé Ce dispositif concerne les enfants et adolescents ayant des troubles des apprentissages et des difficultés scolaires durables dyslexie, dyspraxie, dysphasie, TDA/H….Les parents sont à l’origine de la demande. La demande est réalisée auprès de la médecine scolaire. Les enseignants et le chef d’établissement peuvent également en faire la demande mais celle-ci devra être acceptée par la famille ou l’élève lui-même lorsqu’il est médecin scolaire étude la demande en fonction des éléments fournis bilan orthophonique, en ergothérapie, neuropsychologique…. Une fois cette demande acceptée, le PAP peut être mis en permet la mise en place d’aménagements pédagogiques présentés sous forme d’items à sélectionner. Les items variés selon le niveau de l’élève maternelle, primaire, collège, lycée. Le PAP peut donc suivre l’élève tout au long de sa d’items Installer l’élève face au tableauPrivilégier l’agenda au cahier de textesVérifier que l’agenda soit lisiblement renseignéAgrandir les formats des supports écrits A3Il est également possible dans une partie libre de définir des aménagements PAP permet aussi la mise en place de matériel pédagogique comme d’un ordinateur et de logiciels spécifiques. Ces derniers seront fournis par la famille pas de financement.Le PAP permettra à l’élève de bénéficier d’aménagements lors des examens lorsqu’il en fera la demande interlocuteur Le médecin scolaire est votre interlocuteur privilégié. Une fois, le PAP mis en place l’enseignant de votre enfant et le chef d’établissement sont vos référents. PPS Projet Personnalisé de scolarisation nécessite une reconnaissance de situation de handicap MDPH Le PPS est mis en place lorsqu’une reconnaissance de situation de handicap a été réalisée par la MPDH. Il est demandé lors dans le dossier de demande de reconnaissance de handicap et notifié par la élèves pouvant donc en bénéficier ont donc des situations de handicap reconnues comme mise en œuvre est réalisée lors d’une EES Equipe de Suivi de Scolarisation, réunion durant laquelle sont présents les parents représentant légal de l’enfant, l’enseignant au minima le professeur principal, le chef d’établissement, la médecine scolaire. Peuvent être invités par les parents toutes les personnes qui participent aux rééducations de l’enfant comme par exemple l’orthophoniste, l’ergothérapeute ou encore le psychologue… Le chef d’établissement peut demander la présence d’autres personnels du milieu scolaire comme le psychologue scolaire, les Conseillers d’Orientation-Psychologue, ….Durant l’ESS, les besoins de l’élève sont évalués tant en matière d’aménagements pédagogiques qu’en outils. Les orientations spécialisées sont envisagées quant il y a besoin lors de cette réunion orientation en ULIS, ITEP, hôpital de jour….. Le matériel pédagogique comme l’ordinateur et les logiciels peut être demandé et un financement peut être accordé. L’ordinateur est alors notifié par la MDPH et fournit par l’inspection d’académie ASH. Les moyens humains sont aussi envisagés comme la présence d’une AVS ou AESH Aide de Vie Scolaire. L’aide humaine est alors notifié par la MDPH avec ses missions principales et son nombre d’heure lorsqu’elle est PPS prend en compte l’ensemble des difficultés de l’élève et permet donc la prise en compte des situations de handicap avec par exemple la possibilité de dispense d’activités ou encore l’aménagement d’emploi du Référent Handicap ERH est présent lors de cette réunion et rédige les documents qui seront transmis à la MDPH. C’est lui qui fait liaison avec la MDPH et qui organise l’ interlocuteur L’enseignant référent est votre interlocuteur privilégié. C’est lui qui vous aidera à réaliser les différentes demandes spécifiques aux besoins de votre chef d’établissement est le garant de la bonne application du PPS, il est donc votre interlocuteur en cas de mauvaise application de ce PPS. L'enseignant Référent Handicap ERH Qui est-il ? C’est un enseignant titulaire d’un certificat spécifique pour enseignement spécialisé. Il est donc rattacher à la branche ASH Adaptation Scolaire et Scolarisation des élèves Handicapés de l’Education NationaleSon rôle et ses missions– En relation avec les parents, l’élève, les rééducateurs, les enseignants…– Fait le lien avec la MDPH, aide à la constitution du dossier MDPH– Organise les réunions d’ESS– Effectue le suivi pendant TOUTE la scolarité de l’élève, même à l’UniversitéSes coordonnées sont affichées à l’école, si elles ne le sont pas il faut les demandes au directeur de l’établissement qui doit vous les pouvez également les trouver généralement sur le site de l’académie dont vous dépendez. Exemple Académie de Lyon Le rôle des parents Il est essentiel. C’est de la décision des parents de contacter l’ERH, le médecin parents sont ceux qui font le lien entre les différents professionnels rééducateurs, enseignants. Ils sont les seuls à pouvoir soutenir leur enfant. Il leur est demandé énergie, motivation, volonté et chaque niveau, ils sont Ils apportent les avis et bilans médicaux qui doivent rester confidentiels et sont partenaires dans la réflexion sur la prise en charge et les adaptations pour leur ce sont eux qui demandent la mise en place en fournissant les bilans concluant à un trouble dys. Ces bilans confidentiels sont remis au médecin scolaire. Ils demandent également la mise en place d’une réunion éducative à laquelle ils participent. Cette réunion permettra d’avoir une réflexion collective sur les besoins de l’ Même si la personne chargée du suivi du PPS est l’ERH, leur collaboration est indispensable car l’enfant est au centre du projet et des adaptations scolaires et hors scolaires. Leur présence est OBLIGATOIRE. La mise en place d’un PPS ne peut se faire sans leur présence. Dossier MDPH est indispensable pour non exhaustif – AEEH Allocation d’Education pour Enfants Handicapés prestation destinée à compenser les frais supportés. Par exemple psychomotricité, ergothérapie, frais de déplacement, … – PPS – Aide humaine AVS– Transport adapté taxi, transport adapté– Orientation spécialisée ULIS, ITEP, ….– Prise en charge en SESSAD Service d’Education Spéciale et de Soins à DomicileVous pouvez aussi faire appel aux associations Dyslexie APEDYS – CORIDYS – APEDADyspraxie DFD Dyspraxie France Dys – DMF Dyspraxique Mais Fantastique – 123Dys RhôneDysphasie AAD Association Avenir DysphasieTrouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité TDAH PARTOUT PAREIL, TDA/H France, Les Pandas FinistèrePrécocité ANPEIP – AFEP La commission ou réunion éducative Une commission éducative réunit toutes les personnes ayant une responsabilité éducative auprès d’un élève Les parents bien sûr mais également les enseignants, les médecins, les éducateurs, les psychomotriciens, les ergothérapeutes, les orthophonistes et les psychologues… Les parents invitent toutes les personnes qui peuvent apporter un éclairage sur la situation de l’enfant psychomotricien, ergothérapeute, psychologue, médecin mais aussi membre d’une association ou encore la personne qui l’aide à faire ses devoirs. Ce sont les parents qui sont à l’initiative de cette commission. Le chef d’établissement la déclenche et la met en place. Dans un établissement public, il peut également inviter toutes les personnes qui lui semblent pouvoir apporter un éclairage sur cet élève infirmière scolaire, médecin scolaire, psychologue scolaire, enseignants, enseignants spécialisés….Cette commission va faire un état de la situation de l’enfant. A partir de cette commission, différents projets d’accompagnement peuvent être évoqué comme le PAP ou le PPS. Cette réunion peut même constituer la première étape d’une demande de reconnaissance auprès de la MDPH ou de PAP. AVS - AESH - AUXILIAIRE DE VIE SCOLAIRE Un auxiliaire de vie scolaire est un adulte qui facilite la scolarisation mise en oeuvre par les enseignants, de certains élèves à besoins particuliers ou ayant un trouble de santé invalidant. Il est recruté par l’Inspecteur d’Académie et peu, voire aucune, formation n’est types de contrat contrat de droit public Bac minimum directement par l’Académiecontrat de droit privé niveau inférieur au Bac mais conditions particulières par l’ANPEDeux types d’AVS AVS-Co il a une fonction collective car son travail se repartit auprès de plusieurs élèves. Son temps est donc partagée auprès de plusieurs élèves. Il peut aussi relever de dispositif collectif comme dans la ULIS Unité d’Intégration Scolaire. AVS-i Il est un accompagnant individuel. Son nombre d’heures auprès de l’élève est attribué selon les besoins évalués en CDA et est indiqué dans la notification nombre d’heure de présence de l’AVS est discuté lors des ESS. C’est la CDA qui examinera si la demande semble conforme aux besoins de l’élève et notifiera le nombre d’heures dont pourra bénéficier l’élève. Comment faire appel d'une décision ? Les recours pour faire appel d’une décision ayant changé, un nouvel article sera réalisé prochainement Faire un courrier avec nom, prénom , adresse , date de naissance et la copie de la décision contestée. Fournir des arguments nouveaux comme la répercussion du handicap dans la vie quotidienne, hors scolaire, rédiger un projet de vie ».Tous les appels doivent être envoyés au président de la CDAH le président du Conseil Général ou son représentant. Il est conseillé de faire parvenir le même courrier aux instances comme la CPAM, la CAF , l’IEN ASH, le médecin scolaire de l’IA et l’ERH si le dossier a été étable avec son pour faire appel, il faut disposer d’un élément nouveau qui permettra à la CDA de réétudier le différents recours Recours gracieuxPréalablement à un recours contentieux, les parents peuvent choisir d’exercer un recours gracieux – Dans un délai de 2 mois à compter de la réception de la notification,– Motivé et adressé par courrier de préférence en recommandé avec accusé de réception, auprès du Président de la CDAPH Président du Conseil GénéralRecours contentieuxAprès ou sans avoir exercé de recours gracieux, les parents peuvent exercer un recours contentieux – Dans un délai de 2 mois à compter de la réception de la notification si aucun recours gracieux n’a été exercé– Dans un délai de 2 mois à compter de l’accusé de réception du recours s’il a été exercé un recours gracieuxAuprès du Tribunal du contentieux de l’ ces différents recours n’aboutissent pas, des parents peuvent aller jusqu’au Tribunal administratif, voire jusqu’au tribunal de la Cour Européenne. Les différents recours Recours gracieuxPréalablement à un recours contentieux, les parents peuvent choisir d’exercer un recours gracieux – Dans un délai de 2 mois à compter de la réception de la notification,– Motivé et adressé par courrier de préférence en recommandé avec accusé de réception, auprès du Président de la CDAPH Président du Conseil GénéralRecours contentieuxAprès ou sans avoir exercé de recours gracieux, les parents peuvent exercer un recours contentieux – Dans un délai de 2 mois à compter de la réception de la notification si aucun recours gracieux n’a été exercé– Dans un délai de 2 mois à compter de l’accusé de réception du recours s’il a été exercé un recours gracieuxAuprès du Tribunal du contentieux de l’ ces différents recours n’aboutissent pas, des parents peuvent aller jusqu’au Tribunal administratif, voire jusqu’au tribunal de la Cour Européenne. Conseiller aux parents de contacter la cellule Aide Handicap Ecole avant d’entamer des démarches de recours trop lourdes Cliquez pour aller directement sur la page Conclusion La collaboration pluridisciplinaire doit être évidente. L’enfant en difficulté ne pourra qu’être gagnant si les professionnels, les parents et l’école travaillent ensemble, chacun possédant sa spécificité et la mettant au service de l’enfant ….et des autres intervenants. Pages sur le même thème Quand et comment monter un dossier MDPH ? Savoir quand il est nécessaire de réaliser une demande de reconnaissance auprès de la MDPH et le chemin pour arriver à monter un dossier MDPH. Le PAP Plan d’Accompagnement Personnalisé qu’est-ce que c’est ? comment le mettre en place ? Que permet-il d’obtenir ? Aménagements aux examens Quels sont les aménagements possibles aux examens nationaux et comment les demander ? Et après le bac ? Les aménagements possibles en post bac et comment les mettre en place ? Dernières pages du blog Retrouvez des infos sur les troubles dys Avoir des informations, des conseils, des trucs et des astuces sur les troubles des apprentissages et/ou sur le Haut Potentiel Dyslexie, dyspraxie, dysgraphie, dysphasie, …pour en savoir plus sur les troubles dys. LAccompagnant des Elèves en situation de Handicap (AESH) est une aide humaine qui accompagne tout élève ayant une reconnaissance de handicap par la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) et pour lequel la Commission des Droits et de l’Autonomie ( CDA) a notifié un besoin d’accompagnement quel que soit le handicap et Bonjour, Pouvez vous me dire si vous avez réussi à obtenir une AVS pour votre enfant qui a une dyslexie sévère ? Si oui dans quelle département êtes vous? Merci pour vos réponses. Quote Topic starter Posté 03/11/2016 551 REFLO75 Membre de confiance Bonjour, voir les échanges "assistance scolaire", mon fils est "poly troubles" multidys sévère + TDA sans H + précoce Pour un AVS, nous avons attendu plus d'un an de scolarité très difficile en CP, voir les calendriers d'attribution d'AVS si urgence faire appel à une cellule spécialisée au niveau du rectorat mais on l'apprend tardivement quand les enfants cachent leurs difficultés et que les professionnels freinent votre volonté de faire bouger les modalités d'encadrement scolaire. Nos démarches sont restées sans suites dès l'entrée en maternelle, l'année de moyenne section après de nombreuses démarches obtention d'un suivi en orthophonie et au CMP, médecine scolaire exsangue et professionnels de l'EN dans l'attitude du formé avec l'idée de l'élève type et pas dans l'adaptation face à une patate chaude on la passe au voisin cela évite de se brûler les mains ! S'appuyer sur les structures existantes "mission académique à la scolarisation des élèves en situation de handicap" la difficulté est d'obtenir la qualification de handicap de votre enfant du fait du protocole nécessitant des justificatifs médicaux dans un délai restreint pour la famille c'est très compliqué de trouver des RV auprès notamment de centre référent des troubles de l'apprentissage dans des délais raisonnables minimum 2 ans. On ne peut pas qualifier un enfant de DYS sans qu'il n'ai un retard scolaire en CE2 dans les pratiques actuelles pour la reconnaissance de handicap, donc la famille qui dépiste son enfant avant les professionnels est considérée comme hors norme nous sommes une famille atypique par rapport au fonctionnement mental de 95% de la population ! On me qualifie de sentinelle et mon mari de lunaire, mais que font les autres parents attentistes du signal d'alarme censé être envoyé par des professionnels rencontrés PMI, médecin scolaire, professeur des écoles, orthophonistes, pédopsy ... ?. Vous devez vous appuyer sur ce qui est pris en compte par le système notamment le référent scolaire puisque les procédures administratives sont ce quelles sont ! Notre expérience est de constater que le milieu médical n'arrête pas de vous parler du déni des parents et de la famille par rapport à la situation de leur enfant "différent". On culpabilise la mère de son investissement pour protéger sa progéniture pour moi c'est naturel, c'est primitif mais je préfère être comme les indiens capables de regarder leur environnement et sentir arriver un tsunami n'ayant pas de technologie pour les avertir du danger, les sciences sont basées sur des expériences et l'accumulation de faits, la notion de mémoire collective est importante donc la place de l'histoire de l'humanité est partie intégrante de l'individu, le pressenti est souvent occulté dans une civilisation dite "moderne". Moi je vous dis qu'il y a un déni des professionnels de santé et de l'éducation nationale quand ils ont en face d'eux un enfant qui ne répond pas à la norme "élève type". Ils sont dans il va évoluer donc lui laisser le temps combien de temps faut-il attendre pour agir ?. Dans la nature, vous voyez un arbre plus sensible au vent que les autres vous le tutorez pour qu'il pousse droit si c'est ce qui importe à l'organisation du paysage mais est-ce primordial ? On le conduit même si on sait qu'il est unique et peut-être qu'il arrivera à compenser sa primo fragilité par rapport aux autres. Je m'interroge sur le mot "éducation" dans notre société surtout avec des AVS pas toujours formés aux différences des enfants qu'ils auront à aider avec chacun un environnement familiale différent notamment adapter l'accompagnement à la dysphasie, dyspraxie, dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dysgraphie, troubles associés à des degrés très variables . J'ai réussi à obtenir un AVS en temps mutualisé toujours en décalé par rapport à la rentrée de septembre car il y a souvent des problèmes de gestion purement financière des contrats de travail CDD avec difficultés de renouvellement même si l'AESS est compétent et investi, ne pas oublier le facteur humain, congés maladies, absences justifiées rarement remplacées, ... en thèorie 9 h par semaine l'après-midi dans un contexte particulier déjà un AVS dans l'école et départ de l'élève qui bénéficiait de la part de temps agent l'année d'avant avec le rectorat de Paris 75, année scolaire de CE1 en 2013-2014 dans un contexte ou j'étais une "guerrière" et avait l'énergie pour travailler à temps plein, faire appel aux associations de parents d'élève, aux élues locaux puisqu'il fallait gérer les contradictions entre l'agenda imposés par les modifications d'activités de l'école, créneaux piscines, ARE, RV CMP pédopsy & psychomotricité, paramédicaux orthophoniste + ergothérapeute, rédiger des courriers d'indignation auprès des diverses personnalités censées coordonner et aider mon fils à entrer dans les apprentissages scolaires et surtout devenir un élève pour lui construire sa place dans cette société. Je continue à regarder le fonctionnement des recrutements d'AVS pour d'autres enfants en difficultés scolaires dans l'ancienne école de quartier ce n'est pas encore facile pour beaucoup de familles les entretiens d'embauche ayant lieu après la rentrée donc en décalé par rapport aux besoins. Mon fils n'est plus dans le circuit classique de l'école publique et de ce fait en dehors du système avec pour conséquence plus la possibilité de faire partie d'une association de parents d'élève à moins de la créer, vous vous placez en dehors du fonctionnement classique de l'école reconnue par l'EN donc l'état et les institutionnels, c'est une exclusion forcée pour tenter de protéger votre famille. Je m'étais promise de toujours tenter d'être dans le moule "sociétale" mais il y a un moment ou les valeurs fondamentales de l'éducation pour tous ne sont plus en adéquation avec ce que votre enfant subit au quotidien au sein d'une école dite ouverte à tous donc publique. Vous avez un réflexe de survie. Vous cherchez ce qui pourrait lui apporter du plaisir à aller à l'école. La classe de 30 élèves dont plus d'un quart est déjà en difficultés scolaires n'est plus vivable au quotidien. Les parents pour diverses raisons font confiances au système qui n'apporte plus les clefs pour atteindre les objectifs d'obtenir un niveau acquisition des apprentissages pour toute une classe d'âge. Je constate que les parents qui se donnent les moyens de compenser les lacunes de leur enfant par rapport aux acquisitions sont nombreux en constatant l'augmentation du nombre de cours particuliers et stages en tout genre. N'est-ce pas un problème de responsabilité collective de répondre à la question comment aider les enfants à grandir dans une société de plus en plus clivante sans outils de compensation pour tous ? Comment ne pas avoir aussi le droit de penser que chacun est différent du fait de son unicité et que les parents ne doivent pas systématiquement être obligés de devoir étiqueter leur enfant d'"handicapé" pour obtenir une adaptation des êtres humains figés dans une fonction. Le plus difficile pour les parents d'un enfant "différent" est de comprendre ce qu'ils sont en droit de demander et auprès de qui et dans quels délais ? Alors à vous d'obtenir le mieux pour votre enfant dans un fonctionnement qui n'est pas toujours le même d'un territoire à l'autre dotations départementales en primaire, régionales au collège.... Ne lâchez rien mais attention ménagez vous aussi pour maintenir votre santé car il faut tenir sur la durée l'école est obligatoire actuellement jusqu'à 16 ans donc depuis la maternelle il faut se projeter sur 13 années de démarches avec des calendriers de renouvellement annuel pour l'EN avec ou sans GEVASCO, biannuel pour la MDPH donc suivi médical et/ou paramédical en conséquence du constat de l'évolution en bien ou en pire de votre enfant. Profitez au maximum des moments de joie et tentez de trouver des exutoires comme le sports ou des activités plaisirs en famille pour avoir les ressources notamment physiques et morales nécessaires au soutien de vos choix de vie pour aider votre enfant à s'épanouir et se révéler. REFLO75 RépondreQuote elauvity Membre éminent bonjour moi ma fille est en 3eme et nous avons demandé un avs en ce2 jusque en 5eme et nous l'avons toujour eu et nous somme dans le 06 RépondreQuote sylvie-cyrille Membre estimable bonjour ma fille est en 2nde ES et elle a une AVS depuis le 6eme. nous sommes en Bretagne 29 RépondreQuote Aumoment de la demande, ils doivent rédiger une saisine. Et ils décident jusqu’au bout, c’est-à-dire que même après avoir rédigé la saisine, même après la notification de la CDAPH, ils peuvent finalement refuser l’AVS. Quand il y a des difficultés, ce qui fait plus bouger les choses, c’est que les parents fassent remonter les J'entends tout un tas de choses au sujet des AVS, de leurs contrats, de leurs missions... Alors soyons clairs, enfin essayons. Un/une AVS, ce n'est pas une personne formée, comme un éducateur. Ce n'est pas forcément un étudiant BAC+3 en psycho. Ce n'est pas non plus un enseignant spécialisé... quoique, il va falloir recaser ceux du RASED... Je sais que certains politiques ont vendu l'idée que les AVS existaient selon le modèle italiens. C'est faux. En Italie, ce sont des personnes formées et il me semble qu'il faut 3 ans d'étude pour pouvoir accompagner les enfants handicapés. Bah oui, ils ont une vraie prise en charge, eux ! Une AVS, ce n'est pas non plus forcément un chômeur de longue durée qui ne savaient pas quoi faire de son temps. Même si c'est de plus en plus le cas. Une AVS, ça peut-être un étudiant, un futur éducateur qui se servira de ces années auprès d'enfants handicapés, en plus de ces autres expériences pour faire valider sa VAE... Et puis, parfois, ça peut être une mère qui prépare un concours et qui attend ensuite un poste, et qui se dit qu'elle pourrait être plus utile auprès d'un enfant en situation de handicap, que dans son salon à tourner en rond. Parce que, soyons clairs, on ne devient pas AVS pour le salaire. A moins d'avoir toujours rêvé d'un contrat précaire, d'un salaire tout juste au dessus du seuil de pauvreté 800 euros environ pour 24H/semaine. Les joies du contrat précaire annualisé et d'un statut inexistant... On ne devient pas AVS pour le fun. Sans compter que cette expérience vous servira tout juste à préciser ce que vous avez fait durant 2 ans, mais ne convaincra personne si vous cherchez un emploi dans la petite enfance. Tous les AVS n'ont pas le même contrat. Selon les régions, les années, les réformes, les contrats changent. Vous aurez donc des assistants d'éducation, des EVS, des je ne sais pas quoi d'autre, et tous auront la FONCTION d'AVS. Selon les contrats, il y a d'énormes différences. Une AVS embauchée en contrat d'assistant d'éducation, le sera pour 3 ans renouvelable 1 seule fois. Par la suite, si le handicap de l'enfant nécessite de poursuivre le suivi avec cette AVS, les parents peuvent alors se tourner vers une association qui aura signé une convention avec l'éducation nationale. Cette association prendra donc le relais et obtiendra une subvention pour maintenir l'AVS à son poste. Attention Il faut que le handicap de l'élève nécessite que cette accompagnement soit maintenu parce que l'AVS a acquis des compétences spécifiques. Donc vous pouvez oublier pour un enfant dyspraxique. Non ! On vous dit qu'avoir établi une relation de confiance lui permettant de progresser sereinement n'est pas une compétence spécifique ! Et même avec un dossier béton, pas sur que vous trouviez une association, une subvention et tout... Une AVS embauchée en contrat CAE/CUI ne le sera qu'en tant qu'EVS assurant la fonction d' Enfin sur le contrat, il y aura marqué Les EVS n'ayant pas la même fonction. Mais si l'inspection académique veut bénéficier de ces contrats, c'est comme ça que ça se passe. En général 6 mois de contrat, reconduit plusieurs fois, dans la limite des 24 mois maxi. En tout cas dans mon académie, c'est comme ça. Moi, j'ai eu du bol, un an d'office, reconduit pour 1 an supplémentaire. Et mieux encore, contrat de 24h, quand mes collègues n'obtenaient que 20H/semaine. Et, petit bonus, j'ai gardé un de mes élèves pendant les deux ans !! Ce n'est pas le cas de toutes les AVS en contrat précaire CAE... Non CAE, ça ne veut pas dire cruche attendant un emploi, ça veut dire contrat d'aide à l'emploi. Et CUI, ça veut dire contrat unique d'insertion. Et c'est là que je rigole doucement.... Insertion. Quel joli mot ! Oh, comme il est beau et bien placé... Dis donc, si je n'étais pas inscrite au pôle emploi, ça me ferait presque rêver ! En fait ce mot a été placé là par un mec qui trouvait ça joli, mais ne veut rien dire. Parce que dans la vraie vie, quand votre contrat est terminé, on vous envoie votre certificat de travail, votre attestation pour les assedics. La madame de pôle-emploi l'examine Et le perd aussi, mais ça c'est facultatif. le regarde et vous demande Alors quelles sont les démarches que vous avez effectuées pour trouver un emploi ? Bah j'en avais un, un emploi, madame. Mais l'état a décidé que je n'avais plus le droit de le faire... Dans la vraie vie, vous avez un moment de panique, quand la dame du pôle-emploi vous dit "Mais pour les c'est le service chômage de l'inspection académique qui se charge de vous indemniser." Alors que la secrétaire de l'IA vous a dit le contraire. Mais oui, mais en fait non... Sur le CAE, il est écrit EVS, je ne suis que sur mon contrat... Donc c'est pôle-emploi, mon ami qui s'en charge ! Dans la vraie vie, l'enseignante référente est dépitée, parce qu'elle écoute les enseignants, se rend bien compte que certains/nes AVS font un super boulot et ne peut pas les garder. Et elle sait, la dame, que l'année d'après, une autre personne viendra, que la première réunion de l'équipe éducative sera à base de "heu bah, on commence à avancer, mais il a fallu du temps pour établir une relation de confiance avec l'élève". Elle sait que l'AVS dira que l'élève l'a testé, que l'élève a du mal a accepté l'aide proposée, que l'élève a perdu un temps considérable en essayant de jouer la carte du conflit. Et peut-être même que l'AVS lui dira "Je n'arrive à rien avec cet élève, il rejette mon aide". Oui, je pense à un élève en particulier et elle sait que l'élève avait établi cette relation avec une autre personne, l'année précédente, révélant son potentiel et progressant bien plus vite qu'il ne l'avait fait avant. Et même si, dans cette description, vous avez reconnu mon Elève2, il n'est pas le seul dans ce cas. J'ai connu une AVS qui était totalement rejetée par son élève. La gamine ne supportait pas sa présence, n'acceptait pas son aide et piquait de grosse colère si elle y était contrainte. Et bah, j'aurais pas aimé être à sa place, la pauvre. Alors, oui, je me suis renseignée. Oui, j'ai demandé à madame inspection académique s'il existait un autre contrat, s'il existait une façon de continuer dans cette voie... Mais c'est de plus en plus difficile parce que l'état referment les portes, espérant ainsi déléguer ce poste de dépense aux associations. Et n'en déplaisent à ceux qui croient encore que le gouvernement s'intéresse aux enfants handicapés, c'est précisément le but de la circulaire du 31 Aout 2010 Déléguer aux associations. Alors maintenant, certains me parlent du baccalauréat Pro "Accompagnement, soins et Services à la personnes" et sous-entendent que c'est un premier pas pour faire du poste d'AVS un vrai métier. Moi, on m'a toujours dit, si ça ressemble à un canard, que ça marche comme un canard et que ça fait coin-coin, C'EST UN CANARD ! Là, ça ressemble à une méga arnaque, ça a l'odeur d'une méga arnaque... Je vous laisse en déduire ce que vous voulez. Ce BAC providentiel est en réalité une sorte de substitue au BEP sanitaire et social. Il suffit de regarder la formation et les compétences requises pour l'obtenir et se dire "oh mais dis donc, ça ressemble vachement au BEP, mais en plus dur"... Il permettra donc de bosser avec des personnes agées, des personnes handicapées à domicile ou en structure selon l'option choisie... Et là, on se demande quel est le rapport avec le chouette métier d'AVS... Bah, y'en n'a pas !! S'il y avait un rapport, on demanderait aux AVS d'avoir un BEP sanitaire et social ! Et ce n'est pas le cas ! Oui, vous avez le droit de me répliquer que, normalement, on demande minimum le BAC et que moi, je ne l'ai pas... Mais c'est différent. Et quand c'est différent, bah c'est pas pareil ! Moi, j'ai harcelé l'inspection académique. Et quand j'ai enfin obtenu un entretien, j'ai expliqué mon projet. J'avais déjà bossé avec des personnes handicapées et avec des enfants... Il y avait une sorte de logique, de continuité. Et puis, j'ai eu un gros coup de bol aussi. Parce que j'ai fait une gaffe ce jour là. J'étais stressée quand ils se sont présentés 3 personnes pour l'entretien alors je n'ai pas vraiment fait attention. Et quand une des dames m'a parlé de la prise en charge des enfants handicapés, j'ai répondu que ça revenait à mettre un pansement sur un bras cassé. C'est sorti tout seul et je l'ai regretté aussitôt, même si je le pensais, sure d'avoir perdu toutes mes chances de devenir AVS. Mais en fait, en face de moi, se trouvait 2 enseignants référents et une maman, présidente d'une association de parents d'enfants handicapés. Elle a sourit, un des enseignants a répliqué qu'il aurait plutôt parlé d'une jambe à ce stade et tout le monde a rit. La suite de l'entretien m'a réconfortée et en sortant, je savais que j'aurai le poste. Parfois, les gaffes, ça aide ! Deuxième coup de bol. je n'avais pas le droit aux CAE, parce que je n'avais pas deux ans de chômage. Mais l'inspection académique a insisté et la dame du pôle emploi m'a fait passer dans une petite faille. On peut avoir ce type de contrat sous certaines conditions 2 ans de chômage par exemple et l'une d'elle est la difficulté à trouver un emploi dans son domaine professionnel. Il se trouve qu'à cette époque, il y avait peu d'offre d'emploi dans la petite enfance, dans ma ville. Enfin bref. Tout ça pour répondre à ceux qui me demandent "Mais tu es sure que tu ne peux plus du tout être AVS ?" Bah non, je ne peux plus, à moins de rester deux ans au chômage et de refaire une demande pour un contrat CAE, et je n'ai pas l'intention de le faire. Non, je ne peux pas avoir un contrat d'assistant d'éducation. Il faut bac +2 pour être embauché en AED aux fonctions "appuis aux enseignants pour le soutien et l'accompagnement pédagogique". Oui, on sait tous que ça veut dire AVS, mais là ça fait plus classe ! Et puis, j'ai un projet, l'air de rien. Mais si l'état avait voté le projet de loi promis. Si les AVS avaient obtenu un vrai statut, que c'était devenu un vrai métier pour la société, parce que pour moi c'est déjà un vrai métier, j'aurai sûrement continué dans cette voie. Mais si une personne hésitante passe par là.... Si le chouette métier d'AVS la tente... J'ai quand même deux/trois choses à préciser. AVS, c'est considéré comme un poste, un job précaire. Mais on ne choisit pas ce job comme on postule à carrouf ou chez Mc Do. AVS, c'est passer ses journées avec des nains qui rament et qui ont besoin de soutien. Il s'agit de petits humains, pas bien équipé en confiance, en autonomie ou en concentration. Ces nains ont souvent déjà eu des AVS, et selon les personnes, ça s'est plus ou moins bien passé. Alors, quand on envoie sa candidature à l'inspection académique, il faut se poser quelques questions. - Est-ce que j'ai assez de patience ? - Est-ce que je me sens capable d'affronter le handicap ? Et je dis ça, parce qu'une copine AVS m'a dit un jour, qu'elle avait eu peur qu'on lui confie un enfant autiste. C'est un handicap qui l'angoisse Enfin, ce genre de questions qu'on vous posera lors de l'entretien. Mais c'est un chouette boulot, valorisant et riche. On y apprend autant sur les autres que sur soi. Et croyez-moi, quand vous tombez sur Elève2 et qu'il a décidé de vous tester, vous avez plutôt intérêt à être sur de vous et à savoir pourquoi vous êtes là. L'année va bientôt commencer et il n'y a pas assez d'AVS alors j'espère que quelques étudiants voudront bien aller faire un tour du coté de l'IA...
LAVS peut décider seule d’aménager les documents. Faux, c’est l’enseignant qui doit dire comment aménager les documents. Les enfants dys ont trop été couvés par leurs parents. Faux, certains parents sont à juste titre inquiets mais ce n’est pas ce qui a provoqué le trouble développemental. Document II et sa correction Vous vous occupez d’un élève présentant un
La gestion des AESH est rectorale mais presque toujours le Recteur de l’académie délègue cette gestion aux Inspecteurs d’académie DASEN. C’est donc l’Inspecteur d’académie du département qui a en charge l’affectation des AESH après que la CDAPH a notifié leur attribution auprès d’un ou de plusieurs élèves. Et c’est donc à l’Inspecteur d’Académie et à ses services, et notamment à l’IEN ASH et aux pilotes des PIAL que l’on doit s’adresser pour toute question en rapport avec l’affectation des AESH. Un coordonnateur départemental Dans chaque département, l’Inspecteur d’académie désigne un responsable chargé de coordonner le dispositif d’accompagnement des élèves en situation de handicap, en application de la circulaire n° 2017-084 du 3 mai 2017. Certains grands départements peuvent avoir plusieurs coordonnateurs. Le coordonnateur départemental est chargé du suivi de la mise en œuvre des PIAL au niveau départemental et il s’assure de leur cohérence. Il est chargé de l’affectation des AESH dans chaque PIAL. Le coordonnateur départemental est placé sous la responsabilité de l’IEN-ASH. On trouve généralement ses coordonnées sur le site de l’IEN-ASH du département ou on peut la demander à la cellule d’écoute des familles 0 805 805 110. Les PIAL – Pôles Inclusifs d’Accompagnement Localisés Les PlAL Pôles Inclusifs d’Accompagnement Localoisés sont conçus comme un outil de gestion des ressources humaines, permettant de répondre au mieux aux besoins d’accompagnement des élèves, tout en permettant une meilleure organisation du service des AESH. Le PIAL, un outil de gestion des ressources humaines Le PIAL est une organisation locale des interventions des AESH sur un secteur donné. Les PIAL couvrent l’ensemble du territoire depuis la rentrée 2021. L’extension des PIAL est variable. Le secteur d’un PIAL peut correspondre aux secteurs d’un ou plusieurs collèges. Le PIAL est placé sous la responsabilité d’un pilote du PIAL l’IEN du secteur pour le premier degré, un chef d’établissement pour le second degré. Les PIAL devraient permettre de mieux répartir et coordonner les interventions des AESH en fonction des besoins et des emplois du temps des élèves concernés, dans la mesure où ils sont confiés à des acteurs du terrain. C’est dans ce but qu’ils ont été créés. Le coordonnateur du PIAL organise et coordonne le travail des AESH Le coordonnateur départemental est suppléé, dans chaque PIAL, par un coordonnateur du PIAL désigné par le pilote du PIAL, souvent un enseignant déchargé, un directeur d’école ou dans le second degré, un membre de l’équipe pédagogique. Ce coordonnateur est chargé, sous la responsabilité du pilote, de l’organisation et du suivi de l’accompagnement humain dans le secteur du PIAL Il coordonne et module les emplois du temps des AESH Concernant les AESH, il est l’interlocuteur privilégié des directeurs d’école, des chefs d’établissement et bien sûr des AESH eux-mêmes. Il a notamment la charge d’assurer le suivi du dispositif. C’est dire qu’il doit répondre aux situations difficiles qui se produisent en cas d’absence de l’AESH. Mais ses moyens sont limités ! Le fonctionnement du PIAL Le fonctionnement de AESH mutualisés rentre tout à fait dans ce cadre. Leur attribution aux élèves qui en sont bénéficiaires reste notifiée par la MDPH, mais c’est le pilote du PIAL qui arrête leurs emplois du temps et qui détermine la quotité horaire de leurs interventions auprès des élèves concernés. Le fonctionnement des AESH individuels, par contre, pose des problèmes aux PIAL, puisque c’est la MDPH qui fixe la quotité horaire d’accompagnement individuel attribuée à chaque élève. C’est une contrainte dont l’Education nationale souhaite se défaire et de fait l’Education nationale fait pression sur les MDPH pour ne conserver que des AESH mutualisés. Des difficultés En cas d’absence ponctuelle d’un accompagnant, cette souplesse d’organisation du PIAL peut permettre un remplacement de l’absent par une réorganisation temporaire du service. On y gagne ainsi en souplesse. Mais il faut reconnaître que cela revient à déshabiller Pierre pour habiller Paul et que parfois sous prétexte de souplesse, on assiste à une valse des AESH. Dont les AESH se plaignent. Voir les absences des AESH. Les PIAL sont souvent vilipendés comme un outil de gestion purement comptable, déconnectée et déshumanisée. Ce maillage va en effet de pair avec une mutualisation de plus en plus généralisée des AESH, au détriment de l’accompagnement individuel, un dispositif permettant, selon ses détracteurs, d’afficher une augmentation du nombre d’élèves suivis, tout en réduisant le nombre d’heures d’aide apportée à chacun. Les PIAL sont accusés de dégrader les conditions de travail des AESH et de l’accompagnement des élèves. C’est en fait le manque d’AESH par rapport au nombre des attributions qui pose le plus de problèmes. Mais il faut sans doute songer à compléter le dispositif des AESH non seulement en augmentant leur nombre, mais aussi en développant d’autres formes d’accompagnement des élèves handicapés et d’autres formes d’aides aux enseignants qui les reçoivent. Voir le nombre des AESH. Des mesures complémentaires AESH référents et PIAL rénforcés A la mi-2020 deux innovations intéressantes sont venues compléter le dispositif. Primo, la création des AESH référents, des accompagnants dotés d’au moins trois ans d’expérience diversifiée et ayant suivi des actions de formation, chargés d’aider des collègues AESH en difficulté. Secundo, la possibilité de PIAL renforcés » dont l’objectif est de renforcer la coopération entre les enseignants du milieu ordinaire qui scolarisent un élève en situation de handicap, l’AESH et les personnels spécialisés du secteur médicoéducatif, voire du secteur libéral, en permettant leur co-intervention dans l’école. Les PIAL renforcés peuvent permettre aussi d’offrir le meilleur accès à l’école à des élèves qui relèvent d’un établissement ou d’un service médico-social. Références La circulaire n° 2017-084 du 3 mai 2017 – pilotage La circulaire 2016-117 du 8 août 2016 – L’aide humaine La circulaire 2019-090 du 5 juin 2019 – Cadre de gestion des personnels exerçant des missions d’accompagnement d’élèves en situation de handicap AESH Mise à jour 16 juin 2022
Aumoment de la demande, ils doivent rédiger une saisine. Et ils décident jusqu’au bout, c’est-à-dire que même après avoir rédigé la saisine, même après la notification de la CDAPH, ils peuvent finalement refuser l’AVS. Quand il y a des difficultés, ce qui fait plus bouger les choses, c’est que les parents fassent remonter les problèmes.Parfois, les familles veulent absolument continuer
Accueil Hauts-de-France Tourcoing Une famille de plus dans le combat de l’aide aux parents d’enfants handicapés. On refuse une assistante de vie scolaire à temps plein pour leur fils trisomique. Louis se sent pourtant bien à l’école. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 9h29 France Incendies en Gironde voici pourquoi le vin risque d’avoir un goût désagréable» 9h05 LOSC Ajaccio – Lille le LOSC a parfaitement réagi 8h48 France Vacances d’été une saison touristique réussie pour la France, le littoral a la cote 8h15 International Portugal grève chez un bagagiste, 150 vols annulés, Easyjet le plus affecté 7h41 International Traité pour protéger la haute mer toujours pas d’accord à l’ONU Toute l'info en continu >
Refusd’une AVS : la détresse d’une maman Publié le 25 juin 2018 à 10h56 Modifié le 25 juin 2018 à 18h05 ils peuvent enrichir le dossier avec de
Scolarisation des élèves en situation de handicap Cette Foire Aux Questions FAQ a été conçue avec notre partenaire la FNASEPH Fédération Nationale des Associations au Service des Elèves Présentant une situation de Handicap, pour vous aider. Vous trouverez ci-après des réponses aux questions les plus fréquemment posées concernant la scolarisation des enfants en situation de handicap. Le droit à la scolarité Réponse de la FNASEPH Un refus au simple motif que votre enfant est en situation de handicap peut être considéré comme discriminatoire. " Tout enfant doit pouvoir être accueilli, à l'âge de 3 ans dans une école maternelle ou une classe infantile le plus près possible de son domicile, si sa famille en fait la demande " Art. 2 de la loi d'orientation sur l'éducation n° 89-486 du 10/7/1989. " Cette formation scolaire est entreprise avant l’âge de la scolarité obligatoire, si la famille en fait la demande " Art. 19 de la loi du 11février 2005 - Il convient de formuler la demande d’inscription et de scolarisation auprès de la mairie, puis de la direction d’école. Les refus peuvent être adressés au médiateur de la république, présent dans tous les départements et au Défenseur des Droits. Réponse de la FNASEPH L'obligation éducative faite aux familles de donner une instruction à leurs enfants entre 6 et 16 ans et le droit à l'éducation sont deux choses différentes. " L'instruction est obligatoire pour les enfants des deux sexes, français et étrangers, entre six ans et seize ans. La présente disposition ne fait pas obstacle à l'application des prescriptions particulières imposant une scolarité plus longue " Art. 2 de la loi d'orientation sur l'éducation n° 89-486 du 10/7/1989. La situation de handicap d’un jeune âgé de plus de 16 ans peut donc constituer une situation particulière et justifier une scolarité plus longue que l’Éducation nationale ne peut pas refuser. Le Conseil d’État s’est exprimé à propos du droit à l’éducation des enfants handicapés Décision du Conseil d’État n° 311434, Séance du 6 mars 2009, Lecture du 8 avril 2009 " Le Conseil d’État juge que les difficultés particulières que rencontrent les enfants handicapés ne les privent pas du droit à l’éducation, qui est garanti à chacun quelles que soient les différences de situation, et ne font pas obstacle au respect de l’obligation scolaire, qui s’applique à tous. Une carence de l’État dans ce domaine peut constituer une faute dont les conséquences peuvent être réparées financièrement ". " Il incombe ainsi à l’État, au titre de sa mission d’organisation générale du service public de l’éducation, de prendre l’ensemble des mesures et de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour que le droit à l’éducation et l’obligation scolaire aient, pour les enfants handicapés, un caractère effectif. Si tel n’est pas le cas, la carence de l’État constitue une faute de nature à engager sa responsabilité. L’administration ne peut pas, pour se soustraire à cette responsabilité, mettre en avant l’insuffisance des structures d’accueil existantes ou le fait que des allocations sont allouées aux parents d’enfants handicapés ". Dernièrement la loi de Refondation de l’école LOI n° 2013-595 du 8 juillet 2013 - art. 14 a précisé ce point dans l’article L122-2 " Tout élève qui, à l'issue de la scolarité obligatoire, n'a pas atteint un niveau de formation sanctionné par un diplôme national ou un titre professionnel enregistré et classé au niveau V du répertoire national des certifications professionnelles doit pouvoir poursuivre des études afin d'acquérir ce diplôme ou ce titre. L'Etat prévoit les moyens nécessaires, dans l'exercice de ses compétences, à la prolongation de scolarité qui en découle. Tout jeune sortant du système éducatif sans diplôme bénéficie d'une durée complémentaire de formation qualifiante qu'il peut utiliser dans des conditions fixées par décret. Cette durée complémentaire de formation qualifiante peut consister en un droit au retour en formation initiale sous statut scolaire. Tout mineur non émancipé dispose du droit de poursuivre sa scolarité au-delà de l'âge de seize ans. Lorsque les personnes responsables d'un mineur non émancipé s'opposent à la poursuite de sa scolarité au-delà de l'âge de seize ans, une mesure d'assistance éducative peut être ordonnée dans les conditions prévues aux articles 375 et suivants du code civil afin de garantir le droit de l'enfant à l’éducation". Réponse de la FNASEPH Tout enfant a droit à l’école. Votre demande de scolarisation est légitime. Il convient de voir si la situation de handicap va nécessiter des aménagements et des adaptations relevant des missions de l’école, voire des compensations relevant de décisions de la MDPH. Réponse de la FNASEPH Il est utile de rappeler qu’une scolarisation à temps très partiel n’a pas de sens. Si en raison du handicap, on peut admettre une scolarisation de quelques heures au début, très vite ce temps doit progresser pour atteindre un temps ordinaire, ou le plus près possible de ce temps temps partiel peut être accepté si des rééducations extérieures sont nécessaires mais au fur et à mesure que votre enfant grandit, les temps de rééducation doivent se passer en dehors du temps scolaire. Pour obtenir l’augmentation du temps de scolarisation, il faut s’appuyer sur les progrès accomplis par l’enfant dans ses apprentissages ainsi que sur les avis des professionnels qui le suivent en soin et rééducation. Réponse de la FNASEPH Pour la rentrée en classe de petite section d’école maternelle, qui est la première année d’école, avec pas mal de pleurs d’enfants le jour de la rentrée, on peut donc comprendre que les enseignants de cette classe puissent préférer accueillir l’élève en situation de handicap un ou deux jours après les autres, une fois le climat de la classe apaisé. On peut profiter de ce décalage de quelques jours pour préparer des aménagements nécessaires, préparer les autres élèves sans stigmatiser l’élève en situation... En tout, ce décalage se fait avec votre accord. N’acceptez pas ce décalage de rentrée dans d’autres niveaux scolaires ni pour d’autres motifs allégués, telle l’absence d’AVS. Expliquez calmement que, comme tout parent, vous souhaitez que votre enfant fasse sa rentrée " avec les autres ", que le handicap ne justifie pas cette différenciation. Réponse de la FNASEPH On reconnaît aujourd’hui assez largement la dyslexie comme un dysfonctionnement cognitif – un trouble – qui se caractérise par des difficultés d’apprentissages, graves et durables, chez un enfant qui, par ailleurs, manifeste des capacités intellectuelles normales, ne présente pas de déficiences sensorielles visuelle ou auditive, suit une scolarité régulière. La dyslexie constitue un trouble durable et persistant y compris chez l’adulte. Cependant, au début de l’apprentissage, il est difficile de distinguer un simple retard d’un trouble spécifique. Les troubles sont moins aigus si on met en place une approche pédagogique et éducative adaptée. Et tout au long de la scolarité, il sera nécessaire d’apporter à l’élève une aide à l’organisation et aux apprentissages, de façon à ce que les effets du trouble spécifique ne retentissent pas sur l’ensemble du travail. Pour obtenir la mise en place d’aménagements particuliers pour votre enfant, la reconnaissance de son trouble spécifique passe généralement par le centre de référence des troubles des apprentissages de votre région. Néanmoins, le médecin scolaire peut être dans un premier temps janvier 2015, les aménagements et adaptations peuvent être consignés dans un document " Plan d’Accompagnement Personnalisé " de la maternelle au lycée. Il s’adresse aux élèves présentant ces troubles des apprentissages et ne nécessitant pas de compensation notifiée par la MDPH ; le PAP peut se mettre en place à votre demande ou celle des enseignants. Le constat des troubles doit être fait par le médecin scolaire ou le médecin qui suit l’enfant ; le PAP est un outil de suivi de l’élève et des adaptations dont il a besoin. Les adaptations contenues dans le PAP s’imposent aux enseignants. Réponse de la FNASEPH La dyslexie, la dyspraxie et la dysorthographie peuvent être reconnues par la MDPH en raison de la sévérité des retentissements sur les apprentissages et les relations sociales. La MDPH au regard de bilans et d’éléments de diagnostic peut reconnaître un taux de handicap selon l’intensité des retentissements des troubles dans la vie du jeune et pas uniquement sur un diagnostic de dyslexie, ou de dyspraxie.... La question à se poser est pourquoi formuler une demande à la MDPH ? Pour obtenir des aides, de quelles natures ? Des adaptations et aménagements pédagogiques pas besoin de faire appel à la MDPH, la mise en place d’un Plan d’Accompagnement Personnalisé PAP peut suffire avec des bilans et une rencontre avec le médecin scolaire. Une aide humaine AVS, du matériel pédagogique ordinateur, scanner... il faut formuler ces demandes dans le cadre d’un dossier MDPH. Des aides pour financer des séances en libéral de kinésithérapie ou ergothérapeute non remboursées par la SS pour faire face à cette dépense financière, la MDPH peut reconnaitre un taux de handicap temporaire d’au moins à 50%, temporairement le temps de la rééducation. Réponse de la FNASEPH Selon l’art. du décret n° 2014-1485, les élèves disposant d’un PPS peuvent être dispensés d’un ou plusieurs enseignements dès lors qu’il n’est pas possible de rendre accessibles ces enseignements en raison du handicap. La décision de dispense est prise par le recteur. Il faut l’accord écrit du jeune ou ses parents. Il est important d’être informé des conséquences de cette dispense sur la suite du parcours de scolarisation. En effet, la dispense d’enseignement pendant l’année ne dispense pas de l'épreuve à l’examen. Réponse de la FNASEPH Les candidats sollicitant un aménagement des conditions d'examen ou de concours adressent leur demande à l'un des médecins désignés par la Commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées territorialement compétente. La demande doit être formulée au plus tard à la date limite d'inscription à l'examen ou au concours concerné, sauf dans le cas où le handicap est révélé après cette échéance. Le médecin rend un avis, qui est adressé au candidat et à l'autorité administrative compétente pour ouvrir et organiser l'examen ou le concours, dans lequel il propose des aménagements qui paraîtront d’autant plus nécessaires au vu notamment des aménagements dont l’élève a bénéficié pendant la scolarité. L'autorité administrative décide des aménagements accordés et notifie sa décision au candidat. La décision est prise par les services du recteur qui la transmettent au candidat et/ou à sa famille, ainsi qu'aux centres d'examens concernés.Si le cas de cet élève n’a jamais été vu auparavant par la CDAPH, il risque d’être délicat de demander un aménagement d’examen en fin de scolarité si aucun aménagement de la scolarité n’a jamais été nécessaire. De plus, demander le tiers temps supplémentaire pour l’examen ou un secrétaire pour l’examen ou l’accès à un équipement bureautique nécessite de pouvoir gérer cet aménagement le jour de l’examen. Cela nécessite généralement un entraînement préalable. Réponse de la FNASEPH Pour certains enfants en situation de handicap, un soutien dans certaines matières par des cours du CNED peut sembler souhaitable et complémentaire avec le cours de l’enseignant de la classe. Cela doit être une demande de l’équipe de suivi de la scolarisation, validée ensuite par une notification de la CDAPH. Dans les faits, c’est très difficile à obtenir car l’Éducation nationale redoute souvent une concurrence entre le cours de l’enseignant de la classe et celui du CNED... L’inscription au CNED est gratuite si l’Inspecteur d’Académie l’accepte après la notification de la CDAPH. Sinon, elle est payante pour les parents. Il existe au CNED une filière d’enseignement adapté pour les élèves en situation de handicap avec des cours très bien faits. Pour faire face à une difficulté scolaire, la MAIF propose avec son partenaire rue des écoles, une Assistance Scolaire Personnalisée en ligne ; véritable pont numérique entre l’école et la maison. L’ASP offre un moyen gratuit pour soutenir tout élève en difficulté fiches pédagogiques, souvent accompagnées de commentaires audio et de clips vidéo, exercices, programme complet de révision.... Réponse de la FNASEPH Cet élève peut bénéficier de l’aide d’un Service d'Assistance Pédagogique à Domicile SAPAD durant sa convalescence. Cette assistance est gratuite pour les familles et concerne tout élève du CP à la terminale dont la scolarité est interrompue pour une durée d’au moins 3 semaines ou entrecoupée par des absences répétées maladies chroniques. Il s'agit de garantir le droit à l'éducation et la poursuite des apprentissages " malgré " la maladie ou l'accident et ce, sans rupture. Ce service est géré par l’Inspection académique du département et/ou par une association qui en a la gestion par convention. Dans la grande majorité des cas, ce sont les professeurs de l'enfant, ou ceux de son établissement scolaire, qui se déplacent au domicile. Ce peut être des enseignants d’établissements voisins. Ces enseignants sont volontaires et sont rémunérés au titre d’heures supplémentaires. Réf. texte SAPAD circulaire du 17 juillet 1998. Réponse de la FNASEPH Si vous avez au moins un enfant âgé de 6 à 18 ans à votre charge, vous pouvez avoir droit à l’Allocation de Rentrée Scolaire ARS sous conditions de ressources, Elle permet d'aider les familles à financer les dépenses de la rentrée scolaire. Son montant dépend de l'âge de l'enfant. En principe, si vous êtes déjà allocataire, vous n’avez pas de démarche à effectuer, vous devez simplement avoir déclaré vos revenus à votre service des Impôts ou à votre est versée automatiquement fin août pour les enfants âgés de 6 à 16 ans. Pour ceux âgés de 16 à 18 ans, le versement intervient dès que vous aurez renvoyé la déclaration de situation justifiant de leur scolarité ou de leur apprentissage. Si vous n'êtes pas allocataire, vous devez remplir un dossier et le retourner à votre Caf. Vous pouvez le télécharger et l'imprimer ou le demander à votre Caf. Certaines Caf ne versent pas automatiquement l’ARS aux parents d’enfant en situation de handicap. C’est alors à vous d’en faire la demande chaque année en fournissant un certificat de scolarité si vous répondez aux conditions d’âge pour votre enfant et de ressources pour votre foyer. Ci-dessous les textes pour étayer votre demande Article R543-2 du code la sécurité sociale " Ouvre droit à l'allocation de rentrée scolaire chaque enfant à charge qui atteindra son sixième anniversaire avant le 1er février de l'année suivant celle de la rentrée scolaire. L'allocation reste due, lors de chaque rentrée scolaire, pour tout enfant qui n'a pas atteint l'âge de dix-huit ans révolus au 15 septembre de l'année considérée ". Article R543-4 du code la sécurité sociale " La condition d'inscription prévue au premier alinéa de l'article L. 543-1 est, sauf preuve contraire, présumée remplie pour chacun des enfants ouvrant droit à l'allocation de rentrée scolaire. Dans le cas où le versement des prestations familiales a été supprimé, au titre de l'année scolaire précédente, en application des dispositions qui édictent des sanctions aux manquements à l'obligation scolaire, l'allocation de rentrée scolaire ne doit être versée que sur justification de l'inscription de l'enfant intéressé pour la nouvelle année scolaire dans un établissement ou organisme d'enseignement. La même justification est exigée pour le versement de l'allocation de rentrée scolaire après la fin de l'obligation scolaire ". Article L112-1 du code de l'éducation " Pour satisfaire aux obligations qui lui incombent en application des articles L. 111-1 et L. 111-2, le service public de l'éducation assure une formation scolaire, professionnelle ou supérieure aux enfants, aux adolescents et aux adultes présentant un handicap ou un trouble de la santé invalidant. Dans ses domaines de compétence, l'Etat met en place les moyens financiers et humains nécessaires à la scolarisation en milieu ordinaire des enfants, adolescents ou adultes handicapés. Tout enfant, tout adolescent présentant un handicap ou un trouble invalidant de la santé est inscrit dans l'école ou dans l'un des établissements mentionnés à l'article L. 351-1, le plus proche de son domicile, qui constitue son établissement de référence ". L'article R543-3 du code de l'Education stipule " Est, au sens et pour l'application du premier alinéa de l'article L. 543-1, un établissement ou organisme d'enseignement public ou privé tout établissement ou organisme qui a pour objet de dispenser un enseignement permettant aux enfants qui suivent cet enseignement de satisfaire à l'obligation scolaire ". ET l'article L112-1 du code de l'éducation précise " Dans le cadre de son projet personnalisé, si ses besoins nécessitent qu'il reçoive sa formation au sein de dispositifs adaptés, il peut être inscrit dans une autre école ou un autre établissement mentionné à l'article L. 351-1 par l'autorité administrative compétente, sur proposition de son établissement de référence et avec l'accord de ses parents ou de son représentant légal. Cette inscription n'exclut pas son retour à l'établissement de référence. De même, les enfants et les adolescents accueillis dans l'un des établissements ou services mentionnés au 2º du I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles ou dans l'un des établissements mentionnés au livre Ier de la sixième partie du code de la santé publique peuvent être inscrits dans une école ou dans l'un des établissements mentionnés à l'article L. 351-1 du présent code autre que leur établissement de référence, proche de l'établissement où ils sont accueillis. Les conditions permettant cette inscription et cette fréquentation sont fixées par convention entre les autorités académiques et l'établissement de santé ou médico-social. Si nécessaire, des modalités aménagées d'enseignement à distance leur sont proposées par un établissement relevant de la tutelle du ministère de l'éducation nationale ". OR les établissements concernés par le 2 du L. 312-1 du Code de l'Action Sociale et des Familles sont " Les établissements ou services d'enseignement qui assurent, à titre principal, une éducation adaptée et un accompagnement social ou médico-social aux mineurs ou jeunes adultes handicapés ou présentant des difficultés d'adaptation ". Les IMP et les IME sont régis par ce fameux article ! EN CONSEQUENCE Une attestation de scolarité d'un IME ou d'un IMP permet de prétendre à l'Allocation de Rentrée y a donc TOUT intérêt à inscrire aussi les enfants dans les établissements scolaires de droit commun, même scolarisés dans le secteur médico-social. D'où l'absolue exigence d'une inscription effective de tous les enfants handicapés en milieu scolaire ordinaire. Le projet personnalisé de scolarité Réponse de la FNASEPH Les coordonnées de l’enseignant référent ER qui sera chargé du suivi du projet personnalisé de scolarisation PPS de votre enfant doivent vous être communiquées par le directeur de l’établissement scolaire. Le PPS de votre enfant est suivi par un ER quel que soit le mode de scolarisation de votre enfant classe ordinaire, dispositif collectif de l’Éducation nationale ULIS ou en établissement médico-social. Cet enseignant référent est votre interlocuteur privilégié. Il vous accueille, vous informe. Il réunit et anime l’Equipe de Suivi de la Scolarisation ESS. Il veille à l’application du PPS, sa continuité et sa cohérence. Il est un enseignant spécialisé et agit sur un secteur bien déterminé du département. Sachez que vous êtes membre de droit de l’ESS, qu’elle ne peut se réunir sans vous et qu’elle peut être réunie à votre demande. Réponse de la FNASEPH Le projet personnalisé de scolarisation concerne tous les élèves en situation de handicap reconnus par la MDPH. Il définit et coordonne » toutes les modalités particulières de leur scolarité. C’est donc la feuille de route du parcours scolaire arrêté du 6 février 2015. L’évaluation des moyens et modalités mis en œuvre pour réaliser le PPS est prévue au moins une fois par an par l’équipe de suivi de la scolarisation ESS. Les termes du PPS sont révisés par la CDAPH à chaque changement de cycle ou à la demande de la famille chaque fois que la situation de l’élève le pouvez donc saisir la MDPH à tout moment de la scolarité de votre enfant pour que soient déterminés des aménagements, des adaptations, un accompagnement, une orientation, un parcours adapté... Le PPS repose sur 4 étapes successives la description et la remontée des informations relatives à la situation de l’élève dont le projet de la famille à la MDPH, l’analyse des besoins par l’Equipe Pluridisciplinaire de la MDPH EP, la définition et validation du projet par la CDAPH et enfin la mise en œuvre dont le suivi est assumé par l’ESS Equipe de suivi de la scolarisation animée par l’enseignant référent. Sachez que vous pouvez demander à être entendu par l’Equipe Pluridisciplinaire et la CDAPH. Si votre enfant est suivi par un centre spécialisé dans le handicap dont il est porteur, vous pouvez demander à ce que ce centre apporte son concours l’Equipe Pluridisciplinaire ressources et préconisations particulières. En aucun cas, le PPS se résume à une décision d’orientation en ULIS ou en établissement médico-social, ni à une attribution d’ordinateur ou d’AVS. Le PPS doit indiquer le plus d’éléments possibles et leurs objectifs pour constituer une véritable " feuille de route " à laquelle chacun pourra régulièrement se référer le lieu de scolarisation, l'emploi du temps, les modalités de soins et de rééducation, les modalités de l’accompagnement, le temps et le rythme de la scolarisation, les aménagements et adaptations particuliers... Il s’impose ensuite à l’école ou à l’établissement médico-social dans le cadre de l’unité d’enseignement où sera scolarisé votre enfant. Votre accord est nécessaire à la mise en œuvre du PPS. Réponse de la FNASEPH Le GEVA-Sco Guide d'Evaluation Scolaire est un document de recueil des observations en milieu scolaire qui sera transmis à la MDPH par l’Enseignant Référent ER. Dans le cas d’une première demande à la MDPH, il s’agit du Geva-Sco " première demande " qui se remplit dans le cadre d’une réunion d’équipe éducative enseignants, parents, autres professionnels si besoin. Si l’enfant n’est pas encore scolarisé et si des besoins de compensations sont indispensables pour une première scolarisation, les parents peuvent eux-mêmes remplir le GEVA-Sco première demande dans lequel ils apporteront le plus d’observations possibles relatives à leur enfant et qui permettront à la MDPH d’élaborer le il s’agira du GEVA-Sco " réexamen " qui se remplit dans le cadre de l’ESS, toujours avec les mêmes objectifs. Vous êtes en tant que parent membre de droit de ces réunions ESS. Elles ne peuvent se réunir sans vous. Vous pouvez vous faire accompagner par une personne de votre choix. Il s’agit pour vous de faire état à la fois des difficultés et des potentialités de votre enfant, des conditions des réussites, des aménagements que vous mettez en place à la maison... et de faire part de ses attentes et des besoins de votre enfant. Si votre enfant est suivi par une équipe médico-sociale, vous pouvez demander à ce qu’elle apporte son concours au moment de l’ faut savoir que le document GEVA-Sco n’est pas un document " signé ". Figurent les présents à la réunion. Il comporte par contre un cadre réservé aux remarques de l’élève et/ou de ses parents. La plupart du temps le GEVA-sco est rempli par l’ER directement sur ordinateur en séance, il est donc difficile de remplir vous-même cette case qui vous est réservée ; écrivez au fil de la réunion vos observations et dictez-les à l’ER en fin de séance. En fin de séance, il est conseillé de faire relire par l’ER le document et vérifier ainsi que vous êtes en accord avec ce qui va être envoyé par l’ER à la MDPH. Demandez à l’ER de vous en adresser une copie ou par courriel. L’accueil en ULIS ex CLIS Réponse de la FNASEPH Depuis la circulaire N° 2015-129 du 21-08-2015, l’appellation Classe d’Inclusion Scolaire- CLIS, » est remplacée par Unité Localisée pour l’Inclusion Scolaire - ULIS école ». L’appellation ULIS ne change pas pour le dispositif en Collège et en Lycée. L’évolution porte aussi sur le fonctionnement du dispositif l’élève est inscrit dans sa classe de référence et fréquente l’ULIS en fonction de ses besoins de remédiations. Les élèves orientés en ULIS suivent les cours ordinaires » autant que possible avec des aménagements et adaptations pédagogiques mis en œuvre par les enseignants et bénéficient en plus d’un enseignement adapté dans le cadre de regroupements avec l’enseignant - coordonnateur d’ULIS. L’enseignant spécialisé devient un coordonnateur. En ce sens il organise son travail autour de 3 axes - l'enseignement aux élèves lors des temps de regroupement au sein de l'Ulis ; - la coordination de l'Ulis et les relations avec les partenaires extérieurs ; - le conseil à la communauté éducative en qualité de personne ressource Les élèves orientés vers le dispositif Ulis sont des élèves à part entière de l'établissement scolaire, leur classe de référence est la classe ou la division correspondant approximativement à leur classe d'âge, conformément à leur projet personnalisé de scolarisation PPS. Ils bénéficient de temps de regroupement autant que de besoin. Les élèves bénéficiant de l'Ulis participent aux activités organisées pour tous les élèves dans le cadre du projet d'école ou d'établissement. Réponse de la FNASEPH Non, il n’y a pas de niveau scolaire requis. La circulaire est claire " l’ULIS offre aux élèves la possibilité de poursuivre en inclusion des apprentissages adaptés à leurs potentialités et leurs besoins, d’acquérir des compétences sociales, même lorsque leurs acquis sont très réduits ". Mais la capacité de tenir une " posture d’élève " est souvent évoquée rester un moment assis, écouter les autres, prendre la parole à son tour, observer des règles de vie en groupe. Ces capacités sont à étudier avec les compensations adaptées. Il convient donc que le PPS qui annonce cette orientation, précise où en est l’élève dans ses apprentissages et ce que vont être les objectifs de l’ULIS pour l’année à venir. En collège, par exemple, le jeune est un collégien inscrit dans une classe du collège. Il doit pouvoir assister à un minimum de cours. Par exemple, un élève sans un niveau de lecture et d’écriture de 5ème doit pouvoir être dans un cours d’histoire ou de sciences et vie de la terre avec des supports et un contrôle de connaissances adaptés. L’accompagnement par un AVS Réponse de la FNASEPH Vous avez reçu de la CDAPH une notification d’accord pour un AVS à raison de tant d'heures par semaine mais personne n'est là le jour de la rentrée. La maison départementale des personnes handicapées MDPH a donné son accord pour que votre enfant bénéficie d'un AVS, mais cela ne garantit pas sa présence à la rentrée. C'est à l’Inspection académique de recruter et attribuer ce personnel d’accompagnement mais elle n’en a pas toujours les moyens disponibles. Voici quelques conseils gradués, pour faire valoir votre droit Téléphoner pour savoir ce qui se passe à la cellule AVS de votre département, et/ou à l’IEN-ASH2 souvent chargé des AVS. Si vous n’avez pas ces numéros de téléphone, vous pouvez les obtenir à l’Inspection académique ou auprès des associations de parents d’enfants en situation de handicap ou auprès des associations de parents d’élèves de votre département. Si on vous répond qu’il n’y a pas de moyens pour nommer l’AVS Envoyer tout de suite une lettre en RAR3 simultanément aux personnes suivantes Inspecteur d’académie, avec copie aux personnes de la liste ci-après - Médiateur académique de l'Éducation Nationale, - Président de la CDAPH - Directeur de la MDPH en RAR3, - FNASEPH, associations membres de la FNASEPH. Rappeler à l’école que la présence de l'AVS ne conditionne pas l'accueil à l'école L'enfant peut, dans la plupart des cas, quand même aller à l'école, car les textes le stipulent " l'admission et la scolarisation d'un élève en situation de handicap ne sauraient dépendre systématiquement de la présence d'un AVS " circulaire n° 2004-117 du 15 juillet 2004. Appeler la cellule " aide handicap école " du ministère de l’éducation nationale 0810 55 55 004. La réponse de cette ligne téléphonique est assurée par l’INS-HEA5 en liaison avec le ministère de l’Éducation nationale. En l’informant de la situation sur le terrain et de vos démarches et en l’interrogeant sur les solutions, vous permettez à cette cellule de repérer les zones les plus problématiques où des moyens doivent être orientés. Elle peut aussi relancer les autorités académiques concernées et informer le ministère. Vous pouvez aussi lui adresser un courrier électronique aidehandicapecole Demander qu’un autre personnel soit mis à disposition en remplacement stagiaire IUFM, enseignant remplaçant... Des solutions d’attente pour quelques semaines existent. Si la réponse qui vous est faite est le manque de candidat, vous pouvez trouver l'AVS vous-même et lui conseiller de participer au recrutement de l’Éducation nationale. 1 Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées, instance décisionnelle de la Maison Départementale des Personnes Handicapées MDPH. 2 Inspecteur de l’Éducation nationale chargé de l’Adaptation et de la Scolarisation des élèves Handicapés. 3 RAR recommandé avec accusé de réception. 4 Numéro azur communication facturée au tarif d'un appel local. 5 Institut National Supérieur de formation et de recherche pour l'éducation des jeunes Handicapés et les Enseignements Adaptés. Réponse de la FNASEPH L’indication est précisée dans le document PPS. En effet à partir du moment où la MDPH reconnait et notifie le besoin d’AVS, elle doit préciser les missions de l’AVS pour votre enfant, toutes ou certaines - accompagner dans actes de la vie quotidienne assurer les conditions de sécurité et de confort, aider aux actes essentiels de la vie, favoriser la mobilité, - accompagner dans l’accès aux activités d’apprentissage, - accompagner dans les activités de la vie sociale et relationnelle. A savoir L’AVS individuel i et l’AVS mutualisée m auront les mêmes missions. La différence réside dans l’intensité du besoin. Si l’accompagnement doit être soutenu et continu, la CDAPH notifie une AVS–i, dédié à l’accompagnement de votre enfant avec un nombre d’heures. Si non elle notifie un AVS-m sans nombre d’heures, votre enfant partage » l’accompagnant avec d’autres élèves de la classe, de l’école. Réponse de la FNASEPH La présence d’un AVS auprès d’un élève repose sur un besoin de la présence d’une aide humaine selon 3 domaines d’activités - accompagnement dans actes de la vie quotidienne assurer les conditions de sécurité et de confort, aider aux actes essentiels de la vie, favoriser la mobilité, - accompagner dans l’accès aux activités d’apprentissage, - accompagner dans les activités de la vie sociale et relationnelle. Il s’agit vraiment de considérer le besoin d’accompagnement pour compenser le handicap. Est-il pertinent ? Des aménagements et adaptations pédagogiques ne sont-ils pas suffisants ? Cette aide humaine ne relève-elle pas de l’ATSEM pour le premier domaine par ex en maternelle, d’un tutorat entre élèves, ...Il d’agit donc de considérer en premier lieu la mise en accessibilité des apprentissages par les aménagements et adaptations mises en place par l’enseignant avant de recourir à l’AVS, qui est un moyen de compensation spécifique. Dans la demande d’AVS faite à la MDPH, insistez et décrivez tout ce qui a déjà été mis en place comme aménagements et adaptations par l’enseignant. Réponse de la FNASEPH Non car l’enfant peut, dans la plupart des cas, quand même aller à l'école les textes le stipulent " l'admission et la scolarisation d'un élève en situation de handicap ne sauraient dépendre systématiquement de la présence d'un AVS " circulaire n° 2004-117 du 15 juillet 2004. Lors de la préparation de l’accueil de votre enfant à l’école, il est important de prévoir ce qui se passera en cas d’absence de l’AVS, en cas d’absence de l’enseignant, et en cas d’absence de votre enfant. Il est recommandé de le faire figurer par écrit ou dans le projet personnalisé de scolarisation. Dans chaque département, l’Inspecteur d’Académie a désigné un coordonnateur qui " doit être en mesure d’effectuer un suivi rigoureux des décisions prises par la CDA, d’entretenir le dialogue avec les familles et de répondre efficacement aux situations délicates qui ne peuvent manquer de se produire soit en cas d’absence de l’AVS-I qui ne doit pas entraîner ipso facto la rupture de scolarisation de l’élève, soit en cas d’absence prolongée de l’élève accompagné pour des raisons de santé. Il est rappelé qu’en cas d’une absence de courte durée de l’AVS, un protocole doit être mis en place dans l’école permettant d’assurer la continuité de la scolarité de l’élève handicapé, sauf cas particuliers ou circonstances exceptionnelles. En cas d’absence prolongée de l’AVS-I congés de maternité, congés maladie prolongés par exemple des possibilités de remplacement doivent être prévues. De même en cas d’absence brève de l’élève handicapé, il est préférable -sauf cas particulier- que l’AVS-I continue à être présent dans la ou les classes où il intervient habituellement de manière à ce qu’il puisse au mieux pallier auprès de l’élève handicapé les effets de son absence momentanée... " Circulaire n° 2004-117 du 15 juillet 2004. Réponse de la FNASEPH Il n’est pas conseillé qu’un parent joue le rôle d’AVS de son enfant, même sur une courte période. Chacun aurait du mal à trouver sa place. Si cela s’avère néanmoins nécessaire et admis par l’enseignant, le parent se situe alors en intervenant extérieur bénévole à l’école ; cette situation ne peut constituer qu’une solution ponctuelle. Toute personne susceptible d'apporter sa contribution aux activités d'enseignement peut être autorisée à intervenir, de façon ponctuelle et bénévole, sous la responsabilité de l'enseignant concerné, dans le cadre d'une activité prévue par le projet d'école ou par le projet d'établissement. Les intervenants bénévoles, notamment les parents d'élèves, doivent recevoir une autorisation du directeur d'école ou du chef d'établissement pour intervenir pendant le temps scolaire. La responsabilité de l'intervenant extérieur peut être engagée dans les mêmes conditions que celle de l'enseignant s'il commet une faute à l'origine d'un dommage subi ou causé par un élève. Les personnes bénévoles participant à des activités scolaires sont considérées comme des collaborateurs occasionnels du service public. Elles sont ainsi couvertes dans les mêmes conditions que celles prévues pour le personnel relevant de l'État. À ce titre, elles peuvent obtenir de l'État des dommages et intérêts pour les dommages subis par elles-mêmes à l'occasion de ces activités. Pour en savoir plus Interventions des parents d'élèves dans les établissements scolaires Réponse de la FNASEPH Afin de respecter le principe d’équité et de neutralité du service public, l’AVS ne doit pas être employé par les parents. Néanmoins, des parents faute d’accompagnant le font, quelquefois sous couvert d’une convention signée avec une association. Dans ces cas il est très difficile pour les parents d’obtenir une aide financière pour rémunérer l'AVS. En cas de non affectation d’AVS par l’Éducation nationale ou une collectivité territoriale, des pistes peuvent exister dans l’attente de l’arrivée de l’AVS. Il peut être demandé par courrier officiel à l’Inspecteur d’académie, la mise à disposition d’un personnel en remplacement stagiaire IUFM, enseignant remplaçant... au Maire en cas de scolarisation en maternelle, la mise à disposition d’une pour une petite période en complément d’un personnel Éducation nationale remplaçant ou en effectif supplémentaire en attendant l’affectation du personnel Éducation nationale. Réponse de la FNASEPH Non absolument pas, pour des raisons de contrat de travail et de responsabilités. C’est une des limites de l’emploi actuel des AVS. Réponse de la FNASEPH Si le médecin qui suit votre enfant ne voit pas de contre-indication à la participation de votre enfant aux activités " piscine " de la classe, il n’y a pas de raison qu’il en soit exclu. Par ses missions, l’AVS doit permettre que l’élève handicapé ne soit pas exclu des activités physiques et sportives. Le cas échéant, l’AVS accompagne l’élève handicapé à la piscine, y compris, si nécessaire, dans l’eau. L’AVS-i doit-il être agréé ? Non. La procédure d’agrément concerne les seuls intervenants bénévoles extérieurs. Elle ne s’applique pas aux agents publics relevant du ministère de l’Éducation nationale. Mais l’AVS ne peut pas participer à l’encadrement des activités. L’AVS doit-il justifier d’une qualification spécifique pour accompagner l’élève lors des séances de natation ? Non, si son rôle auprès du jeune handicapé se limite à l’accompagner individuellement afin de lui apporter toute l’aide nécessaire à la participation aux séances et à la réalisation des consignes de l’enseignant ou du maître-nageur. Ainsi, l’élève handicapé est comme tous les autres élèves, encadré par l’enseignant, éventuellement accompagné par un maître-nageur sauveteur dans le cadre des séances de natation. Néanmoins, si l’AVS-i accompagne l’élève dans l’eau, il convient de s’assurer que l’AVS sait nager ! L’activité " piscine " est une activité scolaire. L’AVS accompagne l’élève et l’aide si nécessaire, à l’habillage et déshabillage. Il peut également assurer son accompagnement dans l’eau afin de l’aider dans les différentes situations proposées. L’enseignant et le maître-nageur restent responsables de l’enfant. L’AVS ne fait pas partie du taux d’encadrement. Réponse de la FNASEPH Les sorties, les voyages et les classes transplantées, les fêtes scolaires sont autant de projets qui participent à l’enseignement dispensé par les établissements scolaires. Ces projets sont d’ailleurs bâtis par les enseignants et sont inscrits dans le projet d’école. Ils revêtent un caractère obligatoire s’ils sont inclus dans le temps scolaire. Ils sont facultatifs si les horaires dépassent le cadre des horaires de l’école ; mais en aucun cas l’accès ne peut être refusé à l’élève. L'élève en situation de handicap est un élève comme les autres. Avec les aménagements et adaptations nécessaires, il doit avoir accès aux mêmes savoirs et être soumis aux mêmes exigences. La participation de ces élèves aux sorties et voyages scolaires et aux activités périscolaires est un droit circulaire n° 2016-117 du 8-8-2016. D’une façon générale, les conditions et les aménagements liés à la participation de l’élève en situation de handicap doivent être prévus dans le cadre du PPS et dans le projet de sortie élaboré par l’enseignant. La question de l’accompagnement par l’AVS habituellement aux côtés de l’élève peut se poser, car dans la situation actuelle, les conditions d’emploi de l’AVS ne permettent pas une grande souplesse dans son emploi du temps. L’auxiliaire de vie scolaire peut être amené à participer à la sortie, au voyage scolaire. Par contre l’accompagnement d’un le voyage scolaire avec nuitée la classe transplantée, de neige, de mer. par un AVS n’est pas toujours possible administrativement cela dépend de la nature de son contrat de travail. La participation de l’AVS dépendra donc de l’Inspection académique. Dans tous les cas, l’AVS ne doit pas être compris dans l’effectif du personnel assurant l’encadrement ou la surveillance des élèves. Dans tous les cas l’établissement ne peut exiger la présence d’un parent à ces sorties. Pour le cas de la cantine ou de la garderie Si l’AVS doit accompagner l’élève à la cantine ou à la garderie, ces temps de vie étant sous la responsabilité d’une collectivité locale, une convention doit être établie entre la collectivité et l’Inspection académique. Il est conseillé d’inclure cette demande dans votre projet de vie Je veux que mon enfant aille à la cantine » et/ ou à la garderie. La MDPH évaluera donc le besoin d’accompagnement. Les soins à l’école Réponse de la FNASEPH Une procédure existe par le biais d’un PAI projet d’accueil individualisé. Il a pour but d’harmoniser les conditions d’accueil des enfants ou adolescents atteints de troubles de la santé évoluant sur de longues périodes à l’exclusion des maladies aiguës, d’allergie ou d’intolérance alimentaire et ainsi répondre aux situations individuelles. Il permet aux élèves de suivre leur scolarité tout en bénéficiant de leur traitement, de leur régime alimentaire, d’assurer leur sécurité et de compenser les inconvénients liés à leur état de santé. La rédaction écrite du PAI est l’occasion de réunir l’ensemble de l’équipe éducative pour évoquer les différentes situations sur tous les temps de vie de l’élève accueil, classe, récréation, cantine, étude, internat, club, groupe d’intérêts, activités socioculturelles, sportives.... Le projet est mis au point sous la responsabilité du directeur de l'école ou du chef d'établissement. Il est conseillé aux parents de rencontrer le médecin scolaire. Il est le pivot du PAI car il est le seul à pouvoir partager des informations médicales avec le médecin traitant. Son intervention permet aussi de " rassurer " les enseignants. Le PAI ne relève pas d’une décision de la MDPH. La circulaire observe que lorsque des incompatibilités entre l'état de santé de l'enfant et les capacités d'accueil de l'école ou de l'établissement sont constatées, d'autres solutions doivent être proposées à la famille. Il est d’ailleurs prévu que les équipes enseignantes peuvent consulter l'enseignant référent dans une perspective d'aide à l'élaboration du projet d'accueil individualisé en cas de maladie chronique circulaire du 17-08-06 relative au PPS. En fonction des difficultés générées par la maladie, il peut être rédigé un PPS. Réf. texte PAI Circulaire du 18 septembre 2003 " Accueil en collectivité des enfants et des adolescents atteints de troubles de la santé évoluant sur une longue période ". Réponse de la FNASEPH Un SESSAD Service d'éducation spécialisée et de soins à domicile est une structure médico-sociale constituée d’une équipe de professionnels médecins, éducateurs, psychomotriciens, kinés, orthophonistes, psychologues... qui est mobile et intervient auprès des jeunes soit à domicile, soit en consultation, soit à l’école par des interventions d'ordre médical ou paramédical. Ce sont les parents qui doivent faire la demande d’orientation auprès de la MDPH. C'est la CDAPH qui notifiera cette orientation dans le cadre du plan personnalisé de compensation PPC. Pour ce qui est de l’intervention en milieu scolaire, c’est le projet personnalisé de scolarisation PPS qui en annoncera les termes. Il s'agit de soutenir l'enfant dans sa scolarité et dans ses apprentissages les interventions des personnels du SESSAD doivent être ajustées à ses besoins mais également aux conditions et aux exigences de la vie scolaire. Dans le PPS doivent figurer les conditions de mise en œuvre des interventions du SESSAD dans l’établissement scolaire un certain nombre de problèmes pratiques, concernant les lieux, les temps, la durée, la fréquence des interventions, ainsi que les modalités des rencontres et des concertations entre les enseignants et les professionnels du SESSAD, les objectifs de chacun des acteurs pour contribuer ensemble à la réalisation des apprentissages visés. Une convention de coopération entre l’IA et l’association gestionnaire et/ou la direction du service médico-social, doit être signée d’ailleurs pour bien préciser les conditions et objectifs de cette coopération. C’est cette convention qui notamment " autorise " les professionnels du SESSAD à " entrer " dans l’école. Le SESSAD est de fait membre de l’équipe de suivi de la scolarisation ESS. Réf texte SESSAD circulaire n° 89-17 du 30 octobre 1989. Coopération Décret et arrêté du 2 avril 2009. Réponse de la FNASEPH Sans problème dans le cas d’un suivi par un SESSAD ou un CAMSP, intervention stipulée dans le cadre du PPS et couverte par le biais de la convention de coopération fixant les modalités pratiques des interventions et les moyens mis en œuvre par le SESSAD au sein de l’établissement scolaire. Le suivi par un professionnel libéral doit se faire prioritairement dans les locaux du praticien ou au domicile du jeune. Si toutefois le soin doit se passer dans l’établissement scolaire, ce besoin est inscrit dans le PPS. L’intervention fait l’objet d’une autorisation du chef d’établissement. Un argument ces interventions au sein de l’école peuvent se révéler bénéfiques pour éviter de la fatigue à l’enfant qui, si non, aurait sa rééducation après l’école. Autre point positif l’enseignant rencontre ainsi l’autre professionnel, des échanges sont possibles. Réponse de la FNASEPH Non, car il n’est écrit dans aucun texte qu’un enfant doit être propre pour entrer à l’école maternelle. Selon la circulaire N° 83-082, 83-4 et 3/85/S du 29 janvier 2003 dans le § la propreté n’est pas exigible pour la scolarisation en maternelle. Si la situation de handicap génère des difficultés particulières ou une impossibilité de propreté, il convient de préciser dans le PPS comment le problème va être résolu à l’école. Réponse de la FNASEPH Non, cela fait partie du travail des ATSEM de s’occuper de l’hygiène des élèves ; s’il s’agit d’un problème lié à la situation de handicap et qui s’avère être régulier, il convient de bien préciser ce besoin de change dans le cadre du PPS et de préciser comment il va être résolu. Réponse de la FNASEPH Concernant le médecin scolaire, il est conseillé de le rencontrer. Il peut, en connaissant la situation de handicap de votre enfant, vous aider à communiquer avec l’équipe enseignante. Il peut contribuer également à rassurer cette équipe. Il est par ailleurs le seul habilité à entrer en relation avec le médecin traitant ou le spécialiste qui s’occupe de votre enfant. Au cours de la scolarité de votre enfant vous serez régulièrement en contact avec lui. Le psychologue ne travaille en relation directe et individuelle avec l’enfant qu’avec votre accord écrit. Vous pouvez donc refuser. Le psychologue scolaire par contre peut faire une observation de votre enfant en classe parmi les autres. Si vous acceptez, sachez que les psychologues scolaires sont soumis à la confidentialité qu’exige leur profession. Il faut leur demander leur compte-rendu. Ils peuvent le transmettre à d’autres professionnels, avec votre accord. Habituellement, les enseignants ne reçoivent pas de compte-rendu écrit par les psychologues, mais bien évidemment un retour leur est fait sous la forme d’un portrait de l’élève, avec les points forts et les fragilités, auquel il est parfois possible de joindre quelques " orientations de travail " pour les élèves, d’attitudes à privilégier. Ces éléments peuvent se révéler utiles pour élaborer le PPS. Il est nécessaire de savoir que vous pouvez fournir un bilan réalisé par le psychologue de votre choix. Contactez de préférence un psychologue compétent dans le handicap de votre enfant. Souvent, le psychologue scolaire n’est pas un spécialiste du handicap, cela peut poser des soucis de compréhension mutuelle et de passation des est important également de veiller à la confidentialité des informations échangées avec le psychologue. Les voies de recours Dans le même temps où vous êtes informé des décisions de la MDPH, vous devez être informé des voies de recours. À noter Ces démarches peuvent se révéler complexes les associations sont là pour vous informer et vous accompagner. Vous n'êtes pas d'accord avec la décision de la CDAPH qui vous est notifiée, recontactez la MDPH pour Le recours gracieux est une démarche de droit commun, il peut être formulé dans les deux mois suivant réception de la notification. Vous demandez à rencontrer la commission qui a pris la décision pour que le dossier soit réétudié. Le recours gracieux est une procédure simple et commode. Il est intéressant si le demandeur a de nouveaux arguments à faire valoir par rapport à la décision initiale. La conciliation En cas de désaccord avec la décision de la CDAPH, vous pouvez demander au directeur de la MDPH l’intervention de la personne qualifiée » chargée d’une mission de conciliation. La personne qualifiée dispose de deux mois pour mener sa mission de conciliation à l’issue desquels elle rend un rapport copie à l’usager et à la MDPH. L’intérêt de cette démarche est que la personne qualifiée aura accès à votre dossier, hors informations médicales tout en étant tenue au secret professionnel. Ces deux premières possibilités de recours permettent d’éviter dans un premier temps des démarches plus contraignantes. Le recours contentieux ou auprès du tribunal du contentieux de l’incapacité, TCI Si vous pensez que la décision de la CDAPH méconnaît vos droits en ce qui concerne la fixation du taux d’incapacité, l’attribution d’allocation, de carte, l’orientation scolaire, sociale en établissement ou service médico-social, vous pouvez déposer recours devant le tribunal du contentieux de l’incapacité dans un délai de deux mois à compter de la réception de notification de la décision. Ou bien le recours contentieux technique de la Sécurité sociale Les décisions de la CDAPH prises à l’égard d’un enfant ou un adolescent handicapé, ainsi que celles relatives à la désignation des établissements ou services d’accueil et aux attributions des prestations peuvent faire l’objet de recours devant la juridiction du contentieux technique de la Sécurité sociale. Ou le tribunal administratif Il est compétent dans les cas où les décisions de la CDAPH ne sont pas appliquées. Les référés Les procédures "normales" auprès du Tribunal Administratif peuvent prendre entre 1 mois et 2 ans. Ceci est totalement aberrant quand on pense que nous sommes dans des délais de scolarisation et d’année scolaire ! Pour "accélérer », il y a plusieurs possibilités. Les référés notamment le référé liberté permettent au juge d’ordonner des mesures provisoires tendant à préserver en urgence vos droits. Renseignez-vous sur ces différentes procédures. La Réponse Accompagnée Pour Tous le Plan Global d'Accompagnement En janvier 2016, l’article 89 de la Loi de modernisation de notre système de santé réglemente la mise en œuvre d’un dispositif d’orientation permanent et collectif, pour que les personnes handicapées et leurs familles puissent bénéficier d’une réponse globale adaptée et accompagnée dans le temps, quelle que soit la complexité ou la gravité du handicap la Réponse Accompagnée Pour Tous ». Ce dispositif permet à la MDPH d’apporter une deuxième orientation à celle qui existe première étape est La réponse idéale notifiée par la CDAPH en fonction des besoins et de votre projet de vie et inscrite dans le plan personnalisé de compensation PPC. La deuxième étape vient apporter la réponse possible celle qui sera assurée pendant un moment, construite collectivement entre vous, les parents, et des professionnels, au cours d’une réunion appelée le groupe opérationnel de synthèse GOS formulée dans un plan d’accompagnement global PAG.Cette 2ème réponse n’est bien sûr pas se prépare lorsque la première notification n’est pas réalisable - en cas d’indisponibilité ou d’inadéquation des réponses connues sur le territoire français ex manque de place ;- en cas de complexité de la réponse à apporter au regard du handicap, ou de risque ou de constat de rupture de parcours de la personne. Elle sera validée par la CDAPH. C’est un contrat écrit rédigé et diffusé par la MDPH entre des acteurs qui s’engagent chacun pour trouver une réponse adaptée au regard toujours de votre projet, parce que les orientations décidées par la CDAPH ne peuvent pas se réaliser faute de places disponibles ou si le handicap est trop complexe à prendre en compte. Le PAG va permettre de trouver une autre solution, en attendant que les orientations initiales de la CDAPH puissent se savoir que PAG ne peut s’élaborer sans votre accord PAG se rédige en dernier recours parce qu’aucun acteur et aucune solution n’ont pu être trouvés malgré les démarches effectuées et aucun partenariat entre professionnels de l’éducation, du médico-social, du sanitaire, ... Qui demande un PAG ? Les parents par un courrier à la MDPH ou par une fiche de saisine préparée par la MDPH vous renseigner auprès de votre MDPH.Les professionnels peuvent également signaler à la MDPH une situation complexe et/ou qu’il y existe un risque de rupture. Différents éléments sont précisés tous les acteurs qui participent à l’accompagnement votre enfantles interventions de chacun qui fait quoi, quand, comment ;l’acteur qui sera en charge de coordonner le parcours la durée du PAG date d’application à votre signature / date d’échéance ;les domaines d’intervention l’éducation et la scolarisation, les soins, l’appui aux aidants... Ce sont les besoins les plus urgents qui seront couverts en priorité. La MDPH convoque et réunit des professionnels et des institutions qui pourraient apporter une réponse ou un éclairage sur la situation. Cette réunion s’appelle le groupe opérationnel de synthèse GOS. Différents acteurs se réunissent pour trouver ensemble une solution à partir de votre projet. La situation de votre enfant va nécessiter de combiner » l’action de plusieurs acteurs complémentaires, pour apporter une réponse concrète, temporaire et locale. Il faut parfois plusieurs réunions du GOS pour co-construire un PAG, selon la situation. Le GOS ne remet pas en cause les décisions initiales de la CDAPH mais recherche bien des solutions adaptées à la situation bloquée » de votre enfant. Vous participez obligatoirement et vous pouvez être accompagnée par une personne de son choix. Vous pouvez aussi être accompagnée par une personne ressource. Vérifiez auprès de la MDPH l’existence de ces personnes, généralement issues du milieu associatif. Vous devez impérativement la rencontrer avant le GOS pur lui expliquer votre projet, les difficultés et ce que vous attendez du GOS et du PAG. Le PAG est rédigé par la MDPH, soumis à la décision de la CDAPH et mis en œuvre par les différents acteurs engagés. Il est révisé au moins un fois par coordonnateur de parcours veille à la bonne mise en œuvre du PAG. Chaque partie engagée dans le PAG peut demander la réunion d’un nouveau GOS pour proposer de modifier les engagements. Il est désigné parmi les acteurs du PAG au cours de la réunion du GOS. Il est, en relation régulière avec vous et à qui vous accordez votre coordination peut être assurée par vous-même. La personne ressource peut également être désignée comme coordinateur de coordonnateur a la légitimité du groupe pour assurer ses missions pendant la durée du PAG. Il s’assure du bon déroulement du vous accompagne dans la mise en œuvre des solutions inscrites dans le coordonne les interventions des différents acteurs engagés dans le PAG. Il identifie d’éventuelles difficultés rencontrées par la personne concernée ou les professionnels. Il repère les besoins et attentes d’accompagnement de la personne qui ne seraient pas encore couverts. Il est le lien et le soutien entre vous et les différents participe à tous les GOS et réunions de suivi, et au moins une fois par an lors de la révision annuelle réglementaire. Glossaire FNASEPH Fédération Nationale des Associations au Service des Elèves Présentant une situation de Handicap ARS Allocation de Rentrée Scolaire Ne pas confondre avec ARS = Agence Régionale de Santé ATSEM Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles AVS Auxiliaire de Vie Scolaire AVS-i Auxiliaire de Vie Scolaire ayant une fonction individuelle AVS-co Auxiliaire de Vie Scolaire accompagnant une ULIS AVS-m Auxiliaire de vie mutualisée CAF Caisse d’Allocations Familiales CAMSP Centre d’Action Médico-Sociale Précoce CDAPH ou CDA Commission des Droits et de l’Autonomie des personnes handicapées instance décisionnelle de la MDPH CNED Centre National d’Enseignement à Distance ER Enseignant Référent EPE Equipe Pluridisciplinaire d’Evaluation ESS Equipe de Suivi de la Scolarisation GEVA-Sco Guide d'évaluation Scolaire GOS Groupe Opérationnel de Synthèse IA Inspecteur d’Académie IEN-ASH Inspecteur de l’Éducation Nationale chargé de l’Adaptation et de la Scolarisation des élèves Handicapés IME Institut Médico-Educatif IMP Institut Médico-Pédagogique INS-HEA Institut National Supérieur de formation et de recherche pour l’éducation des jeunes Handicapés et les Enseignements Adaptés ITEP Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique LV1 Langue Vivante 1 MDPH Maison Départementale des Personnes Handicapées PAI Projet d’Accueil Individualisé PAP Projet d’Accompagnement Personnalisé PAG Plan d'Accompagment Global PPC Plan Personnalisé de Compensation PPRE Projet Personnalisé de Réussite Educative PPS Projet Personnalisé de Scolarisation RAR Recommandé avec Accusé de Réception SAPAD Service d’Assistance Pédagogique À Domicile SESSAD Service d’Education Spécialisée et de Soins À Domicile ST2S Sciences et Technologies de la Santé et du Social STG Sciences et Technologies de la Gestion TCI Tribunal du Contentieux de l’Incapacité ULIS Unité Localisée pour l’Inclusion Scolaire école-collège-lycée ex CLIS Sigles se déclinant selon les types de handicap SESSD Service d’Education et de Soins Spécialisés à Domicile déficience motrice SAFEP Service d’Accompagnement Familial et d’Education Précoce déficience auditive SSEFIS Service de Soutien à l’Education Familiale et à l’Intégration Scolaire déficience auditive SAAAS Service d’Aide à l’Acquisition de l’Autonomie et à la Scolarisation déficience visuelle
\n\nles parents peuvent ils refuser une avs
Lattribution des AESH Les parents qui désirent l’affectation d’un AESH auprès de Il existe 2 catégories d’accompagnants : les AVS (Auxiliaires de Vie Scolaire), dont le poste a pour support un CUI (Contrat Unique d’Insertion) et les AESH (Accompagnant des Elèves en Situation de Handicap) recrutés directement par l’Education nationale sur CDD puis sur CDI.
Lorsque la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles constate que la scolarisation d'un enfant dans une classe de l'enseignement public ou d'un établissement mentionné à l'article L. 442-1 du présent code requiert une aide individuelle dont elle détermine la quotité horaire, cette aide peut notamment être apportée par un accompagnant des élèves en situation de handicap recruté conformément aux modalités définies à l'article L. cette scolarisation n'implique pas une aide individuelle mais que les besoins de l'élève justifient qu'il bénéficie d'une aide mutualisée, la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles en arrête le principe et en précise les activités principales. Cette aide mutualisée est apportée par un accompagnant des élèves en situation de handicap recruté dans les conditions fixées à l'article L. 917-1 du présent individuelle mentionnée au premier alinéa du présent article peut, après accord entre l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et la famille de l'élève, lorsque la continuité de l'aide est nécessaire à l'élève en fonction de la nature particulière de son handicap, être assurée par une association ou un groupement d'associations ayant conclu une convention avec l' pôles inclusifs d'accompagnement localisés sont créés dans chaque département. Ils ont pour objet la coordination des moyens d'accompagnement humain au sein des écoles et établissements scolaires de l'enseignement public et de l'enseignement privé sous contrat. Ils constituent des pôles ressources à destination de la communauté éducative ; ils associent à cet effet des professionnels de santé et les gestionnaires des établissements et services médico-sociaux mentionnés aux 2° et 3° du I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles. Ces dispositifs visent à mieux prendre en compte les besoins éducatifs particuliers de l'élève en situation de handicap en vue du développement de son modalités d'application du présent article, notamment la désignation des personnes chargées de l'aide mentionnée aux deux premiers alinéas et la nature de l'aide, sont déterminées par à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.

Laide à la prise de médicaments se fait en accord avec les parents et à condition que l'établissement soit en possession du double de l'ordonnance. Cette modalité doit être précisée dans le règlement de fonctionnement. Les professionnels peuvent souhaiter réaliser une aide à la prise sous la supervision d'un infirmier, notamment un infirmier libéral auquel

SheldonNiveau 9Bonjour à collège possède une classe ULIS avec une professeur élèves d'ULIS sont très souvent inclus, sans aucune donc deux questions - L'AVS est-elle obligatoire pour pouvoir réaliser une inclusion d'élève ULIS en classe "normale" ?- Le professeur peut-il s'opposer à cette inclusion, du fait qu'il n'y ai aucune AVS ?Merci de vos En tant que Physicien, j'ai une connaissance étendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - MoiJennyMédiateurL'AVS n'est pas obligatoire.Ca se passe mal avec ces élèves ? En cas d'inclusion compliquée, il ne faut pas hésiter à en parler avec le professeur spécialisé.SheldonNiveau l'AVS n'est pas obligatoire, le professeur concerné a-t-il la possibilité de refuser ?Qui décide finalement de l'inclusion ? Simplement le professeur en charge des ULIS ?_________________" En tant que Physicien, j'ai une connaissance étendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - MoiJennyMédiateurC'est le professeur spécialisé qui décide. Je t'avoue ne pas bien comprendre un refus avant de connaître les élèves, ça peut aussi très bien se discussion est toujours possible avec le collègue d'ULIS quand ça se passe mal avec un élève. jonjon71Habitué du forum Jenny a écritC'est le professeur spécialisé qui décide. Je t'avoue ne pas bien comprendre un refus avant de connaître les élèves, ça peut aussi très bien se discussion est toujours possible avec le collègue d'ULIS quand ça se passe mal avec un élève. Je ne comprends même pas qu'un enseignant puisse se demander s'il peut refuser de prendre l'élève. L'élève fait partie de la classe, le cadre le l'ULIS un accompagnement par un AVS n'est même pas systématiquement obligatoire, cela dépend des besoins de l'élève. De plus, malheureusement, faute d'un nombre suffisant d'AVS, souvent il n'y en a pas dans tous les cours pour chaque aménagements pourront être faits dans le cadre de l'ULIS s'il n'y a pas d'AVS comme fournir le cours en polycopié par jonjon71 a écrit Jenny a écritC'est le professeur spécialisé qui décide. Je t'avoue ne pas bien comprendre un refus avant de connaître les élèves, ça peut aussi très bien se discussion est toujours possible avec le collègue d'ULIS quand ça se passe mal avec un élève. Je ne comprends même pas qu'un enseignant puisse se demander s'il peut refuser de prendre l'élève. L'élève fait partie de la classe, le cadre le l'ULIS un accompagnement par un AVS n'est même pas systématiquement obligatoire, cela dépend des besoins de l'élève. De plus, malheureusement, faute d'un nombre suffisant d'AVS, souvent il n'y en a pas dans tous les cours pour chaque aménagements pourront être faits dans le cadre de l'ULIS s'il n'y a pas d'AVS comme fournir le cours en polycopié par exemple. Non, justement, l'élève d'ULIS ne fait pas partie de la classe et n'est donc pas compté dans les effectifs. Quand tu as déjà une classe à 28 ou 29 élèves et qu'on te rajoute un élève supplémentaire, qui en plus est en difficulté, tu es en droit de te demander dans quelles conditions tu l'accueilles. Sans AVS, ce sont trop souvent des élèves perdus en cours et ça fait mal au coeur de les voir ramer. La différenciation a bon dos, mais si ces élèves relèvent d'ULIS, ce n'est pas pour rien et pas pour les retrouver en cours dans une classe surchargée sans aménagement._________________- Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. - L'Etat est notre serviteur et nous n'avons pas à en être les esclaves. EinsteinIl me convient d’être avec les peuples qui meurent, je vous plains d’être avec les rois qui tuent. Victor HugoPanta RheiÉruditQuelle excellente question!Je ne sais pas ce qu'il en est chez toi, mais déjà les 16 élèves ULIS sont des élèves "fictifs" alors même qu'ils ont vocation à être intégrés dans les classes, ils ne sont pas comptés comme les autres élèves. Ce qui fait que nous avons 30 + 2 ULIS + AVS ça dépend ça va, ça vient genre n'importe quoi!Aussi, pour te répondre, chez nous, on a déjà des classes qui tournent entre 28 et 30, maintenant que cette ULIS a été implantée et bien nous sommes sur du 32 + édition par Panta Rhei le Lun 24 Sep 2018 - 559, édité 1 fois_________________SignatureDerborenceModérateurCe n'est pas le cas dans tous les élèves ULIS sont vraiment intégrés dans le mien. Ils suivent quasiment tous les cours avec leur volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."Charles-Ferdinand Ramuz, Derborencelou gaiaNiveau 5de mon point de vue, non on ne peut pas refuser. Par contre, le but de l'inclusion n'est absolument pas que l'élève fasse la même chose que le groupe classe. Quand je reçois des ULIS, le cours est de niveau primaire, je le donne en avance à la prof qui le suit, on en discute. Et la/le prof spé reprend le cours avec l'élève par la suite. L'intérêt est que l'élève ULIS fasse société, ne se retrouve pas brusquement à 16 ans avec le tout venant mais qu'il prenne l'habitude de fonctionner avec les autres, et vice versa bien sûr. Oui c'est du boulot en plus, c'est aussi hyper intéressant de comprendre comment ces élèves fonctionnent, et souvent, ce genre d'élève rend au centuple ce qu'on lui les ulis sont comptés dans les effectifsDernière édition par lou gaia le Dim 23 Sep 2018 - 1723, édité 1 foisMonsieur SilenceNiveau 9 Derborence a écritCe n'est pas le cas dans tous les élèves ULIS sont vraiment intégrés dans le mien. Ils suivent quasiment tous les cours avec leur classe. + 1Dans mon collège, les élèves ULIS sont dans les effectifs des classes depuis le début ; ils n'y sont pas ajoutés. Ensuite, ils suivent certains cours, et pas d' année, j'ai 2 élèves ULIS en 6e, 2 en 5e et 4 en 3e. J'ai la chance d'avoir une AVS quasiment à chaque fois ; bon, c'est difficile en 3e, car cela fait 30 élèves en tout, et l'AVS ne peut s'occuper efficacement des 4 ULIS. Je fais ce que je peux avec ces élèves ; parfois, quand je différencie, cela profite aussi aux élèves faibles de la me semblait que les élèves ULIS étaient bien comptés dans les bien eu un collègue qui refusait de s'en occuper pas de feuille pour eux, aucune adaptation... Je trouve ça très limite, pour rester polie. expérienceNiveau 9 Derborence a écritCe n'est pas le cas dans tous les élèves ULIS sont vraiment intégrés dans le mien. Ils suivent quasiment tous les cours avec leur classe. Chez nous aussi. C'est le propre de l'inclusion non ? Les évaluations seules diffèrent, elles sont adaptées par l'enseignante spécialisée. La nôtre est vraiment disponible pour discuter de l'élève, nous proposer des pistes voire faire de la co-animation ce qui lui permet d'observer l'élève en situation de classe. Ces élèves posent moins de problème que d'autres seuls à gérer leurs grandes difficultés. expérienceNiveau 9 Jenny a écritIl me semblait que les élèves ULIS étaient bien comptés dans les bien eu un collègue qui refusait de s'en occuper pas de feuille pour eux, aucune adaptation... Je trouve ça très limite, pour rester polie. + 10Isis39EnchanteurQuestion aux collègues qui accueillent des ULIS notamment en HG avez-vous eu des formations, des ressources pour adapter vos cours à un niveau primaire ?J'ai en 6e un élève qui relève de l'ULIS mais les parents ont refusé qu'il y alle. Il a un niveau CE1 et jeune sais pas quoi faire avec lui. Les adaptations que je fais pour d'autres élèves en difficulté ne suffisent pas. Beaucoup de notions semblent lui être inaccessibles, notamment le calendrier. Il ne sait pas compter jusqu'à mille. Alors mon cours sur la préhistoire...JennyMédiateurAucune formation, je me rapproche des enseignants spécialisés. Je ne sais pas quoi te dire pour l'aider à situer dans le temps. Mes élèves savaient toujours compter. Je fais beaucoup d'exercices avec des mots à relier, des éléments à souligner dans les documents avec les élèves d'ULIS les plus en nous, les élèves en ULIS ne comptent pas dans les effectifs. Cela permet de ne surtout pas ouvrir une division supplémentaire... _________________ J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ? jonjon71Habitué du forum expérience a écrit Derborence a écritCe n'est pas le cas dans tous les élèves ULIS sont vraiment intégrés dans le mien. Ils suivent quasiment tous les cours avec leur classe. Chez nous aussi. C'est le propre de l'inclusion non ? Les évaluations seules diffèrent, elles sont adaptées par l'enseignante spécialisée. La nôtre est vraiment disponible pour discuter de l'élève, nous proposer des pistes voire faire de la co-animation ce qui lui permet d'observer l'élève en situation de classe. Ces élèves posent moins de problème que d'autres seuls à gérer leurs grandes difficultés. De même, mon collège accueille 2 ULIS et les élèves sont intégrés dans les classes même s'il peuvent avoir des edt aménagés selon leurs Les collèges dont les élèves affectés en ULIS ne sont pas comptabilisés dans les effectifs doivent se battre pour obtenir qu'ils soient pris en compte, car ils sont sensés être inclus dans les classes. Les collèges qui ont réclamé ont obtenu gain de cause, et dans certaines académies c'est maintenant Il existe différents types d'ULIS, pour différents types de troubles. Il est ridicule d'affirmer qu'un élève accompagné par le dispositif ULIS ne pourra assister qu'à des cours de niveau primaire. Si est implantée dans votre établissement une ULIS pour "handicap physique" troubles des fonctions motrices, les élèves pourront être inclus dans tous les cours dans toutes les matières, ou presque, sans accompagnement particulier. S'il s'agit d'une ULIS pour malvoyants ou malentendants, l'AVS n'est pas toujours utile si les adaptations nécessaires sont mises en place au niveau de l' Dans le cas des ULIS pour "handicap cognitif" troubles des fonctions cognitives ou mentales, voire troubles spécifiques du langage et des apprentissages, souvent réunis dans les mêmes unités - les élèves affectés en ULIS ne sont pas affectés en EGPA. Leur handicap cognitif ne va donc pas nécessairement de pair avec un QI inférieur à 70. Leur handicap les empêche plus ou moins lourdement d'accéder aux apprentissages disons-le comme ça pour faire vite, mais ils sont nombreux à pouvoir suivre les enseignements dans presque toutes les matières, surtout avec un accompagnement idoine ;- évidemment, cela dépend des MDPH et des façons d'affecter en ULIS des critères ;- j'ai eu plusieurs élèves autistes ou placés sur le spectre des troubles autistiques qui ont suivi tous les cours de toutes les matières de la 6e à la 3e et ont passé le brevet, avec un accompagnement ULIS AVS parfois, mais pas dans tous les cours ; j'ai également eu des élèves si lourdement dyslexiques qu'ils avaient été affectés en ULIS ils en ont été sortis au bout d'un an, ils réussissaient trop bien grâce aux aménagements, apparemment.4 Qu'il n'y ait aucun AVS pour l'ensemble de l'ULIS est assez Les effectifs d'une ULIS doivent être de 10 maximum, avec aménagements possibles selon les cas comment pouvez-vous en arriver à 16 avec un seul enseignant coordonnateur ?Il y a des textes, quand même Le nombre d'élèves qui bénéficient du dispositif au titre d'une Ulis collège ou lycée ne dépasse pas dix. Cependant, dans certains cas, l'inspecteur d'académie-directeur académique des services de l'éducation nationale IA-Dasen peut décider de limiter l'effectif d'une Ulis donnée à un nombre sensiblement inférieur si le projet pédagogique ou si les restrictions d'autonomie des élèves qui y sont inscrits le justifient. Il peut également augmenter l'effectif d'une Ulis donnée si la mise en œuvre des PPS des élèves le critères de modulation du nombre d'élèves bénéficiant de l'Ulis s'appuient sur les temps de présence effectifs dans le dispositif et les temps d'inclusion scolaire en classe ordinaire ainsi que sur les projets personnalisés de scolarisation. De tout cela, on peut déduire que soit les élèves de cette ULIS particulière sont en capacité d'être inclus sans accompagnement d'où un effectif de 16, soit il y a dysfonctionnement et on se moque du monde car il n'est pas possible de donner à ces élèves ce à quoi ils ont droit de bonnes conditions d'enseignement.Je suis un peu péremptoire mais c'est agaçant de savoir qu'il existe des textes légaux pas très longs à lire et qu'au lieu de s'y référer on nous, enseignants se laisse dire ceci ou du forum Malaga a écritChez nous, les élèves en ULIS ne comptent pas dans les effectifs. Cela permet de ne surtout pas ouvrir une division supplémentaire... Après, que les élèves ne soient pas comptés dans les effectifs qui sont remontés à l'IA c'est possible. En pratique, ces élèves sont dans nos listes de on en fait quoi de ces élèves si les enseignants refusent de les prendre parce que… ?Isis39Enchanteur Jenny a écritAucune formation, je me rapproche des enseignants spécialisés. Je ne sais pas quoi te dire pour l'aider à situer dans le temps. Mes élèves savaient toujours compter. Je fais beaucoup d'exercices avec des mots à relier, des éléments à souligner dans les documents avec les élèves d'ULIS les plus en difficulté. Mon souci c'est que je ne vais pas lui faire d'évaluations adaptées puisque c'est un 6e comme les autres. Du coup je ne sais vraiment pas comment faire. On n'a pas d'ULIS ici donc pas d'enseignant spécialisé. La seule réponse de la conseillère pédagogique du primaire a été de me dire de prendre des manuels de CE1. Sauf qu'on ne fait pas d'HG en CE1. Grand silence ensuite. Traduction debrouille-toi !J'essaie au maximum d'être vers lui, de l'aider, mais j'ai beaucoup d'élèves en difficulté dans cette classe. Et cet élève seul aurait besoin de quelqu'un avec lui en gaiaNiveau 5 Isis39 a écritQuestion aux collègues qui accueillent des ULIS notamment en HG avez-vous eu des formations, des ressources pour adapter vos cours à un niveau primaire ?J'ai en 6e un élève qui relève de l'ULIS mais les parents ont refusé qu'il y alle. Il a un niveau CE1 et jeune sais pas quoi faire avec lui. Les adaptations que je fais pour d'autres élèves en difficulté ne suffisent pas. Beaucoup de notions semblent lui être inaccessibles, notamment le calendrier. Il ne sait pas compter jusqu'à mille. Alors mon cours sur la préhistoire... beaucoup d'élèves ULIS ont de gros soucis de calcul, ce qui pose problème pour le repérage dans le temps, bien sûr. J'ai connu une prof spé qui avait fabriqué une grande frise chronologique A3 pliable, l'élève s'y référait. Mais franchement, moi je n'insiste pas sur les dates avec un élève ULIS. Je donne des faits, des histoires, des grandes idées, je vois ce qu'il en comprend et je fais beaucoup avec lui, avec les questions qu'il se pose. Pour la préhistoire, c'est plutôt comment les hommes vivaient avant ? même si le avant est très flou Et puis quand on avance, comment les hommes vivaient ensuite ? Je trouve des cours et de idées sur internet, les PE donnent aussi leurs séquences. Je travaille aussi avec des vidéos ce qui permet à l'élève de travailler seul. Il répond à 4/5 questions en 30 minutes puis je reviens faire un point avec lui. Et même, quand il est en confiance, il réalise une prise de parole qui résume sa vidéo et enrichit le bilan/trace écrite de la classe. exemple j'ai un ULIS en 4e qu a vu une vidéo sur l'esclavage sur le temps long, pendant que les autres bossaient sur la traite atlantique. En fin de séance, il a pris la parole pour expliquer que l'esclavage a toujours existéDalvaVénérable Isis39 a écritQuestion aux collègues qui accueillent des ULIS notamment en HG avez-vous eu des formations, des ressources pour adapter vos cours à un niveau primaire ?J'ai en 6e un élève qui relève de l'ULIS mais les parents ont refusé qu'il y alle. Il a un niveau CE1 et jeune sais pas quoi faire avec lui. Les adaptations que je fais pour d'autres élèves en difficulté ne suffisent pas. Beaucoup de notions semblent lui être inaccessibles, notamment le calendrier. Il ne sait pas compter jusqu'à mille. Alors mon cours sur la préhistoire... Les parents ont refusé ce qui pourrait aider leur enfant. Tu n'as pas à être plus royaliste que le roi. Tu ne peux pas te substituer aux parents. Donc, s'il est en classe comme les autres, non pas en raison d'un défaut de l'administration mais par décision de la famille, tu lui fais cours comme aux sais qu'il est difficile de faire ça. On a l'impression d'abandonner les élèves en le rôle des enseignants PP par exemple et des autres adultes de l'établissement généralement COP, CdE, CPE, etc. est aussi de continuer à communiquer avec les parents. La position des familles peut évoluer avec le temps. Les parents peuvent avoir des préventions parfois irrationnelles. Et puis ils se rendent compte que ça ne va pas et que ça ne marche pas, que l'enfant souffre, travaille d'arrache-pied sans y arriver ou fatigue énormément, on peut en même temps leur "opposer" l'exemple d'autres élèves dans le même cas qui sont très bien accompagnés par le dispositif ULIS, et ils changent parfois d' l'élève n'a pas de PPS ni de PAP, tu n'as "tout simplement" pas le droit de lui proposer des aménagements. Parce que sur le bulletin, à côté de ses notes, qu'est-ce que tu mettras ? "Résultats avec aménagements" ? Jusqu'à quel niveau ? Jusqu'en 3e ? Mais en 3e, sans PAP et sans PPS, il n'aura pas le droit à des aménagements au brevet. Et comment expliquer aux parents qu'il faut absolument lui trouver une orientation autre que le lycée ? On n'a pas le choix, il faut que les résultats montrent le niveau réel. Il n'a pas le niveau collège et n'est pas en EGPA ni en ULIS, donc il ne peut pas ah, je vois qu'en fait tu es partie sur ce principe. Tu n'auras pas le temps de tout faire, de toute édition par Dalva le Dim 23 Sep 2018 - 1751, édité 1 foisMalagaModérateur jonjon71 a écrit Malaga a écritChez nous, les élèves en ULIS ne comptent pas dans les effectifs. Cela permet de ne surtout pas ouvrir une division supplémentaire... Après, que les élèves ne soient pas comptés dans les effectifs qui sont remontés à l'IA c'est possible. En pratique, ces élèves sont dans nos listes de on en fait quoi de ces élèves si les enseignants refusent de les prendre parce que… ? Les élèves en ULIS ne sont pas dans nos listes de classe. _________________ J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ? DalvaVénérable jonjon71 a écrit Malaga a écritChez nous, les élèves en ULIS ne comptent pas dans les effectifs. Cela permet de ne surtout pas ouvrir une division supplémentaire... Après, que les élèves ne soient pas comptés dans les effectifs qui sont remontés à l'IA c'est possible. En pratique, ces élèves sont dans nos listes de on en fait quoi de ces élèves si les enseignants refusent de les prendre parce que… ? C'est possible mais c'est inadmissible. Si le seuil d'ouverture de division est à 30 élèves et qu'on ne comptabilise pas les ULIS à l'IA, on se retrouve avec des classes à 30 ou 32 plusieurs ULIS dans une même classe pour mutualiser les AVS. D'une part les effectifs sont surchargés pour les élèves "normaux" si tant est que ça existe, d'autre part ce sont les pires conditions possibles pour inclure des élèves porteurs de handicap. C'est vraiment se moquer du ce cas, refuser d'accueillir un élève de plus en classe, c'est peut-être mal et méchant, mais ça a au moins le mérite de signaler une situation compter que 32 élèves, je ne peux pas les faire asseoir dans nos salles...Je n'ai jamais refusé un élève ULIS, ça ne me traverserait pas l'esprit, mais je comprendrais qu'un collègue sans formation, à qui on n'a pas demandé son avis et à qui on voudrait imposer un tel effectif soit tenté de le faire.Isis39Enchanteur lou gaia a écrit Isis39 a écritQuestion aux collègues qui accueillent des ULIS notamment en HG avez-vous eu des formations, des ressources pour adapter vos cours à un niveau primaire ?J'ai en 6e un élève qui relève de l'ULIS mais les parents ont refusé qu'il y alle. Il a un niveau CE1 et jeune sais pas quoi faire avec lui. Les adaptations que je fais pour d'autres élèves en difficulté ne suffisent pas. Beaucoup de notions semblent lui être inaccessibles, notamment le calendrier. Il ne sait pas compter jusqu'à mille. Alors mon cours sur la préhistoire... beaucoup d'élèves ULIS ont de gros soucis de calcul, ce qui pose problème pour le repérage dans le temps, bien sûr. J'ai connu une prof spé qui avait fabriqué une grande frise chronologique A3 pliable, l'élève s'y référait. Mais franchement, moi je n'insiste pas sur les dates avec un élève ULIS. Je donne des faits, des histoires, des grandes idées, je vois ce qu'il en comprend et je fais beaucoup avec lui, avec les questions qu'il se pose. Pour la préhistoire, c'est plutôt comment les hommes vivaient avant ? même si le avant est très flou Et puis quand on avance, comment les hommes vivaient ensuite ? Je trouve des cours et de idées sur internet, les PE donnent aussi leurs séquences. Je travaille aussi avec des vidéos ce qui permet à l'élève de travailler seul. Il répond à 4/5 questions en 30 minutes puis je reviens faire un point avec lui. Et même, quand il est en confiance, il réalise une prise de parole qui résume sa vidéo et enrichit le bilan/trace écrite de la classe. exemple j'ai un ULIS en 4e qu a vu une vidéo sur l'esclavage sur le temps long, pendant que les autres bossaient sur la traite atlantique. En fin de séance, il a pris la parole pour expliquer que l'esclavage a toujours existé Je rappelle que c'est un refus d'ULIS. Je devrais fournir un travail de dingue pour un seul élève ? Alors que j'en fait déjà beaucoup pour les autres. Cet élève n'arrive pas à travailler seul, il faudrait que je sois tout le temps avec lui. J'ai beaucoup discuté avec son PE de CM2. Il avait proposé la Segpa aux parents qui avaient accepté mais l'IEN a rendu un avis défavorable car le môme ne relève pas de la segpa mais de l'ULIS. Résultat il est chez similairesPeut-on refuser une suppléance sans risquer son pré-accord ? Manifestations de lycéens dans toute la France contre les expulsions d'élèves sans-papier "Avec ou sans papiers, ce sont des élèves comme nous".Peut-on refuser d'être PP?Peut-on refuser une inspection? Peut-on refuser de faire un EPI ?Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum 4Mam.
  • 6chlisxb5w.pages.dev/61
  • 6chlisxb5w.pages.dev/363
  • 6chlisxb5w.pages.dev/150
  • 6chlisxb5w.pages.dev/237
  • 6chlisxb5w.pages.dev/454
  • 6chlisxb5w.pages.dev/188
  • 6chlisxb5w.pages.dev/9
  • 6chlisxb5w.pages.dev/586
  • les parents peuvent ils refuser une avs